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DES ETRANGERS RECONNUS POUR  DES CAMEROUNAIS QUI GOUVERNENT LE CAMEROUN ONT SAUVAGEMENT PILLE L’ECONOMIE, MEPRISENT LA JUSTICE,  ELEVENT LA CORRUPTION, LES DETOURNEMENTS DE DENIERS PUBLICS…  EMPECHENT LE DEVELOPPEMENT ET RENDENT LA VIE TRES DIFFICILE AU BAS PEUPLE

C’est le 548ème message

 

Est-ce une grande malédiction pour le Cameroun d’être gouverné par des hommes qui sont camerounais et en même temps étrangers ou d’une autre nationalité, et qui traitent le Cameroun comme leur champ, et leur deuxième pays comme leur domicile ? En vérité, lorsque j’étais petit, j’avais le sentiment que ceux qui dirigeaient le Cameroun  travaillaient comme s’ils étaient des étrangers. Lorsque j’ai commencé à grandir, je me suis demandé  pourquoi les dirigeants camerounais dirigent-ils le Cameroun comme s’ils avaient un autre pays ? Aujourd’hui  12 juillet 2017 où j’écris ce message ayant une trentaine d’années, ma pensée donne raison à mon sentiment ; parce que tous les membres du gouvernement actuellement en fonction ont une double nationalité, en commençant par le président  Paul Biya.

Au Cameroun, la déclaration des biens devait commencer par le chef de l’Etat, suivi de ses collaborateurs. Mais ceci reste impossible parce qu’ils ont presque vidé les caisses de l’Etat, acheminé ces milliards à l’étranger pour les stocker dans des banques ou y investir à des fins personnelles. Au Cameroun, tous les ministres et directeurs des sociétés d’Etat ont des milliards gardés dans leurs comptes qui sont à l’étranger, et des grands investissements, alors qu’aujourd’hui 12 juillet 2017, un ministre d’Etat a un salaire de 794 651 francs CFA qui est composé d’un salaire de base de 257 981 francs CFA, d’une indemnité de sujétion de  217 387 francs CFA et d’une indemnité pour charges particulières de 319 283 francs CFA. Un simple ministre a un salaire de 679 287 francs CFA, et les vices ministres (secrétaires d’Etat) ont un salaire de 583 228 francs CFA. Mais comment expliquer que les ministres ont des fortunes qui s’élèvent à des centaines de milliards de francs CFA ! Je prends l’exemple de l’ancien directeur de l'Agence de régulation des télécommunications (ART), Jean Louis Beh Mengue, Limogé le 8 juin 2017 par décret présidentiel à cause d’un détournement de plus 100 milliards de francs CFA. Regardez tous ces ministres et directeurs des sociétés publiques qui sont en prison pour détournement de fonds publics, ou encore ceux qui sont en liberté, ayant détourné des milliards, comme Michel Meva’a Meboutou, et Edourd Akame Mfoumou, tous deux anciens ministres des finances, Robert Nkili  ancien ministre des transports … , ceux qui ont détourné et fui le pays après leurs fonctions pour rejoindre leur deuxième pays comme Lazare Essimi Menye, ancien ministre de l’agriculture, Remy Ze Meka ancien ministre de la défense, Ambassa Zang ancien ministre des travaux publiques, Dayas Mounoume ancien directeur du port autonome de Douala…. Il faut aussi noter que ceux qui sont actuellement en poste ont une double nationalité, et savent que lorsqu’ils auront fini de détourner l’argent de l’Etat camerounais qui devait servir à l’aménagement des routes, des hôpitaux, l’approvisionnement de la population en eau potable, en électricité, à la baisse du coût  panier de la ménagère et des prix produits de premières nécessité, à empêcher la grève des médecins, des enseignants …, ils quitteront ce pays qu’il ont ruiné, pillé et détruit pour aller s’installer dans leur deuxième pays avec leur famille, laissant le bas peuple dans le désarroi.

En vérité, ces étrangers qui gouvernent le Cameroun, savent qu’après la récolte dans le champ ils rentreront à la maison ; c’est-à-dire après leurs fonctions au Cameroun, ils rentreront dans leur deuxième pays. Voilà pourquoi ils bradent toutes les richesses du pays, privatisent les sociétés publiques, vident les caisses de l’Etat et empêchent le développement. Ils votent les lois et méprisent encore les lois républicaines, piétinent la justice, lui faisant perdre la raison  pour l’attribuer à l’argent ou aux titres influents ; ils sèment, arrosent et font croitre la corruption comme une fleur qu’on arrose chaque matin pour qu’elle grandisse rapidement. Cette corruption a pris le dessus sur le mérite dans tous les domaines sociaux. Au Cameroun, en zone rurale, les routes ne sont pas aménagées ; mais le chef d’Etat demande aux jeunes d’y aller pour cultiver  la terre. Les gens peuvent pratiquer l’agriculture en zone rurale, avoir des récoltes abondantes grâce à la fertilité du sol, mais comment achemineront-ils leurs produits vers les marchés avec les routes très enclavées ?  Lorsqu’on alloue un budget pour l’aménagement des routes, les étrangers qui gouvernent le pays détournent ces fonds pour les acheminer dans leurs secondes nations ; car pour eux, leurs familles ne vivent pas dans ces brousses mais plutôt en occident. Ils détournent l’argent qui devait servir à la création et à l’aménagement des hôpitaux, parce qu’ils savent que  leurs enfants qui viennent en congé au Cameroun, y compris eux-mêmes seront évacués à l’étranger pour tout moindre souci sanitaire.  Ils détournent l’argent qui devait servir à l’aménagement des pôles de distribution d’eau potable à la population ; car ils savent qu’ils ne boivent que l’eau minérale,  et utilisent pour leurs besoins l’eau des forages traités avec le plus grand soin, qui coule dans leurs résidences.

Ces étrangers qui gouvernent au Cameroun laissent les routes, les hôpitaux, les sociétés publiques et autres infrastructures dans un état de délabrement très avancé,  la justice, la moralité …se dégradent et suivent le même pas ; car ils savent qu’ils quitteront le Cameroun après leurs fonctions pour aller dans leur seconde patrie. Ils traitent le Cameroun comme leur champ. Si ces gouvernants avaient le Cameroun pour seule patrie, ils devaient aussi chercher à développer leur nation comme la France, la Suisse, les Etats Unis d’Amérique… qu’ils envient et prennent pour seconde nation ; ils devaient vendre les richesses du sol et du sous-sol camerounais pour développer le Cameroun, mais au contraire ils vident les caisses de l’Etat pour aller stocker ces fonds dans les banques en occident, ou y investissent pour leur propre intérêt. Ils continuent par là à développer des pays déjà développés, empêchant le développement de ceux qui sont encore sous-développés.  

En vérité, le Cameroun est dirigé  par un suisse qui est le président Paul Biya, et par les français, les américains, qui sont le reste des membres du gouvernement actuel. Chaque dirigeant camerounais a une double nationalité bien prouvée par son second passeport : Paul Biya, le chef d’Etat camerounais est suisse par sa seconde nationalité, Philémon Yang, premier ministre, chef du gouvernement, est français, Amadou Ali, vice-Premier ministre, ministre délégué à la Présidence chargé des relations avec les assemblées, français, Marcel Niat Njifenji, premier président du Sénat du Cameroun, français, Bello Bouba Maïgari, Ministre du tourisme et des loisirs, français, Laurent Esso, ministre de la justice, garde des sceaux, français,  Joseph Beti Assomo, ministre délégué à la Présidence, chargé de la Défense, français, Mme Rose Mbah Acha, ministre délégué à la Présidence chargé du contrôle supérieur de l’Etat, française, Abba Sadou, Ministre délégué à la Présidence chargé des marchés publics, français, René Sadi, ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation, français, Mme Pauline Irène Nguene, Ministre des affaires sociales, française, Henri Eyebe Ayissi, ministre de l’agriculture et du développement rural, américain, Jean Narcisse Mouelle Kombi, ministre des arts et de la culture, français, Luc Magloire Mbarga Atangana, ministre du commerce, français, Issa Tchiroma Bakary, ministre de la communication, français, Mme Jacqueline Koung A Bissike, ministre des domaines, du cadastre et des affaires foncières, française, Basile Atangana Kouna, ministre de l’eau et de l’énergie, français, Louis Paul Motaze, ministre de l’économie, de la planification et de l’aménagement du territoire, français, Mme Youssouf Hadidja Alim, ministre de l’éducation de base, française, Dr Taiga, ministre de l’élevage, des pêches et des industries animales, français, Zacharie Perevet, ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, français, Jean Ernest Ngalle Bibehe Masséna, ministre des enseignements secondaires, français, Jacques Fame Ndongo, ministre de l’enseignement supérieur, français.

Pierre Helé, ministre de l’environnement, de la protection de la nature et du développement durable, par sa seconde nationalité est français, Alamine Ousmane Mey, ministre des finances, français, Michel Ange Angouin, ministre de la fonction publique et de la réforme administrative, français, Ngole Philip Ngwese, ministre des forêts et de la faune, français, Jean Claude Mbwentchou, ministre de l’habitat et du développement urbain, français, Mounouna Foutsou, ministre de la jeunesse et de l’éducation civique, français, Hernest Ngoua Boubou, ministre des mines, de l’industrie et du développement technologique, américain, Laurent Serge Etoundi Ngoa, ministre des petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’artisanat, français, Mme Minette Libom Li Likeng, ministre des postes et télécommunications, française, Mme Marie-Thérèse Abena Ondoa, ministre de la promotion de la femme et de la famille, française, Mme Madeleine Tchuinte, ministre de la recherche scientifique et de l’innovation, française, Lejeune Mbella Mbella, ministre des relations extérieures, français, André Mama Fouda, ministre de la santé publique, français, Pierre Ismaël Bidoung Kpwatt , ministre des sports et de l’éducation physique, français, Edgard Alain Mebe Ngo’o, ministre des transports, français, Grégoire Owona ,ministre du travail et de la sécurité sociale, français, Emmanuel Nganou Djoumessi, ministre des travaux publics, français, Martin Mbarga Nguele, délégué général à la sureté nationale, français, Ndongo Jules Doret, ministre délégué auprès du ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation chargé des collectivités territoriales décentralisées, français, Mme Clémentine Ananga Messina,  ministre délégué auprès du ministre de l’agriculture et du développement rural chargé du développement rural, française, Dr Nana Aboubakar Djalloh, ministre délégué auprès du ministre de l’environnement, de la protection de la nature et du développement durable, français, Abdoulaye Yaouba ministre délégué auprès du Ministre de l’économie, de la planification et de l’aménagement du territoire chargé de la planification, français, Paul Che Eloum, ministre délégué auprès du ministre des finances, français, Jean-Pierre Fogui , ministre délégué auprès du ministre de la justice, garde des sceaux, français, Jospeh Dion Ngute, ministre délégué auprès du ministre des relations extérieures chargé de la coopération avec le Commonwealth, français, Adoum Gargoum , ministre délégué auprès du ministre des relations extérieures chargé de la coopération avec le monde islamique, français, Oumarou Mefiro, ministre délégué auprès du ministre des transports, français.

Moustapha Hamadou, Mengot Victor Arrey Nkongho, Philippe Mbarga Mboa, tous ministres chargés de mission à la Présidence de la République,  français, ainsi que Paul Atanga Nji, américain. Jean-Baptiste Bokam, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la défense, chargé de la gendarmerie nationale, français, Issa Koumpa,  secrétaire d’Etat auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants et victimes de guerre, français, Benoît Ndong Soumhet, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’éducation de base, français, Boniface Bayaola, secrétaire d’Etat auprès du ministre des enseignements secondaires, chargé de l’enseignement normal, français, Mme Koulsoumi Alhadj épouse Boukar, secrétaire d’Etat auprès du ministre des forêts et de la faune, française, Mme Marie Rose Dibong, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’habitat et du développement urbain, chargé de l’habitat, française, Dooh Jérôme Penbaga, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la justice, garde des sceaux, chargé de l’administration pénitentiaire, français, Fuh Calistus Gentry, secrétaire d’Etat auprès du ministre des mines, de l’industrie et du développement technologique, français, Alim Hayatou secrétaire d’Etat auprès du ministre de la santé publique chargé de la lutte contre les épidémies et les pandémies, français, Louis-Max Ayina Ohandja, secrétaire d’Etat auprès du ministre des travaux publics chargé des routes, français, Adolphe Moudiki, le tout puissant administrateur directeur général de la Société nationale des hydrocarbures, français….

Cher bas peuple, ne vous étonnez plus de l’attitude des dirigeants vis-à-vis du peuple, de son développement et de plusieurs autres choses. En vérité, si on ramenait l’argent de l’Etat du Cameroun qui est stocké dans les banques à l’étranger, les fortunes que ces français, américains et suisses qui gouvernent le Cameroun ont investies en occident pour l’utiliser pour développer le Cameroun, alors la santé, l’éducation, l’électricité… seraient gratuits comme en Libye au temps de Kadhafi. Le Cameroun est très riche, mais sa richesse est piétinée, détruite et volée par des hommes sans pitié ni amour de leur patrie et du pauvre bas peuple. Même l’argent emprunté auprès des organismes internationaux pour le développement du pays  est plutôt investi dans des campagnes  politiques. Les français, américains, suisses qui gouvernent au Cameroun gaspillent des milliards dans l’argent de l’Etat, avec leurs enfants à l’étranger, pendant que les enseignants souffrent pour éduquer la jeunesse camerounaise sans salaire suffisant, ainsi que les médecins qui ne manquent pas de grever pour manifester publiquement leur mécontentement. Le bas peuple  doit beaucoup prier Dieu pour qu’il leur donne des dirigeants qui seront là pour le servir avec un cœur de pitié pour son manquement, et non ceux qui vont le tromper et le voler pour faire vivre un autre peuple. Le peuple doit aussi prier Dieu pour qu’il soit au dessus du matériel et des choses de vanité, et  souverain par la vérité ; parce que même pour les concours comme celui de l’IRIC , le CUSS ou la faculté de médecine, l’ENAM, l’EMIA, la police … , si quelqu’un n’est pas leur enfant, de leur famille, ou un autre proche, il faut avoir des millions pour acheter une place ; même pour certaines nominations, il faut donner l’argent ou adhérer à leurs cercles vicieux, ou encore accepter de se plier à des conditions horribles. Hier, lorsque l’emploi était facile à obtenir au Cameroun, l’enseignement était plus rigoureux et les diplômes étaient difficiles à obtenir ; aujourd’hui où l’obtention de l’emploi est difficile, le gouvernement  a facilité  l’enseignement et l’obtention des diplômes. Je me pose continuellement cette question : si le clando des mototaxis ne venait pas à temps pour occuper des millions de camerounais, le bas peuple  ne vivrait-il pas le chaos ?

CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)

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