POURQUOI PARTAGEONS-NOUS ET AIDONS-NOUS NOS SEMBLABLES ALORS QUE DIEU NE PREND PAS EN COMPTE CE BIENFAIT ?

 

 

                             C’est le 237ème message.

Le geste que nous faisons en partageant ou en aidant les gens est certes bien, mais ce bienfait, Dieu ne le prend pas en compte parce que nous le faisons pour tirer la gloire non de Dieu, mais de l’homme en nous. Car le partage ou l’aide dont Dieu ne prend pas en compte ou ne prend pas plaisir, c’est lorsqu’après avoir aidé quelqu’un on raconte à tout le monde que : ‘’si vous l’avez vu manger hier, c’était grâce à moi car, si je ne lui donnais pas, la famine le tuerait. Les habits ou les chaussures qu’il porte sur lui, c’est moi qui les lui ai donnés, est-ce qu’il en avait d’autres ?’’ Ou encore, lorsque quelqu’un vient solliciter votre aide vous lui dites : ‘’tu n’as pas la grâce parce que ce que j’avais, je l’ai donné à tel ou telle personne qui vient tout juste de partir d’ici, car elle était assise sur tel ou telle chaise’’. Au lieu de dire simplement à la personne : ‘’je n’en ai pas car, si j’en avais, je te donnerais’’. Il y a aussi le fait que quand on veut faire des dons, surtout dans les prisons, les hôpitaux et les orphelinats, on appelle les médias (radio, télévision, presse, internaute) pour qu’ils filment la scène et la mettent à la disposition du monde entier. Ça peut aussi être le cas lorsque vous payez les études à quelqu’un ou lorsque vous lui donnez de l’argent pour un concours quelconque, ou encore lorsque vous êtes intervenu (par relation) pour qu’il puisse travailler ; vous commencez à chanter partout que c’est grâce à vous que la personne est ce qu’elle est aujourd’hui. Vous commencez à dire que la personne n’était rien, et que c’est grâce à vous qu’elle est devenue quelqu’un. Vous allez parler de ces bienfaits partout comme un bonjour ou comme une salutation.

       Aussi, il en est de même aujourd’hui pour ceux qui donnent l’offrande à Dieu et commence à dire : ‘’moi j’ai donné tel montant, tout ce que vous voyez à l’église, c’est moi qui ai acheté ou qui ai beaucoup plus participé’’. Car on donne et on aide pour après chanter et parler abondamment de ce bienfait. Mais, malheureusement ce bienfait n’est pas reçu devant Dieu parce qu’il sait que l’homme le fait non pour chercher sa gloire (celle de Dieu), mais la sienne auprès des hommes. Voilà en fait le partage ou l’aide que Dieu ne prend pas en considération.

     Mais si nous voulons que notre partage ou aide soit pris en considération par Dieu, il ne faut pas qu’on se vante auprès de nos semblables lorsqu’on fait quelque chose de bien ; car si nous le faisons cela veut dire que nous recherchons la gloire de l’homme. Si nous partageons dans le secret Dieu le verra, il tiendra compte de cela et il nous donnera aussi dans le secret ; car partager dans le secret c’est rechercher la gloire de Dieu. Voilà pourquoi le Seigneur Jésus dit : « Lors donc que tu fais le partage, ne sonne pas de la trompette devant toi, comme font les hypocrites dans les synagogues et dans les rues, afin d'être glorifiés par les hommes. Je vous le dis en vérité, ils reçoivent leur récompense. Mais quand tu fais l'aumône, que ta main gauche ne sache pas ce que fait ta droite, afin que ton partage se fasse en secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra» (Matthieu 6/2-4). Quand nous partageons ou aidons notre semblable, ce n’est pas pour attendre un merci de lui, ni moins une récompense. Car nous devons donner et aider pour Dieu et non pour l’homme.

       Donner quelque chose à quelqu’un dans le secret c’est donner à Dieu. Avoir la pensée de partager même lorsque nous n’en avons pas, c’est quelque chose que Dieu prend en considération. Quand nous partageons ou quand nous aidons notre semblable, laissons que c’est lui qui parle du bienfait que Dieu a manifesté pour lui à travers nous ; car ce n’est pas à nous de nous glorifier de l’avoir fait. De même, dans ce monde, quand l’homme possède de la nourriture, il ne va pas la donner à son semblable qui en manque, de peur que ce dernier ne puisse rien lui donner en retour. Car, même quand il en a un peu, il n’en donne pas à celui qui en manque complètement, mais il préfère donner à celui qui en a plus que lui. Voilà pourquoi quand il paie le transport pour aller partager cette nourriture avec celui qui en a beaucoup, il attend en retour une énorme récompense supérieure à ce qu’il apporte. Et quand ce dernier, de par sa suffisance le néglige en ne lui faisant pas honneur de sa présence, ou encore lui donnant juste son argent de transport qu’il a dépensé, il va commencer à dire en lui : ‘’vu la peine que je me suis donné pour lui apporter cette nourriture, non seulement il n’a pas pris plaisir à ma visite, mais en plus il me donne juste l’argent de transport qui peut me permettre d’arriver chez moi’’. Et enfin, lorsque celui-là est victime de cette injustice, il finit par dire : ‘’les riches savent souvent mépriser les gens’’. Vous avez donc joué à la tombola et vous avez perdu. Sachons que nous devons donner plus à ceux qui en manquent et qui ne peuvent rien nous donner en retour ; car seul Dieu nous le rendra parce que nous donnons pour lui. Voilà pourquoi le Seigneur Jésus disait à celui qui l’avait invité : « Lorsque tu donnes à dîner ou à souper, n'invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni des voisins riches, de peur qu'ils ne t'invitent à leur tour et qu'on ne te rende la pareille. Mais, lorsque tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles. Et tu seras heureux de ce qu'ils ne peuvent pas te rendre la pareille; car elle te sera rendue à la résurrection des justes » (Luc 14/12-14). Car faisons très attention parce que Dieu ne prend pas en considération l’aide que nous accordons aux autres parce que nous le faisons mal, c’est-à-dire nous recherchons la gloire humaine et non sa gloire.

Attention ! La malédiction n’est pas une épreuve ni une persécution, mais seuls le recouvrement de la vue et la compréhension pourront aider les aveugles et les sourds à devenir grands non pas dans l’’esprit de l’homme et de son œuvre, mais dans l’esprit de Dieu et de son œuvre.

       A Dieu seul, l’amour et la pitié par Jésus-Christ pour la délivrance et la vie des âmes des hommes pour l’éternité.

 

 

CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)

SI LES HOMMES DANS CE MONDE AVAIENT PEUR DE LA MORT DU CORPS SPIRITUEL COMME ILS ONT PEUR DE LA MORT DU CORPS PHYSIQUE, LE MAL ET SES FORCES SERAIENT PETITS ET RARES

                  

 

                          C’est le 236ème message.

En vérité dans ce monde, l’homme craint ce qui tue son corps physique et non ce qui tue son corps spirituel. Or le corps physique ne peut hériter ni le royaume des cieux, ni la géhenne, mais la terre parce qu’il est poussière et terre et non esprit. C’est dans ce sens que le Seigneur Jésus disait : ‘’c’est l’esprit qui vivifie le corps spirituel, la chair qui est terre et corps physique ne sert de rien ; et les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie’’ (Jean 6/63). Malheureusement, l’homme a plus peur de la mort du corps de terre que celle du corps spirituel (l’âme). Or le Seigneur Jésus dit : « Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne » (Matthieu 10/28).

L’absence de la crainte de la mort spirituelle dans l’homme a plutôt élevé et accentué le mal dans ce monde. L’homme a peur de l’arme, du couteau, de la bombe parce qu’il sait que ces choses ont le pouvoir de blesser, de détruire et de tuer ; c’est aussi le cas des chemins de fer, routes où l’homme avant de les traverser prend toutes les précautions nécessaires pour ne pas être percuté par une moto, une voiture ou un train qui peuvent soit le blesser soit le tuer. Or tous ces choses qui font peur à l’homme ne peuvent que tuer son corps de terre qui n’est qu’une poussière et qui ne sert à rien. Or il n’a pas peur de ce qui blesse, détruit et tue son corps spirituel qui est son âme et pour laquelle le Seigneur Jésus a coulé son propre sang pour son rachat ou encore pour sa résurrection. Etant donc dans cette ignorance, l’homme ne sait pas qu’il faut avoir peur de méditer le mal ou le mauvais sort pour son semblable, il ne sait pas qu’il ne faut pas mentir, voler, escroquer, faire le faux, être orgueilleux, être jaloux, calomnier, insulter, se quereller, être égoïste, être avare, commettre l’adultère, consulter les marabouts, tuer, rendre son semblable malade et être ennemi des hommes de bien. De plus, les hommes prennent l’argent comme leur dieu, voilà pourquoi toute leur espérance repose sur lui, et c’est la raison pour laquelle quand ils n’en possèdent pas, ils sont malades, tristes et faibles. De même, pour posséder de l’argent, avoir la gloire, le pouvoir ou le succès dans ce monde, l’homme ne tarde pas à sacrifier son semblable.

En fait, l’homme n’a pas peur des choses qui maintiennent ou qui tuent son corps spirituel. Au contraire, il aime cet état qui d’ailleurs est son ami. Les hommes n’ayant pas peur de cette mort spirituelle, commettent tout genre de mal, or la peur de la mort du corps physique qu’ils ont, ne peut pas être un frein pour le mal et ne peut pas non plus inquiéter le diable, car seule la peur de la mort du corps spirituel est la solution à tous ces fléaux. Aujourd’hui, il y a manque de vie du corps spirituel de l’homme, et c’est ce qui explique la domination du mal dans ce monde. Car si le corps spirituel des hommes vivait, le mal aussi serait moindre et rare. L’homme craint son semblable aujourd’hui parce que ce dernier porte en lui plus le mal que le bien ; car tout ce que l’homme veut c’est de voir son semblable démuni que d’être dans l’abondance de toute chose. Je coule grandement les larmes aujourd’hui dans mon cœur parce que le corps spirituel de l’homme est négligé et dépourvu de tout son bien-être, alors que le Seigneur Jésus a souffert et coulé son sang pour le bien-être de ce corps qui doit être lavé, nourri et vivifié par sa parole qui est esprit et vie et non ce corps de terre qu’il a lui-même dit qu’il est inutile (Jean 6/63).

Aujourd’hui, même quand les hommes parlent de leur avenir, ça ne peut qu’être l’avenir du corps de terre qu’il porte et qui ne peut qu’hériter de la terre et non du royaume des cieux. Le Seigneur nous dit de nous affectionner aux choses d’en haut et non à celles qui sont sur la terre parce qu’il sait que les choses d’en haut appartiennent au corps spirituel et celles qui sont en bas appartiennent au corps de la terre qui ne servira à rien. Voilà pourquoi s’il y a lieu de se glorifier, c’est dans la richesse, la grandeur et la gloire du corps spirituel (Jésus-Christ), et non dans la richesse, la grandeur et la gloire du corps de la terre (argent, maisons, voitures, titres…). Car la considération de la mort du corps physique a entrainé les hommes à prendre cette dernière comme la véritable mort, et pourtant, cette mort (du corps de la terre) n’est qu’un passage pour tout le monde, parce que même le Seigneur Jésus est aussi passé par là pour nous délivrer non de la fausse mort (mort du corps de la terre), mais de la véritable mort qui est la mort du corps spirituel.

Vous verrez aujourd’hui que dans ce monde, lorsque quelqu’un meurt dans son corps de la terre, cela devient catastrophique pour la famille, les amis et les proches ; ils pleurent, et se lamentent en disant : ‘’qui va encore nous aider (nous donner de l’argent)’’, et certains sont souvent prêts à dire qu’ils vont aussi tomber dans cette fosse appelée ‘’tombe’’ où le corps de la terre est en train de faire son grand retour dans cette poussière où il avait été pris. Mais pendant que le corps de la terre de l’homme vit, et que son corps spirituel est mort, les gens ne pleurent et ne se lamentent pas pour ce corps mort, au contraire, lorsqu’ils reçoivent un matériel de lui, ou encore le voyant de loin dans sa gloire, vivant dans la mort, ils le prennent pour un dieu sauveur à cause de son matériel ou de sa gloire. Donc la mort du corps spirituel n’est pas crainte, et tant qu’elle ne le sera pas, le mal battra toujours son plein dans le cœur et dans l’âme de l’homme.

       A Dieu seul, l’amour et la pitié par Jésus-Christ pour la délivrance et la vie des âmes des hommes pour l’éternité.

 

 

CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)

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