LA PUISSANCE DE LA PAROLE DE VERITE (DIEU)
C’est le 48ème message.
Au commencement était la parole, la parole était avec Dieu et la parole était Dieu (Jean 1/1). C’est cette parole qui a créé ce monde et tout ce qui s’y trouve (Psaumes 36/6). Car c’est cette parole qui dit et la chose arrive ; elle parle et elle existe (Psaumes 33/9).
Car Dieu est la parole et le diable l’est aussi. Mais parmi les deux paroles, il y a une qui fait vivre et l’autre qui fait mourir. Dans les deux paroles, il y a la volonté de l’un et la volonté de l’autre. Parmi ces deux volontés, il y a l’une qui avait dit à Adam et Eve : le jour où vous en mangerez, vous mourrez (Genèse 2/16-17) ; et l’autre qui leur avait dit : si vous mangez, vous ne mourrez point (Genèse 3/4-5). Mais l’obéissance à la volonté de l’autre n’avait point amené l’homme à vivre. L’une des volontés était bonne car elle sauve et elle fait vivre ; tandis que l’autre était mauvaise parce qu’elle condamne et elle fait mourir. L’une de ces deux paroles a paru afin de détruire les œuvres de l’autre (1Jean 3/8) ; et on retrouve à cet effet ces deux paroles dans l’homme.
Hommes écoutez et entendez, regardez et voyez ; le Seigneur Jésus dit : la chair ne sert de rien, les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie. Cette parole a une puissance lorsqu’elle sort de l’amour, du sentiment, de la justice et de la miséricorde du Seigneur Jésus. C’est pourquoi je dis que la parole qui sort de la bouche d’un vrai enfant de Dieu porte le nom de Jésus, le feu, l’épée, le marteau, la lumière et le sang. Car, cette parole (vie) à une force capable de détruire les œuvres et les installations du diable (sorcier, magicien et autres). Elle a également une force de demander à un mauvais esprit de libérer ce qu’il tient captif.
En fait, pour condamner, bloquer, enfermer, enterrer, détruire, attacher et tuer, le diable et ses hommes passent par des paroles qui ne sont rien d’autres que les confessions, les recommandations, les déclarations et des prophéties. De même, pour briser, effacer, déchirer, déterrer, écraser, détacher, annuler, brûler et ordonner la libération d’un corps, le Seigneur Jésus et ses hommes passent aussi par des confessions, des déclarations, des recommandations et des prophéties. Car sans parole, on ne parle pas de Dieu ni du diable ni même de l’homme. Un vrai enfant de Dieu a le pouvoir d’ordonner la libération de : son diplôme, son travail, son mariage, ses finances, ses enfants, son voyage etc… Il a le pouvoir de le faire lorsque ce qui lui appartient est retenu par le diable. Il a le pouvoir de détacher, de briser, de détruire et de commander la libération de tout ce qui est enfermé. La parole qu’un vrai enfant de Dieu a, est premièrement là pour sauver son âme. Cette parole détruit donc les œuvres des sorciers et non les sorciers.
Quiconque souhaite et confesse la mort d’un sorcier, sache qu’il est lui-même le diable (tueur). C’est même la raison pour laquelle on n’envoie pas le feu aux hommes sorciers mais plutôt à leurs œuvres. Un vrai enfant de Dieu a donc la puissance. Aujourd’hui les sorciers, les magiciens et autres par leurs paroles de malédictions, gagnent tous les hommes qui prétendent prier. Ils dominent sur les hommes parce que ces derniers n’ont pas en eux la bénédiction qui est la charité (le Seigneur Jésus) ; et c’est elle (la bénédiction) qui a la puissance de dominer sur tout esprit de malédiction.
Il faut que l’homme comprenne qu’on ne gagne pas le diable en utilisant l’herbe, l’écorce, l’huile, le parfum, le savon, le port de la croix, l’eau et le sel bénits ou encore en récitant les versets, mais on gagne le diable par la vie que nous menons (le sentiment et la pensée) qui sont l’amour, le pardon, le vérité, la joie, la fidélité, la douceur, la paix, la tempérance et l’espérance qui sont le Seigneur Jésus Christ. C’est pourquoi celui qui devient cette vie, c’est-à-dire qui naît de nouveau, triomphera du monde des ténèbres (1Jean 5/4-5). On ne peut jamais gagner le diable dans le diable, la mort dans la mort ou l’enfer dans l’enfer.
J’ai constamment pitié des pasteurs, des prêtres, des prophètes, des apôtres ainsi que leurs fidèles parce que le diable leur fait un jeu dans le jeu. Les hommes disent aujourd’hui que je suis un fou ; mais ce ne sont que les sourds et les aveugles qui le disent. Car s’ils avaient demandé au Seigneur Jésus-Christ de descendre de la croix s’il était fort, combien à plus forte raison moi (Matthieu 27/39-43).
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle.
(Jean 8/32)