SI LES HOMMES DU ROYAUME DES CIEUX DANS CE SIECLE PLEURAIENT L'AME QUI EST MORTE ET QUI PEUT ENCORE REVENIR A LA VIE COMME LES HOMMES DU ROYAUME DE LA TERRE PLEURENT LA CHAIR MORTE ET QUI NE PEUT PLUS REVENIR A LA VIE, ALORS BEAUCOUP D’AMES REVIENDRAIENT DEJA A LA VIE ET LE FRUIT DE LA VIE QUI EST LE BIEN INONDERAIT CE SIECLE.

C’est le 357èmemessage

  

En vérité, s’il y a les hommes du royaume des cieux sur terre, ils sont étrangers dans ce royaume de la terre, et la seule mission qui leur est confiée par le Seigneur Jésus qui les a appelés est qu’ils rendent témoignage comme les apôtres dont les noms sont écrits dans la Bible. Etant physiques, ils vivent et marchent selon l’esprit de Dieu en eux ; étant spirituels, ils doivent être affectés par la mort spirituelle des hommes quoique vivant dans leur physique ; c’est pour cela même qu’il est dit : «Mais celle qui vit dans les plaisirs est morte, quoique vivante.  » (1Timothée 5/6).

Le Seigneur Jésus ne s’est pas sacrifié pour sauver la chair de l’homme parce que la chair ne peut hériter le royaume des cieux, parce qu’elle n’est que de la terre et elle doit retourner là où elle avait été prise. Voilà même pourquoi il est dit : «Ce que je dis, frères, c'est que la chair et le sang ne peuvent hériter le royaume de Dieu, et que la corruption n'hérite pas l'incorruptibilité.  » (1Corinthiens 15/50). Donc, les hommes du royaume des cieux sur terre ne sont pas charnels pour pleurer la chair de l’homme qui est en train de faire son retour dans la terre qui est son pays d’origine ; mais ils sont spirituels pour pleurer l’âme de l’homme qui est morte et qui peut encore revenir à la vie afind’hériter du royaume des cieux à travers la grâce et la vérité du Seigneur Jésus apportées à cette personne morte spirituellement et vivante physiquement.

La chair, tôt ou tard va hériter la terre. Voilà pourquoi même la chair du Seigneur Jésus qu’il avait prise afin de paraître comme un simple homme avait regagné la terre. Les hommes du royaume des cieux sur terre pleurent l’âme pour qu’elle revienne à la vie afin de ne pas hériter le feu ou la souffrance éternelle. Voilà pourquoi le Seigneur Jésus est venu vivifier cette âme à travers sa parole qui est son corps et qui nous a été donnée à manger afin de vivre par elle. C’est même pour cela qu’il dit : «Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.» (Jean 6/57).

Le premier témoin du royaume des cieux dans ce monde est le Seigneur Jésus. Etant spirituel, il pleurait pour les âmes mortes. Voilà pourquoi il marchait de village en village pour transmettre ce qui peut faire revenir l’âme à la vie et non la chair qui ne sert de rien tel qu’il dit : «C'est l'esprit qui vivifie; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie.  » (Jean 6/63). Donc, c’est à cause de l’âme qu’il avait sacrifié tout son temps, tout son matériel, tout son corps, en marchant partout, se laissant crucifier sur la croix et faisant couler son sang pour nos péchés. Le Seigneur Jésus est donc le premier témoin du royaume des cieux sur terre. Etant vivant dans un monde des morts dans l’esprit mais des vivants dans la chair tel que c’est le cas aujourd’hui, toute sa volonté et ses pleurs étaient de vouloir que  ces âmes mortes reviennent à la vie afin d’hériter le royaume des cieux. Nous sommes morts depuis le Jardin d’Eden. Mais le Seigneur Jésus nous a beaucoup aimés comme il a aimé Lazare. Voilà pourquoi il est venu auprès de nous, a pleuré notre mort comme il avait pleuré la mort de Lazare, nous a appelés à sortir de notre mauvaise vie qui est la tombe tel qu’il avait appelé Lazare, et ce dernier était sorti. Mais est-ce que nous écoutons son appel pour accepter sortir de la tombe ou rester dans celle-ci ?

Le Seigneur Jésus est le premier témoin du royaume des cieux sur terre et les premiers témoins du Seigneur Jésus jusqu’à l’apôtre Paul, possédés et conduits par son esprit, étaient aussi affectés par la mort des âmes. Lorsqu’ils voyaient les gens dans l’idolâtrie, leur esprit était affecté à cause de l’état de ces gens qu’ils reconnaissaient pour morts. Voilà pourquoi il est dit : «Comme Paul les attendait à Athènes, il sentait au dedans de lui son esprit s'irriter, à la vue de cette ville pleine d'idoles.  » (Actes 17/16). Les premiers témoins du Seigneur Jésus étant aussi spirituels, trouvaient que l’âme avait une grande valeur au-dessus de toute chose dans ce monde au point qu’ils faisaient tout pour ramener ces âmes à la vie à travers l’évangile de Christ. Reconnaissant que c’est pour ces âmes que le Seigneur Jésus a coulé son sang, ils faisaient tout pour faire écouter aux morts la vie de Christ à tout prix, en acceptant toutes les souffrances, les prisons, les enchainements et la mort qu’ils enduraient d’un cœur léger, de village en village, de ville en ville pour que la vie de Christ parvienne aux âmes mortes pour lesquelles il a souffert et coulé son sang. C’est pourquoi un jour, les disciples, se rendant à Jérusalem pour annoncer l’évangile qui pouvait ramener l’âme à la vie, une prophétie était sortie par rapport à la ceinture de l’apôtre Paul et qui annonçait qu’il devait être lié à Jérusalem par les juifs ; et pendant que les gens pleuraient pour lui, il leur a dit : «Que faites-vous, en pleurant et en me brisant le cœur? Je suis prêt, non seulement à être lié, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus. » (Actes 21/13).

L’apôtre Paul trouvait que si le Seigneur à qui il rend témoignage pour que ces âmes reviennent à la vie, avait lui-même préféré se sacrifier, lui le Dieu suprême, combien de fois lui qui n’est que son instrument ! Voilà pourquoi un jour, pendant qu’il prêchait de ville en ville en se rendant à Jérusalem, le Saint-Esprit l’avertit des tribulations qu’il aura devant, mais il ne s’était pas découragé, ni  lamenté ; il disait toujours que ce n’est plus sa vie, mais la vie de celui-là même qui a préféré être sacrifié sur la croix et qui veut que les gens parviennent à la connaissance de la vérité et soient sauvés. Voilà pourquoi il dit : «seulement, de ville en ville, l'Esprit Saint m'avertit que des liens et des tribulations m'attendent. Mais je ne fais pour moi-même aucun cas de ma vie, comme si elle m'était précieuse, pourvu que j'accomplisse ma course avec joie, et le ministère que j'ai reçu du Seigneur Jésus, d'annoncer la bonne nouvelle de la grâce de Dieu.  » (Actes 20/23-24).

Si aujourd’hui nous sommes édifiés sur le fondement des apôtres, des prophètes et du Seigneur Jésus lui-même, quel esprit portons-nous pour avoir de l’affection pour des âmes mortes quel témoignage faisons-nous ? En vérité, nous disons que nous sommes témoins de Christ dans ce siècle, mais est-ce spirituellement ou charnellement au point où si l’âme est malade, nous ne nous inquiétons pas de son retour à la santé, mais si c’est la chair qui est malade, nous le sommes aussi pour vouloir sa guérison. En vérité,aujourd’hui quelle affection avons-nous pour ces âmes mortes, nous qui nous disons témoins de Christ ! Quel sacrifice de temps, du matériel et du physique ! Notre vie n’est pas dans le Seigneur pour nous sacrifier dans l’esprit de vouloir le Seigneur, mais notre vie est pour nous-mêmes, pour nos enfants et pour nos familles. L’âme est chère pour le Seigneur, voilà pourquoi il s’est sacrifié totalement. L’âme est chère pour les premiers disciples qui rendaient témoignage au Seigneur Jésus, voilà pourquoi ils se sont sacrifiés au point d’accepter subir la bastonnade, les emprisonnements, les enchainements et la mort. Nous aujourd’hui qui nous disons témoins de Christ, voyons-nous de la valeur dans l’âme pour accepter nous sacrifier avec tout ce que nous sommes et avons ? Ce qui fait encore plus mal c’est que notre pitié et nos pleurs pour les morts d’âmesont consacrés plutôt à ceux qui ont le matériel.

Si nous sommes du Seigneur Jésus, nous sommes sacrifiés en lui et dans ce monde ;nous devons nous adonner comme les apôtres qui sont les premiers témoins,disposant notre temps, notre matériel, voire notre corps  afin de réussir notre mission. Si les morts sont enviés à cause de leur matériel, il n’y aura plus d’affection et de témoignage. Nous nous disons étrangers sur terre et hommes spirituels, mais regardons comment les autochtones qui sont les hommes charnels pleurent la chair qui est morte et qui ne peut plus revenir à la vie; regardons comment les hommes de la terre pleurent la terre quand elle retourne dans la terre. S’ils avaient une possibilité de faire revenir cette chair par sacrifice de temps, de matériels, de marche ou de souffrance, ils le feraient et cette motte de terre reviendrait à la vie. Pour ces hommes charnels, la chair leur est chère ; pour ces hommes de la terre, cette motte de terre leur est chère. Voilà pourquoi s’il y avait une seule possibilité de faire revenir cette motte de terre à la vie, ceux qui sont affectés l’auraient fait. Voilà même pourquoi aujourd’hui, lorsque la terre est en train de retourner dans la terre, il y a une grande fête. Si les hommes charnels ou de la terre sont affectés pour une terre ou chair morte, combien de fois les hommes spirituels du royaume des cieux que nous sommes aujourd’hui devraient l’être pour l’âme qui doit quitter la mort pour la vie et hériter du royaume des cieux. Quel sacrifice pour l’âme avons-nous ou sommes-nous ?

C’est par manque de témoignage que les hommes n’ont pas peur de la mort spirituelle aujourd’hui, mais seulement de la mort physique ; et le mal en eux ne peut pas être effrayé. Le Seigneur Jésus est venu chercher et retrouver ce qui était perdu, c’est-à-dire l’âme. Voilà même pourquoi il est dit : «Car le Fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.  » (Luc 19/10). Donc, nous étant en lui, l’âme morte devait nous être très chère et aller à sa recherche pour la faire revenir à la vie devait pour nous être fait à la hâte et de manière accentuée. Si quelqu’un perd une grosse somme d’argent qui lui est chère, il se livre à sa recherche pour la retrouver. Or pour les hommes du royaume des cieux sur terre, ramener l’âme morte à la vie est plus cher que tout.

 

 

CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)

 

SI AUJOURD’HUI CEUX QUI SE DISENT CHRETIENS NES DE NOUVEAU,  JUSQU'AUX HOMMES DE DIEU TIRENT LEUR GRANDEUR, GLOIRE, RICHESSE ET  REUSSITE DE VIE DANS LES CHOSES DE LA TERRE, TERRE QU’ILS PIETINENT, D’OU VIENDRA DONC LE TEMOIGNAGE ?

C’est le 356ème message

 

 

En vérité, voir aujourd’hui le degré d’aveuglément de ceux-là qui se reconnaissent comme des véritables témoins de Christ donne une froideur et une grande frayeur, car le Seigneur Jésus dit : «La loi et les prophètes ont subsisté jusqu'à Jean; depuis lors, le royaume de Dieu est annoncé, et chacun use de violence pour y entrer.  » (Luc 16/16). Donc, cette parole du Seigneur Jésus qui est esprit et vie étant annoncée, celui qui la reçoit et vit cette vie du royaume des cieux, passera du royaume de la terre qui est l’appartenance à ce monde, au royaume du ciel qui est l’appartenance au royaume des cieux. Le royaume des cieux étant annoncé, ceux-là qui ont trouvé bon d’écouter la vie, la richesse, la gloire, la grandeur, la puissance et le pouvoir du royaume des cieux parce qu’en lui se trouve le bonheur de l’âme, prendront certainement  l’engagement de quitter et de mépriser la vie, la richesse, la gloire, la grandeur, la puissance et le pouvoir du royaume de la terre au profit de ceux du royaume des cieux.

Donc, celui qui a écouté la parole du royaume des cieux annoncée, et a pris l’encagement d’appartenir au royaume des cieux, devient l’homme du royaume des cieux dans ce monde et rend témoignage de tout son royaume ; mais n’étant plus du monde qu’il était. Il passe ainsi de l’autochtone qu’il était dans ce monde à l’étranger qu’il est devenu. Au départ, tout le monde était autochtone dans ce monde et seul le Seigneur Jésus était étranger ; et il rendait témoignage dans ce monde de la vie, de la gloire, de la richesse, de la grandeur, du pouvoir et de la puissance du royaume des cieux, démontrant que ce qui est du royaume de la terre n’a qu’une courte durée de vie et est sans valeur pour la fin. Le seigneur Jésus amenait de ce fait les gens à mépriser ce qui n’a pas de valeur au profit de ce qui a de la valeur pour l’éternité, car son désir était que tout le monde devienne son frère ou sa sœur par cette volonté du royaume des cieux ou du Père afin d’hériter les biens de valeur sans fin.

Le Seigneur Jésus étant seul, n’était pas de ce monde. Il avait donc appelé les premiers disciples qui avaient pris l’engagement de tout quitter et de le suivre. Ces premiers disciples qui avaient quitté le royaume de la terre dans l’esprit étaient devenus les gens du royaume des cieux. Ils étaient passés du statut d’autochtone à celui d’étranger. Etant toujours dans ce monde, ils n’étaient plus de ce monde comme celui qui les avait appelés, c’est-à-dire le Seigneur Jésus. C’est pour cela même qu’il rend témoignage au Père pour eux en disant : «Ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde.» (Jean 17/16). Voilà pourquoi le Seigneur leur avait dit qu’il rendait le témoignage de la vie, de la gloire, de la richesse, de la grandeur, de la puissance et du pouvoir du royaume des cieux sur terre et que son témoignage allait continuer, à travers eux qui avaient tout quitté pour lui. Le seigneur leur avait aussi dit que lui appartenant, ils recevront une puissance, le Saint Esprit qui surviendra sur eux, et ils seront ses témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans toute la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre (Actes 1/8).

Les apôtres ayant reçu la promesse, rendaient témoignage à Jérusalem dans la démonstration de la valeur de la vie, de la richesse, de la gloire, de la grandeur, du pouvoir et de la puissance du royaume des cieux au mépris de ceux de la terre à travers leur enseignement au point qu’ils avaient rempli Jérusalem de la gloire du royaume des cieux. Et les autochtones du royaume de la terre qui s’y trouvaient, voyant que les choses du royaume des cieux venaient à mépriser celles du royaume de la terre, leur défendirent d’enseigner au nom de l’homme du royaume des cieux tel qu’ils disaient : «Ne vous avons-nous pas défendu expressément d'enseigner en ce nom-là? Et voici, vous avez rempli Jérusalem de votre enseignement …  » (Actes 5/28). Donc, les apôtres, n’étaient plus du royaume de la terre, mais du royaume des cieux ; c’est ainsi qu’en imitant le Seigneur Jésus, nous devrions être édifiés par eux (Ephésiens 2/20).

En vérité, si nous étions du royaume des cieux, nous devrions rendre témoignage de la valeur de la vie, de la gloire, de la grandeur, de la richesse, de la puissance et du pouvoir du royaume des cieux au mépris de ceux de la terre. Etant sur terre, nous devrions rendre témoignage au Seigneur Jésus dans sa mission telle que les apôtres dont les noms sont écrits dans la bible ont fait hier. Nous serions dans le travail qui nous pousserai à accorder plus de valeur aux richesses du royaume des cieux tout en amenant les gens à recouvrer la vue afin qu’eux aussi passent de la considération des choses de valeur limitée à la considération de celles qui sont sans fin de valeur.

En vérité, si ceux qui se disent chrétiens nés de nouveau n’étaient pas aussi aveugles, ils amèneraient les rois, les chefs d’Etats, les ministres, les chanceliers, les diplomates, les grands hommes d’affaires, les stars, les gouverneurs, les généraux, les directeurs, les préfets, les colonels, les procureurs, les avocats, les sous-préfets, les maires, les commissaires, les commandants, les huissiers jusqu’aux derniers des fonctionnaires, des commerçants et agriculteurs qui sont encore grandement aveugles au recouvrement de la vue. Car ils ne voient pas que la grandeur, la gloire, la richesse, le pouvoir et la puissance qu’ils ont, ou cherchent à obtenir, ne sont que vanités parce qu’ils viennent des vanités. Malheureusement, eux-aussi sont restés vanités devant l’homme du royaume des cieux ; mais qui témoignera véritablement le royaume des cieux afin d’amener ces hommes inconnus du royaume des cieux, pauvres, misérables et nus de leur état à être connus du seigneur Jésus en devenant riches et en couvrant leur nudité ? Ceux qui se disent nés de nouveau et ceux qui se reconnaissent comme ne l’étant pas, tous sont dans la danse des aveugles. Sinon comment les gens peuvent piétiner ou marcher sur une terre et trouver que c’est dans cette terre que proviennent leur grandeur, leur gloire, leur richesse et la réussite de l’avenir de leur vie ; quel aveuglément ! Comment les hommes peuvent-ils se glorifier de la terre ? Regardez dans ce monde lorsque quelqu’un obtient les choses qui viennent de la terre qu’il piétine, les gens se mettent à dire qu’il est devenu grand, riche, glorieux, qu’il a gagné ou réussi sa vie ; il suscite ainsi la convoitise des uns et des autres, qui vont d’ailleurs envier sa place, chercher à être son ami ou à être à ses côtés comme frère, sœur, cousin ou cousine afin de bénéficier des choses qui viennent de la terre. Mais quelle pauvreté et vanité d’esprit !

En vérité, si dans ce siècle ceux qui sont considérés comme de véritables témoins de Christ tirent leur grandeur, leur gloire, leur valeur et leur réussite de vie dans les choses de la terre qu’ils piétinent, d’où viendra alors  le  témoignage ? En vérité, chrétiens ou pas chrétiens dans ce siècle, tous sont dominés par ce qu’ils piétinent ; car aujourd’hui, l’homme piétine la terre dans le physique, et les choses de la terre le piétinent dans le cœur et l’esprit. Le témoignage n’étant pas physique, mais spirituel, pendant que les hommes piétinent la terre dans le physique, les choses de la terre les piétinent dans l’esprit ; qui gagne l’autre, ou alors qui méprise l’autre ? Voilà pourquoi les choses de la terre les piétinant dans le cœur et dans l’esprit ont pris l’ascendance sur eux. C’est ainsi qu’aujourd’hui, le matériel domine l’homme et le rend son esclave, et tout cela est au profit du diable. Car les gens piétinent la terre physiquement et ce qui sort de la terre les piétine spirituellement et les rend esclaves  au point où s’ils sont en joie, c’est parce que ce qui sort de la terre est présent à leur côté, et si cette joie disparaît, c’est parce que ce qui sort de la terre a disparu dans leurs mains, dans leurs poches…

Le témoignage étant spirituel, voyant la terre et ses choses marcher sur le cœur, l’esprit de l’homme et son physique, disons-nous en vérité que c’est l’homme qui marche sur la terre ? Mais quelle fausse domination de l’homme marchant sur la terre, et quelle véritable domination des choses de la terre marchant dans le cœur et l’esprit de l’homme ! Si les chrétiens aujourd’hui étaient du royaume des cieux sur terre pour rendre témoignage que la gloire, la grandeur, la richesse et l’avenir de la vie de la chair n’ont aucune valeur pour la fin des temps, ils amèneraient les gens à les quitter c’est-à-dire à les mépriser pour la considération et l’attachement à ce qui est véritable ; ils marcheraient alors eux-mêmes physiquement sur la terre, et spirituellement aussi sur les choses de la terre qui n’ont aucune valeur éternelle, d’où tous les hommes de ce siècle, chrétiens ou pas tirent leur gloire, leur grandeur, leur richesse et la vie de leur avenir. Voilà pourquoi le matériel dans ce siècle est pris pour une grandeur, une gloire, une source de  respect,  de   considération,  de   suffisance, de vie et un avenir réussi.

C’est à cause de la grandeur, de la gloire, du respect, de la considération, de la valeur, du pouvoir, de la domination… provenant du matériel que les grands et petits de ce monde se livrent à la magie, à la pédophilie, à l’homosexualité, à la consommation du sang et de la chair humaine, à entretenir les rapports sexuels avec des fous, des folles et des animaux comme les totems, les chiens…, à la vente d’organes humains, à l’exhumation des ossements humains, à la vente des êtres humains par voie magique, aux agressions, braquages, vols, faux, détournements des fonds publics, à la création des maladies contagieuses, à l’armement des rebelles…. Donc, les choses de la terre sont devenues un dieu pour les chrétiens et non chrétiens au point où lorsque ce dieu les manque même pour quelque temps, ils sont comme morts ou malades, et lorsque qu’ils obtiennent ce dieu, la vie ou la santé leur revient. Que cela fait très mal surtout même pour ceux qui se disent nés de nouveau.

Donc, sans le témoignage du royaume des cieux dans ce royaume de la terre, comment le mal peut donc être freiné ? Le monde est rempli des chrétiens, mais de quel royaume

pour quel témoignage ? En vérité, s’il y avait des véritables qui sont de la race de Dieu, la terre où sont renfermés la gloire, la grandeur, la richesse, la valeur, la considération, le respect, la réussite et l’avenir de la vie des grands et petits de ce monde allait trembler ; mais il ne se fait pas tard car il est même dit : «Ainsi donc, étant la race de Dieu, nous ne devons pas croire que la divinité soit semblable à de l'or, à de l'argent, ou à de la pierre, sculptés par l'art et l'industrie de l'homme.  » (Actes 17/29). Il est encore dit : «Jette l'or dans la poussière, L'or d'Ophir parmi les cailloux des torrents; Et le Tout Puissant sera ton or, Ton argent, ta richesse.  » (Job 22/24-25), et Nahum 2/10 dit : «Pillez l'argent! Pillez l'or! Il y a des trésors sans fin, Des richesses en objets précieux de toute espèce. ».

Aujourd’hui, ce sont les choses de la terre qui pillent le cœur et l’esprit de l’homme, et ce sont elles qui sont notre fournisseur de joie, de paix, notre fortification, notre consolateur, notre déstressant et notre dieu. Or l’apôtre Paul dit : «Affectionnez-vous aux choses d'en haut, et non à celles qui sont sur la terre.  » (Colossiens 3/2) ; et l’apôtre Pierre de son côté dit : «N'aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui » (1Jean 2/15).

 

 

CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)

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