POURQUOI LES GRANDES CHOSES QUE DIEU FAISAIT HIER A TRAVERS LES HOMMES ET QUI SONT DECRITES DANS
L’ANCIEN ET LE NOUVEAU TESTAMENT SONT PLUS DIFFICILES A REALISER A TRAVERS LES HOMMES D’AUJOURDH’UI ?
C’est le 290ème message
En vérité, Dieu dans sa parole ne change pas sa manière d’agir, mais il opère avec des personnes qui portent en elles l’assurance, de la valeur et de l’obéissance. Dieu opérait de grandes choses hier parce que les gens à travers qui il opérait n’avaient pas une croyance corrompue tel que c’est le cas aujourd’hui.
Nous commençons premièrement par le patriarche Abraham à qui l’Eternel avait demandé le sacrifice de son unique enfant. Abraham avait trouvé la valeur et la richesse dans l’obéissance à cette volonté de Dieu, et rien d’autre ne pouvait l’en détourner. Avec cette croyance, assurance et obéissance, comment l’Eternel Dieu pouvait-t-il ne pas opérer de grandes choses avec Abraham ? C’est difficile avec nous aujourd’hui, pourtant tout ce qui est bon et agréable à Dieu dans ce monde c’est de voir tout le monde parvenir à la connaissance de la vérité et être sauvé. Voilà pourquoi il nous demande avec empressement d’annoncer sa richesse aux pauvres afin que ceux-ci deviennent aussi riches de lui. Donc, pendant que le Seigneur attend que sa bonne nouvelle soit répandue, nous lui parlons plutôt de notre temps, de notre ventre, de nos enfants et de nos familles. Or dès que l’Eternel avait demandé à Abraham son fils unique, il l’avait apporté au devant de lui mais nous, pendant que Dieu attend sa richesse au devant des pauvres, c’est là où nous trouvons la valeur dans le matériel au point où sacrifier cette poussière devient difficile pour nous. Si laisser les enfants et la famille pour quelque temps ou sacrifier le matériel pour la contribution au partage de la richesse de Dieu aux pauvres est très difficile pour nous, sacrifier alors son unique enfant comme Abraham pourra-t-il être possible pour nous ? Voilà donc comment la croyance, l’assurance et la volonté qu’avaient de grands hommes comme Abraham, amenaient l’Eternel à faire de grandes choses avec eux.
Nous devons comprendre que ce siècle est le plus pauvre malgré les inventions et la technologie avancée, et cette pauvreté c’est le mal. Le Seigneur Jésus veut que sa richesse soit donnée jusqu’aux Chefs d’Etats et rois des nations, car l’argent et les hommes ne sont pas la richesse, mais plutôt la vie et la divulgation de la bonne nouvelle de Dieu. Voilà même pourquoi le Seigneur Jésus parle de sauver son âme en perdant sa vie dans le physique pour lui et pour sa bonne nouvelle lorsqu’il dit : « … mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de la bonne nouvelle la sauvera» (Marc 8/35). Et le Seigneur continue en disant : « Et quiconque aura quitté, à cause de mon nom, ses frères, ou ses sœurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, ou ses maisons, recevra le centuple, et héritera la vie éternelle» (Matthieu 19/29), et encore : Si quelqu'un vient à moi, et s'il ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, et ses sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple» (Luc 14/26).
Car nous devons comprendre que Joseph en Egypte savait que la femme de Potiphar était pauvre et que pour cela elle ne pouvait rien lui donner au cas où il satisferait à sa demande, mais plutôt elle volerait ce qu’il possédait et qui n’avait pas de prix. Si c’était nous aujourd’hui, nous ne verrions pas que la parole que nous portons ou le Dieu qui nous accompagne est celui qui a toute chose. Voyant le matériel qui était à la portée de cette femme, nous tomberions très vite sous sa demande ou proposition en disant qu’elle peut changer notre vie. Mais, Joseph ayant connu une double vente, premièrement de ses frères aux Ismaélites, et deuxièmement des Ismaélites à Potiphar, officier de Pharaon et chef des gardes en Egypte, gardait toujours l’assurance et l’espérance en la fidélité de son Dieu malgré cette peine et souffrance. Comment donc l’Eternel n’aurait-il pas accompli de grandes choses avec la croyance et l’assurance qu’il avait de lui ?
Nous avons aussi le cas de Schadrac, Meschac et Abed-Négo qui s’étaient retrouvés à Babylone sous la domination du roi Nébucandnédsar où le roi les avait placés comme intendants de la province de Babylone. Ils avaient refusé de se prosterner devant la statuette du roi qu’il avait élevé pour son dieu, trouvant que le roi et toute sa nation étaient pauvres et esclaves parce qu’ils ne vivaient ou ne servaient pas le Dieu vivant. Cet acte considéré comme un affront ou une insulte, un mépris à l’égard du roi avait poussé ce dernier à s’interroger sur leur croyance et leur assurance. Le roi leur ayant posé la question sur leur agissement, ceux-ci lui avaient dit qu’ils n’avaient pas besoin de lui répondre sur ce sujet. Or si c’était nous aujourd’hui, nous tremblerions devant le travail, l’argent et tout ce que le roi avait et nous le trouverions plus grand et plus riche que nous. Mais la croyance et l’assurance en la richesse que les trois compagnons avaient jusqu’à la domination du feu du roi avaient amené ce dernier et sa nation, pauvres et petits de leur état face aux trois compagnons et leur Dieu, à considérer ces trois compagnons comme intouchables au point où le roi avait donné l’ordre qu’aucune personne de sa nation ne parle mal d’eux, mais plutôt craigne leur Dieu, parce qu’il n’y a aucun autre dieu qui peut vivifier, sauver et délivrer comme lui. Mais nous aujourd’hui, face aux gens qui méprisent Dieu en tout à cause de leur argent, nous tremblons devant eux et nous nous voyons petits et pauvres, alors que nous sommes en réalité riches et grands à travers celui qui est en nous et que nous devons témoigner afin que les gens qui mènent une vie qui n’est pas de Dieu, mais pensant qu’ils sont riches et grands parce qu’ils ont le matériel, reconnaissent à travers notre richesse (croyance et assurance) qu’ils sont pauvres et petits car, c’est par la croyance et l’assurance qu’avaient les trois compagnons que le roi et sa nation avaient reconnu qu’ils étaient pauvres. Comment Dieu ne pouvait-il pas faire de grandes choses avec leur croyance et leur assurance ?
Nous aujourd’hui, nous tremblons devant les hommes d’argent et de mauvaises vies ayant vendu pour la plupart leurs âmes comme si ce que nous portons a moins de valeur que cette poussière que possèdent ces gens, ou encore comme si la parole créatrice qui est en nous n’a pas créé toutes les choses qui frappent à nos yeux et qui nous rendent corrompus. Avec cette croyance et assurance aujourd’hui, comment le Seigneur va-t-il opérer de grandes choses à travers nous pour que les hommes méchants changent ? L’apôtre Paul à qui la prophétie avait révélé qu’il sera lié à Jérusalem au cas où il y montait, avait demandé à ceux qui pleuraient à sa place : « Que faites-vous en pleurant ?», en d’autre terme pourquoi pleurez-vous ?, parce que pour lui il était prêt non seulement à être lié, mais encore à mourir à Jérusalem pour annoncer la bonne nouvelle. Si c’était nous aujourd’hui, nous aurions peur d’être attachés ou emprisonnés, nous chercherions à savoir qui nourrirait nos enfants, notre petite famille ? Or, comment avec cette croyance et assurance de Paul Dieu ne pouvait pas faire de grandes choses à travers lui ? Chaque fois, Paul était emprisonné, enchaîné à cause de la bonne nouvelle, les gens parfois suivaient ceux qui l’arrêtaient et les exhortaient de faire mourir Paul et le signifiaient parfois en proclamant qu’ils se priveraient de nourriture et de boisson jusqu’à ce qu’il soit tué, mais tout cela n’affectait pas Paul, c’est pourquoi il disait : « Mais je ne fais pour moi-même aucun cas de ma vie, comme si elle m'était précieuse, pourvu que j'accomplisse ma course avec joie, et le ministère que j'ai reçu du Seigneur Jésus, d'annoncer la bonne nouvelle de la grâce de Dieu» (Actes 20/24).
Il y a plusieurs exemples, mais j’en ai cité peu. L’Eternel Dieu nous a fait la grâce par rapport à Christ, non seulement de croire en lui, mais de souffrir pour lui. Mais nous aujourd’hui, nous voulons que Dieu opère de grandes choses à travers nous tel qu’il a opéré hier à travers les autres. Pourquoi le ferait-il ? Nous avons quel amour, quelle volonté, quel attachement, quel sacrifice, quelle croyance et quelle assurance pour lui ? Mais comme nous sommes encore ignorants, voilà pourquoi nous croyons que nous faisons une faveur à Dieu en donnant le matériel ou en faisant quelque chose, sans comprendre et sans voir que Dieu est le créateur de toute chose, et le vivifieur de tout être mort, donc il n’a besoin de rien et que c’est nous, qui sommes pauvres et morts qui voulons sa richesse et sa vie.
En vérité, les hommes aujourd’hui sont orgueilleux parce qu’ils croient que Dieu est homme comme eux. Qu’ils sachent que même si nous donnons toute la terre pour offrande à Dieu, ne pensons pas que nous lui avons beaucoup donné parce qu’il n’est pas homme. Pensons-nous qu’il a besoin de quoi ? Il est dit : « il n'est point servi par des mains humaines, comme s'il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses » (Actes 17/25). Même Abraham, lorsqu’il ouvrait la bouche pour parler à Dieu reconnaissait ce qu’il était, un moins que rien devant lui lorsqu’il disait : « … j'ai osé parler au Seigneur, moi qui ne suis que poudre et cendre » (Genèse 18/27). Quand je vois comment les hommes veulent servir Dieu aujourd’hui en ces temps difficiles en le prenant comme un homme, cela me fait grandement pitié. Il est question que nous comprenions que si nous avons mangé le corps de Christ, alors nous sommes devenus ce corps. Etant donc rassemblés en tout lieu, c’est ce corps qui est rassemblé, et le chef de ce corps est invisible aux yeux des hommes. Lui-même est là au milieu de ceux qui sont devenus son corps et qui sont rassemblées étant ses frères, ses sœurs et ses amis, la crainte et le respect étant éprouvés par tous. Je me demande avec quelle croyance, quelle assurance et quel respect Dieu opèrera-t-il des miracles à travers nous afin que ce siècle plus corrompu et plus méchant que jamais puisse trembler ?
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)
COMMENT COMPRENDRE QUE LES GRANDES AUTORITES DE CE MONDE, ROIS, CHEFS D’ETATS, MINISTRES… N’ONT PAS L’AUTORITE DE DIEU ?
C’est le 289ème message.
En vérité, le Seigneur Jésus ne m’a pas envoyé jouer avec ce qui tue l’homme ou ce qui le maintient dans la mort éternelle en le séduisant ou en l’acclamant dans son état d’insensé, de pauvreté et de nudité, mais pour lui démontrer avec puissance et vérité son état d’aveuglément, de bassesse, de misère et de mort. Je respecte ces grandes autorités, de même que les fonctions qu’elles assument, mais la vie de leurs âmes m’est préférable à leurs fonctions et, l’autorité, le pouvoir et le commandement sur le péché est préférable à leur autorité, pouvoir et commandement sur les hommes. Il faut savoir que si nous avons l’autorité, le pouvoir et le commandement sur les hommes sans le véritable qui est l’autorité, le pouvoir et le commandement sur le péché, nos fonctions sont inutiles et sans valeur devant Dieu.
Avant l’arrivée du Seigneur Jésus-Christ, les rois et les gouvernants avaient l’autorité, le pouvoir et le commandement sur les hommes, mais ils n’avaient pas l’autorité, le pouvoir et le commandement véritable qui sont la domination du péché. Voilà pourquoi le Seigneur Jésus est venu vers nous pour que nous le recevions afin que nous devenions les autorités véritables même sans gouverner les hommes. Mais aujourd’hui, les hommes préfèrent glorifier l’autorité, le pouvoir et le commandement sur les hommes en méprisant l’autorité, le pouvoir et le commandement sur le péché. Cela veut dire qu’ils rendent nuls et vains la souffrance et le sang de Christ coulé sur la croix pour eux. Comprenez que tous ceux qui le font sont aussi nuls et sans considération devant Dieu.
A quoi sert-il à l’homme de gagner l’autorité, le pouvoir et le commandement sur les hommes et de gagner toute la terre et son sous-sol, s’il ne possède pas l’autorité, le pouvoir et le commandement sur le péché pour ne pas perdre son âme ? Je ne suis pas un assoiffé de la gloire humaine et du pouvoir sur les hommes, ou encore des biens physiques, mais je suis un assoiffé du pouvoir sur le péché et des biens spirituels, et je n’acclame pas les hommes qui ont l’autorité, le pouvoir et le commandement sur les hommes, et qui sont d’ailleurs dominés par le péché. Presque toutes ces grandes autorités (rois, chefs d’Etats, ministres…) sont dominées par l’homosexualité, la magie, la consommation du sang humain et le sacrifice de l’être humain, donc ils méprisent grandement le sentiment, la pensée et la vie en Dieu. Mais elles seront aussi méprisées par le feu éternel au cas où elles ne changent pas, et le changement ne peut venir que par la démonstration de l’évangile de Christ prêché, qui ne séduit pas, mais qui leur fait comprendre et voir leur perdition à cause des acclamations des mains d’hommes et du matériel qui ne sont que des vanités venant des sacrifices de leurs semblables, du sang humain qu’ils boivent, des totems qu’ils possèdent, de l’esprit animal qu’ils portent pour se transformer en animal, de la sodomie qu’ils pratiquent… En vérité, voyant et entendant ce que je suis par la grâce de Dieu, ce n’est pas pour souhaiter longue vie sur terre à ces hommes occultes, mais c’est pour supplier le Seigneur Jésus de leur faire voir le salaire qui les attend à cause de leurs pratiques ou la fin du chemin qu’ils ont emprunté afin qu’ils éprouvent de la peur, du regret et qu’ils changent.
Comme dans ce monde la grandeur et la vie se trouvent dans le matériel, voilà pourquoi les aveugles et sourds disent souvent aux gens à l’égard de ces sadiques : ‘’Ne sais-tu pas que celui-là peut changer ta vie ? Cela veut dire que ce consommateur du sang humain ou pédophile … peut te faire travailler ou te donner de l’argent afin que ton habillement, ta ration, ton hébergement et ta considération devant les hommes changent’’. Et quand ces sadiques le font, les gens vont dire : ‘’Sa vie a changé‘’, mais de quelle vie s’agit-il ? Ils ne connaissent que celui qui peut donner le travail ou l’argent à quelqu’un pour changer sa vie, mais ils ne connaissent pas le porteur de la parole de Christ et le véritable changeur de vie, celui-là même qui change la vie de quelqu’un en le faisant passer de son état de mort à celui de vivant. Dans ce monde, on connaît et on glorifie seulement les gens qui portent l’argent et le pouvoir de faire travailler, c’est-à-dire ceux qui amènent quelqu’un de la vie du manquement du matériel à celle de l’abondance. En vérité, entre Lazare et le mauvais riche, qui pouvait changer la vie de l’autre ? Le pauvre Lazare et le mauvais riche sont au milieu de nous, mais qui ira à la recherche du pauvre Lazare pour que sa vie change ? Étant aveugle et ne voyant pas sa richesse, c’est tout le monde qui va le fuir pour se tourner vers le mauvais riche, cherchant à s’attacher à lui pour être son ami, juste parce que sa pauvreté n’est pas vue des hommes. Voilà pourquoi ceux qui fuient le pauvre Lazare le font parce qu’ils ne voient pas sa richesse, et ceux qui cherchent à s’attacher au mauvais riche le font parce qu’ils ne voient pas sa pauvreté.
Quand je vois ce monde dans son état d’égarement et d’abomination, ce n’est pas l’émergence des nations et le pouvoir d’achat que je vais demander à l’éternel Dieu d’accorder aux hommes ou encore une longue vie, mais je vais lui demander de leur offrir son cœur pour que le mal et la mort éternelle soient dominés dans l’homme afin que la souffrance de Christ et son sang versé ne soient pas vains. Mon plaisir n’est pas de serrer la main à ces grandes autorités, de me filmer avec eux ou de posséder leurs cartes de visite, mais c’est plutôt de les voir posséder et manifester l’autorité, le pouvoir et le commandement sur le péché. Dans ce monde, quand quelqu’un possède le pouvoir de nourrir les vers de son ventre, il devient orgueilleux, hautain, méprisant et moqueur à l’égard de ceux qui n’ont pas ce pouvoir comme lui, et ne voulant pas que les autres parviennent aussi à cette aisance matérielle. Or quand quelqu’un a le pouvoir de nourrir son âme à travers la vie de Jésus-Christ, il est humble, charitable, respectueux ; il pleure et supplie Dieu pour que les autres deviennent comme lui dans la possession de ce pouvoir pour nourrir aussi leurs âmes de la vie de Jésus-Christ, car il dit de lui-même : « ...celui qui me mange vivra par moi » (Jean 6/57). Je ne suis pas jaloux de la fonction de ces grandes autorités ni de comment elles sont admirées et prises pour des dieux sur terre, mais je suis jaloux de leurs âmes pour lesquelles Christ a accepté l’humiliation et la souffrance dans le corps physique afin qu’elles soient détachées et déliées des pratiques sataniques et soient sauvées, car j’ai la jalousie de Dieu et non de l’homme parce que Dieu porte le nom de JALOUX et il est le Dieu Jaloux, voilà pourquoi il est dit : « Tu ne te prosterneras point devant un autre dieu; car l'Éternel porte le nom de jaloux, il est un Dieu jaloux » (Exode 34/14). Car Dieu est jaloux des âmes de ces autorités et ne veut pas leur perdition. Ce n’est pas le fait de porter les vêtements et chaussures de grand prix, de mettre les parfums de valeur, d’habiter dans les grands châteaux ou palais, d’être escorté, d’avoir des hommes sous sa domination et le pouvoir de satisfaire les ventres qui est quelque chose devant Dieu, mais c’est le fait de s’abstenir des souillures, de la corruption, de l’injustice et de la méchanceté.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)
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