EN VERITE, COMMENT Y AURA-T-IL LE TEMOIGNAGE DU SEIGNEUR JESUS DANS CE SIECLE LORSQUE LES CHRETIENS, MEME CEUX QUI SE DISENT NES DE NOUVEAU, TROUVENT LE BIEN-ETRE DANS LA POSSESSION ET LA CONSOMMATION DU PAIN DE MOÏSE ET NON DANS CELUI DU SEIGNEUR JESUS ?

C’est le 359ème message 

 

En vérité, comment la lumière du Seigneur Jésus peut-elle briller dans ce siècle rempli de ténèbres pendant que les chrétiens, même ceux qui disent être nés de nouveau, trouvent la valeur dans la possession et la consommation du pain sans vie ? Le pain de Moïse était pour rassasier la chair ; et le pain du Seigneur Jésus est pour rassasier l’âme, c’est le vrai pain. Voilà pourquoi le Seigneur Jésus dit : « … En vérité, en vérité, je vous le dis, Moïse ne vous a pas donné le pain du ciel, mais mon Père vous donne le vrai pain du ciel; car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. » (Jean 6/32-33). Le pain de Moïse était poussière et sans vie, c’est pourquoi il ne pouvait pas vivifier ceux qui le consommaient. Par contre, le pain de Jésus est celui-là qui vivifie ceux qui le consomment, voilà pourquoi il dit : « C'est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts: celui qui mange ce pain vivra éternellement » (Jean 6/58).

Les deux pains sont nourrissants et vivifiants ; l’un nourrit et vivifie la chair, l’autre nourrit et vivifie l’âme. Et s’il y a les témoins de Jésus sur terre, ils rendent témoignage de la valeur, de la gloire et de la grandeur dans la possession et la consommation du pain du royaume des cieux qui a le pouvoir de vivifier l’âme. Ils ne rendent donc pas témoignage de la valeur, de la gloire et de la grandeur dans la possession de la poussière qui n’a que le pouvoir de vivifier la chair qui est la terre.

En vérité, quel témoignage pour le Seigneur Jésus dans ce siècle où les chrétiens, même ceux qui disent être nés de nouveau, lorsqu’ils voient quelqu’un qui est né dans une famille qui possède en grande quantité le pain de Moïse, affirment que ce dernier est bien né ! Lorsqu’ils voient quelqu’un engraissé par la consommation du pain de Moïse, disent que celui-là vit bien. La possession et la consommation de ce pain donnent à ces gens la grandeur, la gloire et la richesse de la terre; voilà pourquoi plusieurs se livrent avec acharnement, sacrifiant ainsi leurs semblables  afin de posséder une grande quantité de ce pain de poussière. Or ce pain et la chair qu’il nourrit sont tous deux poussière et les deux retourneront dans la terre. Voilà pourquoi il est dit : «Tout va dans un même lieu; tout a été fait de la poussière, et tout retourne à la poussière.  » (Ecclésiastes 3/20).

Jusqu’à quand y aura-t-il le vrai témoignage dans la glorification du vrai pain qui est le pain de Jésus venant du Royaume des cieux, au mépris du faux pain qui est le pain de Moïse tombant du ciel mais étant de la poussière ? Aujourd’hui, même ceux qui disent être nés de nouveau regardent les rois, les Chefs d’Etats, les chanceliers, les ministres, les diplomates, les grands hommes d’affaires, les stars, les gouverneurs, les généraux, les préfets, les colonels, les procureurs, les directeurs, les avocats, les sous-préfets, les commissaires, les commandants, les huissiers jusqu’aux petits fonctionnaires, commerçants, agriculteurs…remplis du pain de Moïse, et disent à l’égard de ces derniers qu’ils sont biens nés ou encore qu’ils vivent bien. Voilà pourquoi ce siècle, y compris ceux qui disent être nés de nouveau, témoignent la possession en quantité et la consommation du pain de Moïse.

Comment y aura-t-il témoignage de la valeur sans la possession et la consommation du vrai pain ? Que cela fait pitié et très mal. Les gens passent leur temps à travailler afin de gagner et de posséder en quantité le pain de Moïse qui n’a que le pouvoir de nourrir la chair pour quelques heures, et après quoi il emprunte le chemin du retour à la terre. C’est pourquoi le Seigneur Jésus nous demande de travailler beaucoup plus dans la possession du pain qui n’est pas de la terre et qui ne périt pas tel qu’il dit: «Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle, et que le Fils de l'homme vous donnera; car c'est lui que le Père, que Dieu a marqué de son sceau.  » (Jean 6/27). Comment y aura-t-il le témoignage qui fera bouger ce siècle pendant que les chrétiens, même ceux qui disent être nés de nouveau considèrent que ce sont ceux qui possèdent en quantité et consomment le pain de la terre qui est le pain de Moïse qui sont les mieux lotis ? Ce pain de poussière a aveuglé les gens au point que ces derniers vendent leurs semblables par la magie pour le posséder en grande quantité ; ils décapitent leurs semblables en enlevant certains organes pour les vendre…. Comment quelqu’un peut-il vendre l’être humain pour gagner en retour les choses de la terre ? Mais quel aveuglément sans limite pour ces derniers !

Ces gens trouvent que la possession en quantité du pain de Moïse est une grandeur, une gloire et une richesse témoignées même par ceux qui se disent nés de nouveau. Ils se livrent donc avec acharnement et sacrifice pour le posséder en quantité. Certains vont jusqu’à travailler le jour du sabbat qui est le jour de repos en la gloire de Dieu, pour la recherche de ce pain de Moïse qui les a aveuglés. Ils ne voient pas que tout ce qu’ils cherchent sort de la terre et n’a pour destination finale que la terre. Lorsque la chair est engraissée, on commence à dire que cette personne vit bien. En vérité, comment y aura-t-il le témoignage du Seigneur Jésus pendant que ceux qui disent lui appartenir en esprit et en vérité admirent et qualifient de riches ceux qui possèdent en quantité le pain de Moïse, qui se suffisent dans cette limitation au faux pain ou au pain sans valeur pour l’âme ? C’est la limitation à la possession en quantité de ce pain de Moïse qui est à l’origine de plusieurs maux.

En vérité, c’est à celui qui est né de la volonté du Seigneur Jésus et qui vit cette volonté qu’on doit dire qu’il vit bien. En vérité, s’il y a les véritables témoins de Christ, ils doivent plutôt rendre témoignage du bien-être et de la vie spirituels et non charnels ; car ce siècle est rempli des gens dont on dit qu’ils vivent bien, alors que certains sont dans la pédophilie, dans l’homosexualité, dans la consommation du sang et de la chair humaine, dans le sacrifice et la vente des êtres humains, dans le trafic des organes humains et la drogue, dans la magie, le faux, le vol, le banditisme, le détournement des fonds publics, entretiennent les rapports sexuels avec les fous, les folles, les animaux et les mamiwater …. Et encore aujourd’hui, lorsqu’on voit un jeune qui a un avenir dans la possession en quantité du pain de Moïse, on cherche à le détruire par jalousie.

Le pain de Christ a et est la valeur sûre, sans limite parce que ce pain est lui-même. Voilà pourquoi il dit : « Je suis le pain de vie.  » (Jean 6/48). C’est dans la possession en quantité et la consommation de ce pain que les véritables parlent de bien vivre, et non dans la pourriture qui engraisse le ventre et la chair ; car le Seigneur Jésus dit : « Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.  » (Jean 6/51), et il continue à dire : « car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde.  » (Jean 6/33). Si les gens possédaient ce pain en quantité, et le consommaient, ils seraient riches, biens et vivants ; puis ils devraient cette richesse, ce bien et cette vie aux gens qui possèdent en quantité le pain de Moïse. Mais les hommes, étant riches du mal et de la mort, doivent à leurs semblables ce mal et cette mort qu’ils possèdent en quantité et qu’ils sont.

Le mauvais riche avait le pain de Moïse en quantité et le consommait, et Lazare avait le pain de Jésus en quantité et le consommait ; chacun était bien né, ou encore vivait bien, l’un de la poussière et l’autre de l’esprit. Mais comme la fin vaut toujours mieux que le commencement, à la fin, celui qui avait un faux pain et se séduisait de bien vivre avait reconnu qu’il n’avait rien de plus grand que la pauvreté éternelle. Si c’était à notre époque comme c’est le cas aujourd’hui, même pour ceux qui disent être nés de nouveau, ils n’allaient jamais qualifier Lazare de celui-là qui vit bien, mais ils allaient toujours le dire du mauvais riche. Ce qui m’étonne est que nous lisons ce qui est esprit et vérité, mais nous qualifions et rendons témoignage aux choses physiques qui sont pour nous source de grandeur, de gloire, et de bien-être. Voilà pourquoi ce siècle est spirituellement pauvre à 99,99% par manque de possession et de consommation du pain de Christ, alors que la fin de toute chose est proche. C’est là où j’ai encore compris pourquoi le Seigneur Jésus demande si en revenant sur terre, il trouvera encore la foi. C’est pour ce manque en quantité du pain de Moïse que les gens se lamentent, s’inquiètent, se détruisent, s’entretuent, se font la guerre… Or, le Seigneur Jésus, connaissant ce pain sans valeur de vie qui est un piège pour les hommes dit : « Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas: Que mangerons-nous? Que boirons-nous? De quoi serons-nous vêtus? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. »  (Matthieu 6/32-33).

 

 

CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)

     

EN VERITE, SI NOUS ETIONS DES VERITABLES ENFANTS DE DIEU, CE NE SERAIT PAS L’HOMME, LE MATERIEL, LA RESERVE DU VENTRE OU CE QUE  NOUS TOUCHONS QUI REMPLIRAIENT NOTRE CŒUR DE JOIE ET DE PAIX COMME C’EST LE CAS AUJOURD’HUI, MAIS CE QUI NOUS INONDERAIT PLUTOT C’EST FAIRE LE BIEN DE DIEU ET CHERCHER A TOUT PRIX A AMENER  LES AUTRES A LE CONNAITRE ET A LE VIVRE.

C’est le 358ème message

 

Au royaume des cieux, ce ne sont ni la femme, ni le mari, ni les enfants, ni le matériel qui sont reconnus pour richesse, mais plutôt le bien de Dieu. Je me demande si nous sommes nés de nouveau pour avoir un cœur nouveau, et comment se fait-il que la joie qui remplit ce cœur nouveau vienne de la possession du matériel  et des hommes et non du bien de Dieu ? En vérité, comment pouvons-nous dire que nous sommes nés de nouveau alors que la joie qui remplit notre cœur nouveau vient du rassasiement du ventre et de sa réserve, de la possession du matériel, d’une femme, d’un mari, des enfants…, et non du bien de Dieu, de la volonté et du sacrifice de voir tout le monde parvenir à la connaissance de la valeur de ce bien éternel ? Voilà pourquoi aujourd’hui nous sommes prêts à mourir pour le matériel, pour notre ventre, pour notre femme, pour notre mari et pour nos enfants et non pour le bien de Dieu et dans la volonté d’offrir ce bien à tous.

Nous sommes prêts à mourir pour l’argent, bref pour le matériel ; mais ces choses peuvent-elles nous sauver ? Nous sommes prêts à mourir pour notre femme, notre mari et pour nos enfants ; ces derniers peuvent-ils nous sauver ? Et pourtant nous ne sommes pas prêts à mourir pour le bien de Dieu. C’est dans cette vision qu’on retrouve même ceux qui disent être nés de nouveau. Nous devons mourir pour ce qui nous sauve, et ce qui nous sauve est notre sauveur et notre Dieu. Le bien de Dieu nous sauve et est notre sauveur et Dieu, tandis que le matériel pour lequel nous sommes prêts à mourir ne peut nous sauver, ni être notre sauveur et notre Dieu, de même que notre mari, notre femme et nos enfants ne peuvent nous sauver ni être notre sauveur et notre Dieu.

En vérité, si le bien de Dieu et la volonté à tout prix d’amener les autres à la connaissance de ce bien étaient les richesses qui remplissaient notre cœur de joie et de paix, nous amenant à nous voir grands et glorieux, ce siècle n’allait pas être spirituellement pauvre et misérable à 99,99%. Nous nous disons nés de nouveau, mais notre cœur est rempli de joie qui vient non du bien de l’homme nouveau et de la volonté de propager ce bien à tous, mais plutôt de la possession du matériel, d’une femme, d’un mari et des enfants ; or tout ceci ne se limite qu’à la terre car, les gens sont à la recherche de la joie qui provient de ce qui rassasie leur ventre et de la constitution des réserves, de l’argent pour s’acheter tout ce que leur cœur désire, du mariage et des enfants, et dans ces choses, leur cœur est comblé de joie et de paix. Voilà pourquoi aujourd’hui l’homme ne pense pas que s’il vient à quitter la chair ou la terre étant pauvre, misérable et mort  (dans son âme), il passera une éternité dans le lac de feu. Donc, ses inquiétudes et lamentations ne se trouvent pas dans le fait qu’il ne pourra pas emporter ses richesses avec lui (son âme), mais dans les paroles du genre : ‘’Si je meurs maintenant sans me marier, sans laisser au moins un enfant à qui il faudra laisser une parcelle de terrain, un toit, des comptes bancaires et bien d’autres choses matérielles, que diront les gens ?’’. Pourtant le matériel, la femme, le mari, les enfants ne sont qu’une compagnie de quelques jours sur terre, et c’est pour eux que nous souffrons et mourrons au lieu de souffrir premièrement pour celui qui a souffert pour nous et qui est mort pour nous, notre sauveur et notre Dieu.

Aujourd’hui, c’est le matériel, la femme, le mari ou les enfants qui sont notre dieu pour lesquels nous souffrons et mourrons. Nous sommes comme des chasseurs qu’on a envoyés en brousse, et l’envoyeur les attend avec du gibier à la maison ; mais eux, ne savent pas quand est-ce qu’ils vont rentrer à la maison, seul l’envoyeur sait à quel moment il va les appeler un à un. Ces chasseurs étant en brousse, construisent une cabane pour s’abriter du soleil et de la pluie pour quelques jours, et ils passent leur temps dans la recherche et la possession des choses de la brousse, se glorifiant dans ces choses qui les remplissent de joie et de paix, oubliant que toutes ces choses de la brousse ne seront pas emportées à la maison, sauf le gibier pour lequel ils ont été envoyés. Pour ces chasseurs, leurs inquiétudes et lamentations ne se trouvent pas dans la volonté de rentrer à la maison avec du gibier pour être reçus triomphalement, mais plutôt dans le manque des choses de la brousse qui ne leur donnent que la gloire et la grandeur dans la brousse où ils ne sont que pour un bref séjour, et non à la maison où ils vont demeurer. Et si l’envoyeur appelle ces chasseurs un à un, tous rentreront bredouille et n’auront ainsi pas de place auprès de lui ; et là où ils avaient quitté la brousse, on resterait parler d’eux, qu’ils étaient grands, riches, mais à quoi serviraient cette grandeur et richesse à l’envoyeur et pour la maison ? Ce monde est comme la brousse, nous comme les chasseurs, le royaume des cieux comme la maison et le seigneur est l’envoyeur.

Si aujourd’hui on avait un cœur nouveau dont la joie ne provient pas du matériel, du rassasiement du ventre et de sa réserve, de la femme, ni du mari et des enfants, mais du bien de Dieu et de la volonté à tout prix de faire connaître cette valeur à tous, ce siècle serait bougrement riche, et la pauvreté qui est le mal, la malhonnêteté, la corruption et l’abomination ne serait pas à 99,99%. On retrouve le cœur ancien dans l’homme ancien. Quiconque possède ce cœur se plaît ou est en joie lorsque son ventre est rempli et a une réserve, lorsqu’il possède le matériel, la femme, le mari, les enfants…. Aussi sa  joie repose sur celle de sa femme, de son mari et de ses enfants qui provient du matériel. Voulant donc être dans la joie, cet Homme ancien va se livrer dans la recherche effrénée du matériel afin de plaire à sa femme, à son mari et à ses enfants ; ainsi le matériel et les hommes sont devenus nos dieux. Nous souffrons et nous mourrons pour eux et pour leur avenir, oubliant l’essentiel.

Si on recherchait le bien de Dieu pour richesse, gloire et grandeur, la pauvreté qui est le mal tremblerait. Regardez les cœurs remplis de joie, même pour ceux qui se disent être nés de nouveau, leur joie vient de la possession du matériel, des hommes, choses charnelles et vanités qui ne sont point le bien de Dieu et la volonté de partage de ce bien éternel.

Aujourd’hui lorsque les gens entendent les bruits de guerre, ils s’inquiètent et se lamentent, ils commencent à penser seulement à leur argent, leurs boutiques, leurs entreprises, leurs enfants, leur ventre…, en souhaitant qu’ils ne soient pas touchés, pillés, que cette chair ne soit pas tuée, ou que leur ventre ne soit pas privé de nourriture ; leur inquiétude s’arrête là. Ils ne se demandent pas que s’ils venaient à quitter cette chair ou cette terre, que ce soit par tuerie ou de façon naturelle, et qu’étant mort spirituellement, à quoi aurait servi leur passage sur terre alors qu’ils vont souffrir éternellement dans le lac de feu. Nous nous inquiétons pour les choses que nous allons laisser tôt ou tard : les terrains, l’argent, les boutiques, les entreprises… même notre chair qui est la terre, au lieu que nous nous lamentons du manque du cachet qui nous donne droit à un repos éternel auprès du créateur de toute chose. Aujourd’hui les gens entendent les bruits de guerre et commencent à pleurer. Ils pleurent non pour leurs âmes et les âmes des autres, mais pour leur chair, leur ventre et les choses matérielles.

En vérité, pour toutes les guerres qui s’annoncent, de mon côté, je dis seulement au Seigneur : ²que Ta volonté soit faite, car tu as annoncé les guerres comme un signe de la fin des temps, et cela n’est que l’accomplissement. Prierai-je comme un étranger du royaume des cieux ? Il y a beaucoup de choses qui s’annoncent pour signifier la fin des temps. A six (06) mois d’âge, j’avais prophétisé sur beaucoup de choses avant l’arrivée du Seigneur Jésus. Premièrement, les messages que vous lisez, et la suite sera à suivre².

 

 

CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)

Haut de page
Bas de page

NEWLETTER

Recevez nos publications et bien plus directement dans votre boite mail.

QUI EST EN LIGNE?

Nous avons 14 invités et aucun membre en ligne

CHAMPIDINO designed by MYDIGITALBUILDER