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POURQUOI SANS LA MISERICORDE OU LE PARDON, AUCUN HOMME SUR LA TERRE NE SERA JAMAIS FORT DEVANT LE DIABLE OU GRAND SPIRITUELLEMENT EN DIEU ?

C’est le 659ème message
 
 
       Je rends continuellement grâce à Dieu pour son trésor qu’il m’a fait porter afin que je partage ce bien, pour enrichir aussi plusieurs personnes de cette gloire du Royaume des cieux. La miséricorde c’est la force de Dieu et la faiblesse de satan ; parce que ...
face à la miséricorde, satan devient faible. Le pouvoir de la miséricorde c’est la pitié qui produit le pardon, l’humilité…. Lorsqu’on a pitié de quelqu’un, on lui pardonne facilement, on ne le trompe pas, on ne se moque pas de lui, on ne l’injurie pas, on ne le méprise pas, on ne mal-parle pas de lui, on ne l’escroque pas, on ne le jalouse pas, on ne complote pas contre lui, on ne l’empoisonne pas, on ne l’agresse pas, on ne le sacrifie pas, on ne l’ensorcelle pas, on ne le tue pas….
       La pitié précède le pardon, le pardon précède l’humilité, et l’humilité précède la gloire de Dieu. Satan ne veut pas que nous nous pardonnions ; il sait que si nous ne nous pardonnons pas, nous nous condamnons, et voulant notre condamnation, il nous insuffle souvent tous genres de pensées qui nous poussent à garder des rancunes dans nos cœurs. Dieu va nous pardonner si nous pardonnons aussi, il va nous condamner si nous condamnons aussi, et si nous avons la miséricorde, nous triomphons de la condamnation. Voilà pourquoi le Seigneur nous avertit en disant : « car le jugement est sans miséricorde pour qui n'a pas fait miséricorde. La miséricorde triomphe du jugement » (Jacques 2/13).
       Si nous pardonnons aux hommes ce qu’ils nous font, Dieu nous pardonnera aussi tel que le Seigneur Jésus dit : « Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi » (Matthieu 6/14). Le diable, voulant que nous soyons condamnés par notre manque de pardon, utilisera toujours des gens comme des appâts pour nous chercher des problèmes, et si nous gardons rancune à ces personnes, cela veut dire que nous avons mordu à l’hameçon de satan. Voyez-vous même comment en ces temps de la fin, les gens sont provocateurs, ils cherchent les problèmes à tous les niveaux, parfois on se pose la question de savoir ce qu’on a bien pu faire pour que toute la maison, la famille, le quartier, le village, l’entreprise… s’acharnent contre nous. Mais nous devons pardonner à toutes ces personnes qui nous font du mal, et ne pas demander à Dieu de les punir pour ce qu’elles nous font.
       Regardez le Seigneur Jésus qui est le chef de la miséricorde ; étant sur la croix, il a demandé à son père de pardonner à ceux qui le crucifiaient en disant qu’ils ne connaissaient pas ce qu’ils faisaient tel qu’il écrit : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font... » (Luc 23/34). Regardez Etienne ; lorsqu’on le mettait à mort, il n’a pas demandé au seigneur de venger son sang, mais il lui a plutôt demandé de ne pas imputer ce péché à ceux qui le lapidaient tel qu’il est écrit : « Et ils lapidaient Étienne, qui priait et disait : Seigneur Jésus, reçois mon esprit ! Puis, s'étant mis à genoux, il s'écria d'une voix forte : Seigneur, ne leur impute pas ce péché ! Et, après ces paroles, il s'endormit. » (Actes 7/59-60). Les frères de Joseph qui l’avaient vendu ont eu peur que Joseph se venge d’eux pour le crime qu’ils avaient commis à son encontre lorsqu’ils l’avaient retrouvé gouverneur en Egypte, mais Joseph les avait rassurés en disant : « Soyez donc sans crainte ; je vous entretiendrai, vous et vos enfants. Et il les consola, en parlant à leur cœur » (Genèse 50/21).
       David avait vu comment Saül marchait derrière lui jusqu’à dans la forêt, cherchant à lui ôter la vie tel qu’il est dit : « David, voyant Saül en marche pour attenter à sa vie, se tint au désert de Ziph, dans la forêt. » (1Samuel 23/15). Saül avait pris trois milles personnes pour l’aider à capturer David parce qu’il voulait sa peau tel qu’il est écrit : « Saül prit trois mille hommes d'élite sur tout Israël, et il alla chercher David et ses gens jusque sur les rochers des boucs sauvages.» (1Samuel 24/3). Saül et ses hommes marchèrent jusqu’à épuisement, puis s’arrêtèrent pour se reposer, et Dieu les plongea dans un profond sommeil. Saül était à la merci de David, mais ce dernier prit juste sa lance et sa cruche d’eau sans lui faire du mal tel qu’il est dit : « David prit donc la lance et la cruche d'eau qui étaient au chevet de Saül ; et ils s'en allèrent. Personne ne les vit ni ne s'aperçut de rien, et personne ne se réveilla, car ils dormaient tous d'un profond sommeil dans lequel l'Éternel les avait plongés » (1Samuel 26/12).
       Saül avait ensuite avoué à David qu’il ne lui fera plus du mal, car il reconnu que David avait trouvé sa vie précieuse, voilà pourquoi il ne l’avait pas tué quant il en avait eu l’occasion tel qu’il est écrit : « Saül dit : J'ai péché ; reviens, mon fils David, car je ne te ferai plus de mal, puisqu'en ce jour ma vie a été précieuse à tes yeux. J'ai agi comme un insensé, et j'ai fait une grande faute. » (1Samuel 26/21).
       Il y a certaines personnes qui refusent de pardonner même si c’est la personne à l’origine de leur mal qui le leur demande. En vérité, notre miséricorde est petite, c’est pour cela que notre foi est faible. La miséricorde de ce monde se limite à partager par exemple les grains de riz, les miettes de pain, quelques billets de banque, c’est pour cela que le mal grandit au jour le jour. Si quelqu’un nous fait du mal et que nous disons que nous lui avons pardonné, mais que nous continuons à penser que c’est Dieu qui va le lui rendre, alors nous ne lui avons pas pardonné. Si nous sommes un avec Dieu, si nous pardonnons aux autres, nous devons aussi demander à Dieu de pardonner à tous ceux qui nous font du mal comme le seigneur Jésus sur la croix ; c’est même pour cela qu’il est dit : « Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus Christ » (Philippiens 2/5).
       Lorsque le Seigneur Jésus nous recommande de prier pour ceux qui nous maltraitent et qui nous persécutent tel qu’il dit : « …priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent » (Matthieu 5/44), cette prière ne doit pas avoir pour but de demander à Dieu de donner un salaire à nos persécuteurs, mais plutôt qu’il leur pardonne et qu’il touche leur cœur pour qu’ils changent et reviennent à sa volonté. Dire à quelqu’un qui nous a offensé que ‘’c’est Dieu qui va te payer’’, ou encore dire que ‘’ je renvoie à l’expéditeur ce qu’il m’a envoyé’’ ce n’est pas pardonner. C’est pourquoi si un homme de Dieu vous dit qu’il a reçu le pouvoir de tuer les sorciers, fuyez-le ; parce que le pouvoir de Jésus c’est pour dominer ou marcher sur toute la puissance de l’ennemi et non pour tuer les hommes.
       Pour gagner Satan, ou pour être grand spirituellement en Dieu, nous devons bénir nos ennemis tel qu’il nous est recommandé : « Bénissez ceux qui vous persécutent, bénissez et ne maudissez pas » (Romains 12/14). Si tu bénis, tu es de Dieu ; et si tu maudis, tu es du diable ; car bénir c’est pardonner, et maudire c’est ne pas pardonner. Nous aimons souvent dire : ‘’Avec ce qu’il m’a fait là, il va voir, Dieu est au ciel’’, mais étant de Dieu, que devons-nous rendre à ceux qui nous font du mal ? Nous devons bénir ceux qui nous maudissent et donner à ceux qui sont avares envers nous, nous devons pardonner et prier pour ceux qui nous persécutent. Être grand devant Dieu ou gagner le diable se juge face à nos ennemis et non face à nos amis ; parce que les épreuves nous mettent face à nos ennemis et non face à nos amis.
       Ne disons plus : ‘’Comme il m’a fait telle chose qui m’a beaucoup touché, je ne vais pas le laisser.’’ Ne rendons pas le mal par le mal, mais plutôt par le bien, car il est dit : « Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes » (Romain 12/17). Nous avons l’habitude de dire que ‘’je ne lui pardonne pas parce qu’il savait ce qu’il faisait’’, mais prenons l’exemple du Seigneur Jésus notre sauveur qui avait dit à son père que ceux qui le crucifiaient ne savaient pas ce qu’ils faisaient.
       Nous avons l’habitude de croire que si nous refusons aussi à ceux qui nous refusent, cela veut dire que nous leur donnons la leçon, pourtant c’est de l’injustice ; s’ils ne nous donnent pas parce qu’ils ne nous considèrent pas comme leur ami, nous par contre, nous devons leur donner car il est dit : « Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s'il a soif, donne-lui à boire ; car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête » (Romains 12/20). C’est l’orgueil qui nous amène à ne pas souvent pardonner et à dire : ‘’Quelqu’un comme moi on ne peut pas quand même me mépriser jusqu’à ce niveau’’. En vérité sommes-nous plus grands que le Christ, Joseph… ? Il y a des personnes qui sont prêtes à bagarrer, rien que pour une simple injure.
       En vérité, lorsqu’on est fort spirituellement, on se plaît dans les outrages, dans les calamités, dans les persécutions, dans la faiblesse physique pour Christ; c’est pour cela que l’apôtre Paul dit : « C'est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les outrages, dans les calamités, dans les persécutions, dans les détresses, pour Christ ; car, quand je suis faible, c'est alors que je suis fort » (2 Corinthiens 12/10). C’est la grandeur spirituelle qui nous amène à être humble, et la bassesse spirituelle nous amène à être orgueilleux. Mais la parole de Dieu nous conseille en disant : « …mais que l'humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes. » (Philippiens 2/3).
       Si nous dominons la jalousie qui est le cœur de la sorcellerie et des rivalités par la miséricorde, notre désir de vouloir la réussite du prochain et nos prières pour les enfants des autres agiront plus efficacement sur nous et sur nos propres enfants. Mais si nous voyons la miséricorde seulement dans le partage, comprenons que c’est là où les sorciers dorment aujourd’hui pour cacher leur méchanceté et transmettre les maladies.
       Je remercie une fois de plus le Seigneur Jésus, notre unique boulanger, qui pourvoit le pain de vie pour nos âmes.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)
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