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EN VERITE, SI LES CHRETIENS AUJOURD’HUI ETAIENT DANS LA FOI, ILS DEVAIENT AVOIR PLUS PEUR DE LA MORT SPIRITUELLE, ET LE MAL SERAIT MOINS, MAIS COMME ILS SONT DANS LA LOI, VOILA POURQUOI   ILS ONT PLUS PEUR DE LA MORT PHYSIQUE, ET LE MAL NE PEUT QU’AUGMENTER AU JOUR LE JOUR.

                            C’est le 327ème message.

  

Quand je regarde le monde aujourd’hui, j’ai du mal à retenir les larmes au fond de mon cœur, car je vois comment le Seigneur Jésus a souffert et coulé son sang dans la chair qu’il avait prise afin que de part son évangile, les gens puissent quitter la loi pour la foi en lui ; mais, cet évangile est moins annoncé aujourd’hui pour amener les gens à la perfection. Pour cela, je vais me sacrifier par sa grâce et donner tout ce qu’il pourra me donner tant dans l’esprit que dans le physique pour que les gens puissent connaître la foi en esprit et en vérité et soient affranchis de la loi.

La loi est charnelle et la foi est spirituelle. Si la loi pouvait amener l’homme à dominer le diable, la foi ne serait pas venue. Mais comme la loi est charnelle, les hommes ne peuvent pas dominer l’esprit de mort par elle, parce qu’elle est faible et impuissante pour tutoyer l’esprit de mort qui prend l’âme en otage éternellement. La foi, qui est spirituelle, est venue afin que par elle, les gens puissent dominer l’esprit de mort qui empêchait leurs âmes de se dégager de la mort éternelle. La foi, qui est le Seigneur Jésus, étant venue, nous a fait comprendre qu’elle n’est pas venue délivrer et sauver notre chair pour qu’elle ne meure pas, ou l’empêcher de retourner dans la terre d’où elle avait été prise, mais qu’elle est venue délivrer et sauver notre âme afin qu’elle ne se retrouve pas dans la souffrance du feu éternel. La foi nous a fait comprendre que l’homme fort qui empêchait nos âmes de vivre éternellement est spirituel et plus fort que la chair ; donc, si nous sommes conduits selon la loi, nous serons éternellement dominés devant lui. Voilà pourquoi elle nous a apporté l’esprit de vie par lequel nous devons être conduits pour vaincre l’esprit de mort. Elle nous a fait comprendre qu’étant spirituelle, nous devons avoir la crainte spirituelle et non la crainte physique afin de vaincre l’esprit de mort.

Si notre crainte est charnelle, il nous sera impossible de vaincre l’homme de la mort spirituelle. La crainte de la mort d’esprit procure la crainte spirituelle, et la crainte spirituelle procure le bien et de cette façon, le mal est largement vaincu. Mais comme les gens sont dans la loi, ils n’ont pas peur de la mort spirituelle, mais plutôt de la mort physique, et pourtant ce n’est pas par la peur de la mort physique que le mal peut être vaincu, mais plutôt par la peur de la mort spirituelle. Comme les hommes d’aujourd’hui sont dans la peur de la mort physique, le mal ne peut qu’être élevé au jour le jour. Le Seigneur Jésus, sachant que tous ceux qui sont dans la foi en lui sont ses amis, leur dit de ne pas craindre ce qui peut tuer le corps physique et ne peut tuer le corps spirituel tel qu’il est dit : «Je vous dis, à vous qui êtes mes amis: Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui, après cela, ne peuvent rien faire de plus.   » (Luc 12/4). Si les hommes étaient dans la foi pour avoir peur de mourir spirituellement, il devait avoir moins de mal dans le monde. Si on était dans la foi, on devait plus avoir peur de la mort spirituelle ou de la mort de l’âme, parce que la foi nous recommande de ne pas craindre la mort physique et sa provenance, mais de craindre plutôt la mort spirituelle et sa cause. Voilà pourquoi la foi dit : «Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne.  » (Matthieu 10/28).

Pour les hommes de la foi, lorsque quelqu’un est mort spirituellement, même s’il est physiquement vivant, ils sont tellement gênés, s’inquiètent et se lamentent en demandant au Seigneur de le faire revenir à la vie. Pendant ce temps, les hommes de la loi ne sont pas gênés ni inquiétés de cette mort parce qu’ils ne sont pas différents de ce mort. Pour les hommes de la loi, lorsque quelqu’un meurt physiquement, ils sont tellement gênés, s’inquiètent, se lamentent et pleurent en demandant au Seigneur pourquoi il a accepté que cela se fasse, surtout si celui qui est parti était jeune dans la chair. Le monde étant rempli des hommes de la loi, il ne s’y trouve pas ceux qui vont pleurer et se lamenter pour les morts spirituels, mais tous vont pleurer et se lamenter pour les morts physiques or, s’il y a les hommes de la foi, ils vont pleurer et se lamenter sur les morts spirituels en demandant au Seigneur de faire revenir ces morts à la vie, parce que c’est pour cela qu’il a souffert et accepté d’être crucifié pour ces âmes et non pour la chair ou la poussière. Pour les hommes de la foi, lorsque quelqu’un meurt physiquement, vivant ou mort spirituellement, il n’y a plus rien à faire pour lui. Voilà pourquoi les lamentations et les pleurs ne peuvent plus rien lui apporter. C’est pourquoi un jour, lorsque l’enfant que David avait eu avec la veuve d’Urie était gravement malade, David était entré en jeûne, il ne se lavait pas et dormait à même le sol, priant Dieu pour qu’il fasse revenir l’enfant à la santé. Du moment où l’âme a quitté sa terre, c’est-à-dire le moment où l’enfant était mort, David avait laissé toutes ces choses, parce que le jeûne, le fait de ne pas manger, ni boire, ni se laver et l’engagement de dormir au sol ne lui servait plus à rien. Cela avait étonné ses serviteurs qui étaient les hommes de la loi, et qui trouvaient que David devait beaucoup plus pleurer maintenant que l’enfant était mort, en déchirant ses habits et en passant plus de temps sans manger mais, David leur avait fait comprendre qu’il jeûnait, qu’il ne se lavait pas et qu’il dormait à même le sol pour l’âme de l’enfant et non pour sa chair ; maintenant que l’âme est partie, il n’y a plus rien à faire (2Samuel 12/20-23).

Les hommes de la foi ne se lamentent pas pour la poussière qui est enterrée rapidement après le départ de l’âme, de peur de la laisser  empoisonner les autres par les odeurs. C’est pourquoi les hommes de la loi trouvaient le Seigneur Jésus méchant et disaient qu’il égarait les hommes car, un disciple lui avait demandé de lui permettre d’abord d’aller ensevelir son père, mais il lui avait répondu de le suivre plutôt et de laisser les morts ensevelir leurs morts (Matthieu 8/21-22).

Aujourd’hui, la mort physique est plus considérée que la mort spirituelle. Or, la mort de la poussière n’est qu’un passage puisque cette chair ne peut pas hériter le royaume des cieux, ni le lac de feu éternel, mais elle doit retourner là où elle avait été prise. Voilà pourquoi dans ce siècle où la loi est dominante, lorsque vous n’assistez pas à un deuil de la famille qui est l’enterrement de la poussière, vous êtes pris pour un méchant ainsi que votre croyance. Les gens doivent comprendre que lorsque l’âme quitte la chair, il n’y a plus rien à faire pour cette terre. Les cérémonies et fêtes de nourriture et boisson ne sont que de la folie et des dépenses vaines. Les gens disent qu’ils font rentrer cette terre avec les honneurs pour la personne que son âme n’est pas rentrée avec les honneurs devant Dieu. C’est quand l’âme d’une personne est encore dans la chair qu’elle peut recevoir tout du Seigneur Jésus et avoir les honneurs devant Dieu. Mais est-ce la terre qui rentre avec les honneurs devant les asticots et les vers ou l’âme devant Dieu ?

Sans la peur de la mort spirituelle, sans le port de l’amour en esprit et en vérité et devoir cet amour à notre semblable, sans le frein du mal, les gens ne doivent pas se poser la question du pourquoi le mal inonde le monde alors que les hommes de Dieu, les églises ont rempli les quartiers, les villes et les nations, prêchant l’évangile de la loi, faisant les prières, miracles et prodiges, des nuits et veillées de prière, des chemins de croix, s’abstenant de manger la viande certains vendredis …. Il n’y a aucun frein pour le mal dans la loi. Dans la foi, nous sommes spirituels pour avoir aussi peur de mourir spirituellement, et dans la loi, nous sommes charnels et nous avons peur de mourir charnellement.

Lorsqu’on crucifiait le Seigneur Jésus sur la croix, je ne me lamentais pas et je ne pleurais pas parce que je savais que ce n’est que le physique qui est poussière et qui ne sert à rien qui se perdait. Je savais qu’avant sa mort il était plus éloigné de moi, mais après sa mort dans le physique, il s’est rapproché de moi, c’est-à-dire qu’il est venu habiter en moi spirituellement pour l’éternité. 

 

 

CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)

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