UN GRAND PROCES OPPOSE HOMMES ET ANIMAUX DEVANT DIEU : LES HOMMES ACCUSENT LES ANIMAUX DE TRANSMISSION DES MALADIES CONTAGIEUSES TELLES QUE LE SIDA, L’EBOLA ET LE COVID-19 ; ET LES ANIMAUX A LEUR TOUR SE PLAIGNENT DES HOMMES POUR ABUS SEXUEL, MARIAGE ET REPRODUCTION FORCES.
C’est le 639ème message
Je rends grâce au seigneur Jésus qui m’a donné une grande mission dans cette génération, un travail que je n’ai même pas encore commencé ; mais ces jours, la grande colère de Dieu contre ce monde m’a amené à sortir du silence pour parler de sa gloire, non seulement par les écrits, mais par toutes les autres voies possible. Ce message que j’écris a l’air d’être drôle, mais c’est une vérité à prendre au sérieux.
Dieu est le créateur des hommes et des animaux, et le seul juge de toutes les créatures. En ce moment, il y’a un grand procès devant Dieu, opposant les hommes aux animaux qui s’accusent réciproquement. Moi, en tant qu’envoyé de Dieu sur la terre, je plaide en faveur des animaux, non seulement parce qu’il y’a un gros mensonge dans cette affaire, mais parce que Dieu est aussi accusé indirectement par les hommes.
En vérité, entre les hommes et les animaux il ne devrait pas avoir procès, mais les hommes sont descendus plus bas pour préférer la place des animaux, et ils sont même parfois moins que ces bêtes ; je prends l’exemple des sorciers qui se transforment en toutes sortes d’animaux, de ceux qui possèdent les totems, ou encore de ceux qui couchent, se marient et se font enceinter par ces bêtes. Pourtant, Dieu dans son amour immense pour les hommes, leur a donné tout animal pour nourriture tel qu’il dit : «Vous mangerez de tout animal… » (Lévitique 11/3). Tout ce qui a vie ou se meut sur la terre a été donné aux hommes pour nourriture par Dieu tel qu’il écrit : «Tout ce qui se meut et qui a vie vous servira de nourriture... » (Genèse 9/3). Le singe, le pangolin, le porc épic, le chien, le chat, la souris, le serpent…, tout cela a été donné à l’homme pour nourriture.
Dieu a-t-il crée ces animaux avec le virus du VIH, d’Ebola, du covid-19 pour empoisonner les hommes ? Non. Les hommes sont-ils devenus malades après avoir consommés ces animaux ? Non. Moi, plaidoyeur pour la cause des animaux, je soutiens que les animaux ne sont pas coupables d’avoir donné le VIH, l’Ebola ou le Covid-19 aux hommes. Les gens ramassent souvent les cadavres des pangolins et des singes en brousse, dans plusieurs cas ils trouvent ces animaux en état de décomposition et les mangent sans jamais avoir de problème de santé ; parce que Dieu a donné ces animaux comme nourriture aux hommes. Méfions-nous des fausses accusations qui indexent directement Dieu.
Craignons Dieu, car il est le créateur de l’homme et de toute chose, et le souffle de vie de tout être vivant est entre ses mains. A chaque fois que les scientifiques fabriquent une maladie contagieuse telle que le sida, l’Ebola, le Covid-19, ils la testent sur les humains. Mais dans leur ruse, sachant que les gens vont leur demander d’où sort cette maladie qui fait des ravages, ils pointent le doigt sur les animaux pour brouiller les pistes; parce qu’ils savent que ces animaux ne parlent pas, et lorsqu’ils disent aux gens qu’ils soupçonnent une espèce comme responsable d’une maladie, ils leur demandent de s’en éloigner. Mais quelle tromperie !
En tant qu’avocat ou plaidoyeur des animaux, je demande à Dieu si les hommes ont-ils raison d’accuser les animaux, ou si ce ne sont pas les animaux qui doivent plutôt se plaindre des abus des hommes. Les animaux savent qu’ils ont été créés pour être la nourriture de l’homme, mais à leur grande surprise, certaines personnes les transforment en partenaire sexuel, au point de les priver de se multiplier avec leur espèce ; pourtant, de même que Dieu avait dit à l’homme et la femme d’être féconds, de se multiplier et remplir la terre en ces termes: «… Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre… » (Genèse1/28), il bénit aussi les animaux tel qu’il est écrit : « Dieu les bénit, en disant: Soyez féconds, multipliez, et remplissez les eaux des mers; et que les oiseaux multiplient sur la terre. » (Genèse1/22).
Les animaux sont tristes lorsqu’ils voient les hommes quitter leurs partenaires sexuels humains pour venir s’accoupler avec eux, les privant ainsi de s’accoupler avec d’autres animaux et pérenniser leur espèce. Comment les hommes peuvent-ils avoir le courage et la méchanceté de s’accoupler avec les bêtes, les privant de se multiplier avec les animaux de leur espèce afin de remplir la terre tel que Dieu l’a voulu ?
L’heure est grave, car les hommes couchent avec les animaux et les revêtent de tenues de cérémonie pour se marier avec eux, les femmes se font enceinter par ces bêtes et ce qui sort de leur ventre montre quelle espèce d’animal est l’auteur de leur grossesse.
Vous qui aimez dire aux gens : «tu es bêtes», sachez-le maintenant, ces bêtes couchent avec les humains, se marient avec eux et leur donne des petits. Les hommes se sont attachés et familiarisés aux animaux plus qu’à leur semblable ; ce qui fait qu’un être humain peut avoir faim auprès d’eux sans qu’ils ne soient gênés, mais courent pour satisfaire le moindre besoin de l’animal.
Comprenons que l’animal reste l’animal, et l’être humain reste l’être humain. Dans certains pays les animaux sont plus privilégiés que certains hommes, et en vérité, un monde où les animaux ont plus de valeur que l’être humain est un monde dans lequel la zoophilie est aussi très élevée. A l’époque d’Israël des temps bibliques, Dieu permettait qu’on tue les personnes qui entretenaient les rapports sexuels avec les bêtes tel qu’il dit : « Si un homme couche avec une bête, il sera puni de mort; et vous tuerez la bête. Si une femme s'approche d'une bête, pour se prostituer à elle, tu tueras la femme et la bête; elles seront mises à mort: leur sang retombera sur elles. » (Lévitique 20/15-16).
Les hommes accusent les animaux de leur avoir transmis le VIH, l’Ebola et le Covid-19, les animaux à leur tour se plaignent des hommes pour abus sexuel, mariage et reproduction forcés. En tant que plaidoyeur des animaux, je demande à Dieu de répondre et de nous dire entre les hommes et ces bêtes qui a raison ? Le procès est en cours devant Dieu et l’affaire à suivre.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)