LES VRAIS ENFANTS DE DIEU PLEURENT L’ÂME DE L’HOMME ET NON SA CHAIR. A QUOI SERT LA TERRE (LA CHAIR) POUR ETRE CELEBREE LE JOUR DE SON RETOUR A LA POUSSIERE (DEUIL) ?
C’est le 193ème message.
Les vrais enfants de Dieu sont des dieux non pas dans la chair, ni dans le sang, mais dans l’esprit et vie du Seigneur Jésus. Etant donc conduits par l’esprit de Dieu, les vrais enfants de Dieu considèrent l’homme dans son âme et non dans sa chair, bref pour eux, c’est l’âme qu’il faut sauver et non la chair. Car cette dernière (la chair) n’est qu’une couverture de l’âme, ou du moins elle est comme un habit sur le corps.
La véritable mort de l’homme c’est la mort de son âme ; car lorsqu’elle quitte la chair, directement cette terre meurt, et cette mort physique n’est qu’une première étape ou un passage. Quand une âme quitte une chair, cela est semblable à un vêtement que l’homme avait sur lui et qui d’un coup l’enlève de son corps et reste nu. C’est pour vous dire en d’autre terme que l’habit sur un corps n’est pas le corps ; tel est le cas de la chair avec l’âme ; car comprenons que l’homme c’est son âme et non sa chair. C’est donc pourquoi, pour les vrais enfants de Dieu, les vrais morts sont ceux-là qui vivent encore dans la chair, mais morts dans l’âme. Et parmi ces morts, on retrouve certains hommes de Dieu ; et 1Timothée 5/6 dit : « Mais celle qui vit dans les plaisirs est morte, quoique vivante».
En fait, les vrais enfants de Dieu n’ont pas le sentiment de l’homme, mais celui de Dieu, ils n’ont pas la pitié de l’homme, mais celle de Dieu ; c’est la raison pour laquelle, pour eux, c’est quand une chair vit qu’ils pleurent son âme qui est morte et non après que celle-ci ait quitté la chair (la terre). Les pleures des vrais enfants de Dieu peuvent ramener les morts à la vie avec l’accomplissement de Dieu. Car ils pleurent, se lamentent, jeûnent et prient Dieu de toucher les cœurs des âmes mortes pour qu’ils reçoivent son pardon par l’évangile de Christ afin de recevoir l’esprit de la résurrection (Romains 8/11).
Quoique l’homme soit, milliardaire, président d’une république, star, s’il vit la corruption, le faux, la magie, le mensonge, l’abomination, il est mort quoique vivant physiquement dans la chair (1Timothée 5/6). Il faut comprendre qu’en Dieu on pleure quelqu’un (son âme) quand on sait qu’il peut revenir à la vie du Seigneur Jésus à travers son évangile. En d’autre terme, ça veut dire qu’une âme peut revenir à la vie quand elle n’a pas encore quitté la chair. Voilà pourquoi le roi David qui avait un enfant malade, priait et jeûnait pour que Dieu puisse lui accorder la grâce pour que son enfant guérisse de sa maladie. Quand son enfant était malade, le roi David se couchait même par terre et les anciens de sa maison insistaient pour le relever, mais il ne voulait pas, même la nourriture, il n’en mangeait point. Malheureusement, l’enfant était finalement mort et ses serviteurs craignaient de lui annoncer la nouvelle ; car ayant la pensée de l’homme, ils se disaient si David se couchait par terre et ne mangeait pas parce que son enfant était malade, comment sera-t-il lorsqu’il apprendra la mort de son fils ? Mais ne sachant pas que David n’avait pas la pensée de l’homme mais celle de Dieu, lorsqu’il avait entendu ses serviteurs parler à voix basse, il a su que son fils était mort, mais cela n’a pas empêché qu’il leur pose la question de savoir si son fils est mort. Lorsque ses serviteurs lui ont annoncé la nouvelle, il s’est levé du sol, il s’est lavé, il a changé de vêtement et il est allé se prosterner au temple pour dire à Dieu merci. De son retour à la maison, il demanda à manger. Ses serviteurs étonnés de sa réaction, lui posaient la question de savoir ce qu’il faisait. Voici comment il leur avait répondu : « Lorsque l’enfant vivait, je jeûnais, je pleurais et je disais qui sait si l’éternel ne fera pas quelque chose pour que l’enfant revienne à la vie (à la guérison), mais maintenant qu’il est parti, pourquoi jeûnerais-je et pleurerais-je ? » (2Samuel 12/15-23).
En fait, ce qui s’est passé au temps du roi David veut tout simplement dire qu’en Dieu on a pitié et on pleure un mort qui vit encore dans la chair. La pitié et les pleures signifient qu’on apporte aux hommes la parole de Dieu et c’est dans ce cas qu’on dit qui sait si Dieu ne touchera pas les cœurs des morts pour qu’ils reviennent à la vie c'est-à-dire à Jésus-Christ. Donc, une fois qu’une âme a quitté la chair, les vrais enfants de Dieu ne pleurent plus, ils ne se lamentent plus, car en eux, ils savent qu’il est dit : « C’est l’esprit qui vivifie, la chair ne sert de rien » (Jean 6/63). Mais aujourd’hui c’est le contraire, car les gens ne pleurent pas ce qui est essentiel en l’homme (son âme), mais plutôt les vanités, c'est-à-dire sa chair. Cette folie les a donc poussés à organiser de grandes fêtes le jour de l’enterrement de la terre dans la terre ; mais je vous dis, il n’y a que les morts pour faire de telle chose, mais laissez les morts fêter l’enterrement des morts. Voyez comment les gens organisent la fête lorsque l’âme quitte cette poignée de terre qui doit être remise là où elle a été prise ; d’énormes dépenses sont faites, on oblige les gens à participer pour la cérémonie, certains vont jusqu’à s’endetter mais bien après sont incapables de payer leurs dettes. Et lorsqu’ils font des totaux, ils se retrouvent souvent avec des centaines de milles, voire des millions. Pendant ce temps la terre est à la morgue, elle pourra y faire des semaines, voire des mois, il faut un cercueil pour elle, il faut l’habiller, louer une voiture, s’acheter le café, les sacs de riz, macabo, les régimes de plantains, les porcs, les chèvres, les cartons de poissons, les cartons de vin rouge, les casiers de bières et de jus. Les hommes sont souvent contents quand il y a une telle fête parce qu’il y a l’essentiel, c'est-à-dire la nourriture et la boisson. Mais je me demande si les gens connaissent qu’il y a certaines personnes qui tuent leurs semblables parce qu’elles savent qu’il y aura le manger et le boire. Aujourd’hui ces choses ont favorisé ou accentué le mal et la concurrence ; c’est pourquoi vous entendrez les gens dire : ‘’Faisons notre fête pour qu’elle soit plus que celle qui avait été organisée par telle ou telle famille’’. Les gens le font malheureusement pour la gloire des vanités. Puisque lors de ces différentes fêtes, il y a à manger et à boire, les gens au lieu d’être tristes et de réfléchir sur le sort de leurs âmes, sont plutôt contents parce qu’ils voient la nourriture et la boisson.
Lorsque vous entendez les gens parler de grand deuil, sachez qu’il y avait beaucoup à manger et à boire ; et lorsqu’ils parlent de petit deuil, ça veut dire qu’il y avait peu de nourriture et peu de boisson. Or, vous verrez peut-être que celui qui est mort, lors de son vivant était malade et on lui avait peut-être prescrit les médicaments ou alors, il avait des examens à faire, malgré que ce mort a pu faire le tour de la famille pour obtenir de l’aide, personne ne l’a aidé, mais c’est quand il meurt que toute la famille se réunit pour cotiser afin de manger et de boire, vanité des vanités. Et parfois même, les uns et les autres se glorifient pour dire : ‘’moi j’ai acheté le cercueil, moi j’ai acheté les habits du cadavre, moi j’ai loué la voiture’’. De plus, selon leur coutume, lorsque la terre(le cadavre qui est couché) a vieilli, les gens dansent, mais savent-ils ce qu’ils font ? A quoi sert cette vieillesse de la terre ? Pourquoi pleurons-nous ou avons-nous pitié d’une terre ayant perdu son âme ? Car comprenons que Jésus-Christ est le changement et nous sommes ce changement.
Aujourd’hui dans ce monde, les gens ont plus pitié du physique que de l’esprit. Et si c’est pour le physique que nous avons la pitié, cela veut dire que les corrompus, les abominables, les magiciens, comme par exemple les chefs d’Etat, les stars, les hommes d’affaires, ne nous feront jamais pitié, au contraire, nous les verrons comme des dieux, mais à cause de quoi ? Mais comme notre Dieu n’est pas le dieu du matériel, mais de la justice et de la miséricorde, il est question d’avoir pitié d’une âme morte vivant dans la chair ; car le monde est rempli des morts. Ceux qui devraient même premièrement pleurer pour les âmes mortes, ce sont eux les premiers à se prosterner devant les morts à cause du matériel et de tout ce que ceux-ci peuvent posséder dans leur chair comme titre, finance et popularité : Je parle des ‘’hommes de Dieu’’ vis-à-vis des hommes riches. Pour le vivant, ce n’est pas pour le mort qui est couché qu’on pleure, mais pour le mort (l’âme) vivant dans une personne qui respire, parle, marche …
Les hommes ne peuvent pleurer aujourd’hui et avoir pitié que du physique. Or quand le Seigneur Jésus était maltraité dans sa chair qui ne servait à rien, il avait dit aux femmes qui le suivaient en se lamentant : « Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi; mais pleurez sur vous et sur vos enfants» (Luc 23/28). Mais c’était pour leur faire comprendre qu’elles ne doivent pas pleurer pour ce qui ne sert à rien, mais qu’elles pleurent plutôt pour les âmes qui souffrent. Voilà pourquoi les anges avaient dit aux femmes qui venaient regarder le sépulcre du Seigneur Jésus : ‘’ pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant ?’’ (Luc 24/5).
A Dieu seul, la gloire par Jésus.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle.
(Jean 8/32)
POUSSIERE ! QUI ES-TU POUR DIRE A TON SEMBLABLE SAIS-TU QUI JE SUIS ?
C’est le 67ème message.
La parole de Dieu dit : « tu es poussière et tu retourneras dans la poussière (Genèse 3/19) ». La poussière dont parle la parole n’est rien d’autre que notre chair ou encore notre corps ; mais alors, les hommes ne comprennent pas cette parole. Voilà pourquoi certaines personnes disent souvent à leur semblable : sais-tu qui je suis ? Si elles le disent c’est parce qu’elles ont soit un peu d’argent, soit parce qu’elles ont un pouvoir de gouverner leur semblable. Ces personnes tiennent ce langage parce qu’elles n’ont pas la connaissance de la vie de Dieu.
L’homme ne doit pas regarder sa chair ni même le poids qu’elle peut prendre, il ne doit pas non plus regarder la qualité de poussière qu’il mange ou encore du matériel qu’il peut avoir (argent, voiture, maison etc.) et considérer son prochain comme un animal ou un déchet parce qu’il a toutes ces choses là. Homme ! toi qui dis à ton semblable : sais-tu qui je suis ? Sache que ta chair, ton pouvoir qui te permet de gouverner les hommes et ainsi que ton matériel, vous n’êtes que poussière et cendre (Genèse 18/27).
L’homme est totalement aveugle parce qu’il ne voit pas le chemin qui est devant lui et ensuite, il ne se voit pas lui-même. Car s’il se voyait et se connaissait lui-même, il n’allait jamais sortir de sa bouche la parole du genre : sais-tu qui je suis ? Cette parole est une parole d’un aveugle, d’un sourd, d’un misérable et d’un malheureux devant Dieu. Il est malheureux pas parce qu’il misère dans les vanités (argent) mais c’est parce qu’il misère dans la connaissance de Dieu.
Il y a des gens qui prennent leurs domestiques ou leurs employés pour des robots ou comme des esclaves juste parce qu’ils n’ont pas le sentiment de Dieu qui voudrait que l’homme prenne son semblable comme lui-même ; mais s’ils traitent leurs domestiques ou leurs employés de la sorte, c’est parce qu’ils ont la poussière appelée argent. C’est même la raison pour laquelle certains employeurs licencient souvent leurs employés sans même les payer leur argent et quand l’employé saisit une autorité parce qu’il veut avoir son argent, son employeur qui est de mauvaise foi ira corrompre ladite autorité en lui donnant plus que ce qu’il devait remettre à son employé. Si ces employeurs le font, c’est parce qu’ils sont très loin d’aimer Dieu. L’homme doit connaître que tout ce que sa chair peut toucher ou garder ou quel que soit le teint ou la forme de son corps, il n’est rien s’il n’a pas la pensée, le sentiment, la justice et la miséricorde de Dieu.
Nous devons avoir le courage d’aller faire un tour du côté de la morgue pour voir comment sera la fin de tout un chacun dans la chair ; lorsque nous aurons fait un tour de ce côté, nous comprendrons que l’homme n’est rien. Je voudrais aussi vous faire comprendre que la manière par laquelle sont morts les Présidents MOBUTU et KADAFI devrait vous amener à observer que l’homme n’est que vanité. Ces deux Présidents avaient de l’argent et le pouvoir de tout faire dans leur pays ; mais leur fin a été quelque chose de terrible. Lorsqu’ils étaient couchés au sol (mort) même un animal mort avait plus de valeur qu’eux parce que l’animal au moins peut être utile (mangeable). Par contre, ces deux hommes, de leur vivant avaient le pouvoir de tuer, détruire ou même de manger l’être humain ; ils étaient des dieux dans leurs pays. Mais, si on leur a mis le simple caleçon lorsqu’ils sont morts, c’était par pitié. Je voudrais donc vous faire comprendre que la chair de l’homme n’est que vanité.
Nous sommes dans un monde où les hommes traitent leurs femmes comme des esclaves ou des domestiques ; car celles-ci n’ont pas la possibilité de dire à leurs maris ce qu’elles pensent, si elles le font, elles seront bastonnées. De même, il y a des femmes qui traitent les orphelins ou les enfants de la famille de son mari comme des esclaves ou des animaux. Comprenez une chose : si vous n’avez pas peur de l’homme, ayez au moins peur de Dieu qui voit tout et qui rendra à chacun selon ses œuvres même après la mort.
Aujourd’hui, certains hommes sont jaloux de leur semblable au point où ils ne veulent même pas que ces derniers travaillent, se marient, voyagent ou parviennent même à trouver de quoi manger. Mais par contre ces jaloux passent tout leur temps à demander à Dieu ce qu’ils ne veulent pas que leurs semblables aient. Mais je me pose la question de savoir si ces hommes là demandent ces choses à celui qui est jaloux comme eux ou à celui qui est roi de l’amour et de la miséricorde. Si nous voulons être amis de celui à qui nous demandons quelque chose, nous devons avoir les mêmes pensées, les mêmes sentiments et le même amour que lui ; c’est pourquoi 1Jean 1/7 dit : « Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché ».
Dieu a mis les hommes à l’épreuve en leur disant que : si vous voulez m’aimer, aimez votre semblable ; si vous voulez me donner quelque chose, donnez à votre semblable ; car vous devez faire tout comme si c’est moi qui suis devant vous. Mais l’homme a échoué à toutes ces épreuves parce qu’il méprise Dieu (son semblable) et lui refuse tout. Il tue, vend, empoisonne, bloque et il est jaloux de Dieu (son semblable).
Lorsque l’homme a de l’argent tout change en lui : c’est le cas du regard, du rire, de la démarche et de la façon de parler même le droit d’aînesse n’existe plus. Lorsque l’homme a l’argent, il devient grand, puissant et parfois il est considéré comme étant le plus âgé de la famille. L’argent amène souvent l’homme à dire à son semblable que : as-tu de l’argent plus que qui ? Ou encore j’ai un bagage intellectuel. Mais il ignore que ce bagage intellectuel sans l’amour ni justice et sainteté de Dieu n’est que vanité parce que tout ce que cette petite poussière appelée cerveau a, va périr et l’esprit restera toujours dans le mal et dans l’ignorance devant Dieu.
L’homme qui n’est qu’un étranger et voyageur sur terre se croit souvent maître de ce monde alors qu’il ne connaît ni le jour, ni l’heure de sa mort et il est le premier à tuer son semblable ; on dirait que lui-même ne va jamais mourir, mais il ignore que c’est le chemin de tout le monde. C’est pourquoi certains disent souvent : tu sais qui je suis ? Si certains emploient ces mots, c’est parce qu’ils sont forts dans l’empoisonnement et aussi parce qu’ils envoient les esprits démoniaques aux hommes. D’autres les emploient parce qu’ils marchent avec les ossements humains pour détruire leurs semblables. Un conseil : l’homme doit chercher à être agréable devant Dieu. Il doit se dire que, comment je serai reçu après ma mort de la chair au cas où je fais telle ou telle chose qui est contraire à la volonté de Dieu. L’homme doit devenir Dieu dans le sentiment, justice et miséricorde ; il doit vivre là où il y a la vérité et perdre la gloire, le respect devant l’homme afin d’être reçu par le prince de gloire et de la vie.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)
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