POURQUOI L’OFFRANDE, L’ACTION DE GRÂCE ET LA DIME DE DIEU ? CAR MIEUX VAUT CONNAITRE POUR NE PAS DONNER EN VAIN OU ÊTRE FRAPPÉ PAR LA MALÉDICTION
C’est le 238ème message.
Je parle comme celui qui a créé l’argent et j’amène ce papier ou cette pièce à se soumettre ou à se prosterner devant moi. Car je suis et je demeure le dieu ou le maître de ma créature (l’argent) et non le contraire. Je suis celui qui a été envoyé par Dieu pour parler en son nom et je ne suis pas là pour me justifier devant les hommes, mais devant celui qui m’édifie, parce que c’est lui qui a été établi Juge des vivants et des morts (Actes 10/42). Car l’argent est le dieu, le maître et la cause de toute sorte de mal dans ce monde. Il est devenu une grande barrière qui empêche le corps spirituel de l’homme d’entrer au Royaume des cieux. Hommes de Dieu et enfants de Dieu, attention ! Car en Dieu rien n’est à simplifier, à négliger et à mépriser.
Parlons premièrement de l’offrande que nous apportons à Dieu. L’offrande que nous apportons à Dieu n’a pas de contrainte par rapport à ce qui doit ou non entrer dans le panier, contrairement à ce que je vois certains hommes de Dieu faire aujourd’hui, où ils contraignent les gens à ne pas y mettre certaines pièces d’argent ; car cette instruction ne vient pas de Dieu mais de l’homme. L’offrande, on la donne à Dieu selon son sentiment et son bon cœur comme il est dit : « L'Éternel parla à Moïse, et dit Parle aux enfants d'Israël. Qu'ils m'apportent une offrande; vous la recevrez pour moi de tout homme qui la fera de bon cœur» (Exode 25/1-2).
Le panier de Dieu reçoit tout ce qui est comme argent (billets, pièces jaunes, etc…) mais il faut simplement que cela soit donné avec un cœur sincère. Ce panier qui reçoit donc tout (sans distinction d’argent) est différent de celui qui trie de l’argent ou qui reçoit un argent spécial même lorsque ceux qui en donnent ne le font pas d’un bon cœur. Car donner l’offrande à Dieu c’est quelque chose de bien, mais si nous ne marchons pas dans les voies de Dieu, même si nous lui apportons un milliard de francs comme offrande, elle ne sera pas reçue parce que notre cœur est dans le noir et est noir. Mais si nous marchons dans les voies de la vérité, notre cœur sera dans la lumière et sera lumière. De ce fait, même si c’est un franc que nous mettons dans le panier, cette offrande sera agréée par Dieu et non par l’homme pour qui l’argent est maître. Donc, chaque personne doit donner l’offrande tel qu’il en a décidé dans son cœur, sans aucune contrainte comme il est dit : « Que chacun donne comme il l'a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte; car Dieu aime celui qui donne avec joie » (2 Corinthiens 9/7).
En plus ; il est donc mieux pour les hommes de Dieu de regarder le cœur des hommes pour voir si le Seigneur Jésus est debout dans sa forme, c’est-à-dire sa vie, et être en joie, au lieu d’être en joie lorsqu’ils voient comment les gens tendent les mains ou se lèvent pour donner les offrandes. Car, quelqu’un peut donner 10.000 Frs comme offrande et un autre 25 Frs. Aux yeux de l’homme, celui qui a donc donné 10.000 Frs a beaucoup donné, ce qui n’est pas toujours le cas aux yeux de Dieu. Vous verrez même que c’est celui qui a donné 25 Frs qui a beaucoup donné parce qu’il sait que ce dernier a beaucoup donné au vu de ce qu’il possède. En d’autre terme, une personne peut avoir 50 Frs et donner 25 Frs comme offrande à Dieu, une autre 100.000 Frs, qui donne 500 ou 1.000 Frs comme offrande à Dieu, parmi les deux personnes, vous trouverez que c’est celui qui a donné 25 Frs qui a beaucoup donné selon Dieu. C’est d’ailleurs pourquoi il est dit dans le livre de Marc : « Jésus, s'étant assis vis-à-vis du tronc, regardait comment la foule y mettait de l'argent. Plusieurs riches mettaient beaucoup. Il vint aussi une pauvre veuve, elle y mit deux petites pièces, faisant un quart de sou. Alors Jésus, ayant appelé ses disciples, leur dit: Je vous le dis en vérité, cette pauvre veuve a donné plus qu'aucun de ceux qui ont mis dans le tronc; car tous ont mis de leur superflu, mais elle a mis de son nécessaire, tout ce qu'elle possédait, tout ce qu'elle avait pour vivre» (Marc 12/41-44).
Deuxièmement, parlons de l’Action de Grâce. L’action de grâce n’est ni une offrande, ni une dîme, mais c’est quelque chose de spécial. Ça peut être un remerciement que l’homme peut faire par rapport à une chose qu’il a demandée ou obtenue. Par rapport donc à cela, il peut décider de remercier Dieu, pas seulement par les paroles, mais avec quelque chose de matériel qu’il donne selon sa propre volonté. En plus, l’action de grâce que l’on donne à Dieu peut aussi être une semence de quelque chose, mais cette semence ne se donne pas comme le demandent les prophètes, les pasteurs, les apôtres … de ce monde en ces termes : ‘’celui qui a telle somme d‘argent, qu’il vienne donner à Dieu afin de recevoir une prière de grâce’’ ! Ils donnent des chiffres du gros jusqu’au petit montant. D’autres disent : ‘’celui qui veut le mariage, le travail, le voyage, la maison, l’enfantement, apporte telle somme d’argent afin de recevoir une prière de grâce’’. Car cette manière de semer est de l’homme et non de Dieu. Vous allez donner cet argent et recevoir même ce que vous voulez, mais ça ne sera jamais dans la justice de Dieu. Hommes de Dieu, tout ce que nous devons faire, c’est de guider l’homme à connaître Dieu et à le craindre car, quand l’homme est fidèle à Dieu ou lorsqu’il devient disciple de Jésus, il connait lui-même comment il doit semer, tel qu’il est dit : « Sachez-le, celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment » (2 Corinthiens 9/6).
Il ne faut pas être ce genre d’hommes de Dieu comme c’est le cas dans ce monde, qui demandent aux gens : ‘’celui qui veut semer un million, qu’il vienne donner à Dieu’’.Car, ces choses se donnent dans le secret. Donc, si l’homme veut donner de l’argent pour son action de grâce, il le met dans l’enveloppe et le dépose dans le panier. Seul Dieu et lui connaîtront ce qui est fait ou ce qui est donné. Quand nous donnons quelque chose à Dieu quelle que soit l’offrande ou l’action de grâce, nous devons fermer nos bouches pour que cela soit donné selon Dieu et non selon l’homme. Mais si nous parlons à qui veut l’entendre, nous le faisons en vain. Et nous devons reconnaître que même si nous donnons le milliard à Dieu, nous n’avons pas donné grand-chose, parce que nous lui devons tout sans fin.
Troisièmement et enfin, nous parlerons de la dîme. La dîme n’est pas l’offrande ni l’action de grâce que l’homme dit qu’il pourra donner selon son gré. La dîme est un ordre de donation par pourcentage qui est le 10e de notre revenu. Car la parole de Dieu qui sort de la bouche du serviteur de Dieu bénit l’homme qui écoute, qui pratique, et cette parole est le pain, l’eau ou le vin de l’âme.
C’est cette parole qui avait béni Abraham qui donna la dîme de tout. Voilà pourquoi Genèse 14/18-20 dit : « Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin: il était sacrificateur du Dieu Très Haut. Il bénit Abram, et dit: Béni soit Abram par le Dieu Très Haut, maître du ciel et de la terre! Béni soit le Dieu Très Haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains! Et Abram lui donna la dîme de tout ». Même Abraham qui avait été choisi par l’Eternel Dieu avait donné la dîme à qui de droit. Donc, nous donnons la dîme de tout ce que l’Eternel Dieu nous donne. Et c’est pourquoi Jacob appelé Israël dit : « cette pierre, que j'ai dressée pour monument, sera la maison de Dieu; et je te donnerai la dîme de tout ce que tu me donneras » (Genèse 28/22).
En fait, ce n’est pas pour vouloir de l’argent que je parle, mais ce que je veux c’est la manifestation de la justice de Dieu dans l’homme qui délivre son corps spirituel (son âme) de la mort éternelle. Car ne pas donner la dîme c’est être voleur, escroc, détourneur des biens d’autrui et trompeur tel qu’il dit : « Un homme trompe-t-il Dieu? Car vous me trompez, Et vous dites: En quoi t'avons-nous trompé? Dans les dîmes et les offrandes. Vous êtes frappés par la malédiction, Et vous me trompez, La nation toute entière! Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, Afin qu'il y ait de la nourriture dans ma maison; Mettez-moi de la sorte à l'épreuve, Dit l'Éternel des armées. Et vous verrez si je n'ouvre pas pour vous les écluses des cieux, Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance. Pour vous je menacerai celui qui dévore, Et il ne vous détruira pas les fruits de la terre, Et la vigne ne sera pas stérile dans vos campagnes, Dit l'Éternel des armées » (Malachie 3/8-11). Car sachons que lorsqu’on est frappé par la malédiction, on ne parle plus des épreuves ni des persécutions parce que la malédiction découle de la désobéissance à la parole de Dieu, ce qui entraine sans doute à la destruction et à la mort. En plus, lorsqu’on donne la dîme sous forme d’argent et qu’on décide de le mettre dans l’enveloppe, on ne doit pas écrire son nom sur ladite enveloppe comme certains hommes de Dieu demandent aux gens de faire aujourd’hui.
Par ailleurs, plusieurs personnes disent que la dîme était dans l’ancien temps, et d’autres croient que c’est pour l’homme qu’on la donne ; c’est l’une des raisons pour lesquelles certaines ne donnent pas la dîme, et d’autres la donnent comme leur cœur leur demande de donner. Mais je me pose souvent la question de savoir pourquoi est-ce que certaines personnes lorsqu’elles ont de l’argent, refusent d’enlever une quote-part qui revient à Dieu ? Le font-elles parce qu’elles sont dominées par l’argent ? Mais sachez qu’il vaut mieux ne pas donner que de faire semblant. Est-ce que nous craignons Dieu pour enlever ou préserver premièrement sa dîme dans ce qu’il nous donne ? Car celui qui s’empare de la dîme de Dieu ne peut hériter le royaume des cieux et sa bénédiction. Il y a la dîme de Dieu qui provient du travail mensuel, du commerce, de la terre comme par exemple des arbres fruitiers, …comme il est d’ailleurs dit : « Toute dîme de la terre, soit des récoltes de la terre, soit du fruit des arbres, appartient à l'Éternel; c'est une chose consacrée à l'Éternel » (Lévitique 27/30).
De même la dîme des récoltes de la terre peut être changée en argent si l’on veut, et surtout si quelqu’un trouve que la distance qui le sépare de celui qui doit recevoir la dîme est longue comme il est dit : « Peut-être lorsque l'Éternel, ton Dieu, t'aura béni, le chemin sera-t-il trop long pour que tu puisses transporter ta dîme, à cause de ton éloignement du lieu qu'aura choisi l'Éternel, ton Dieu, pour y faire résider son nom. Alors, tu échangeras ta dîme contre de l'argent, tu serreras cet argent dans ta main, et tu iras au lieu que l'Éternel, ton Dieu, aura choisi » (Deutéronome 14/24-25). Autre chose : d’autres personnes disent que le Nouveau Testament n’a rien dit de la dîme, mais c’est l’ignorance et la méchanceté envers eux-mêmes. Mais l’Apôtre Paul va plus loin en disant : « Que celui à qui l'on enseigne la parole fasse part de tous ses biens à celui qui l'enseigne » (Galates 6/6). Hommes, sachez également que l’offrande, l’action de grâce ou la dîme apportées à Dieu par celui qui n’enseigne la vérité (l’unique évangile de transformation Galates 1/7) sont vaines. Mais quelle folie pour l’homme de porter un bagage sur la tête qui ne lui sert à rien !
A Dieu seul, l’amour et la pitié par Jésus-Christ pour la délivrance et la vie des âmes des hommes pour l’éternité.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)