L'ÉVANGILE DE LA DÉLIVRANCE ET DU SALUT

GLOIRE ET GRANDEUR DANS LE CIEL POUR TOUS CEUX QUI SUPPORTENT A CAUSE DE CHRIST LES PERSECUTIONS ET LES OUTRAGES DANS CE MONDE

C’est le 142^ème message.

Un vrai enfant de Dieu ou serviteur de Dieu sait que les temps de tribulations sont les temps de fortification et de grandeur, bien que cela ait l’air d’une tristesse. Les persécutions pour la gloire de Christ sont comme des épreuves soumises aux élèves lors d’un examen. L’élève doit être capable de répondre à toutes les questions qui lui seront posées, car s’il y parvient, cela montrera qu’il a bien préparé son examen.

Un enfant de Dieu qui n’est pas persécuté ou outragé doit douter de sa foi ou alors il doit se dire que le moment n’est pas encore arrivé pour qu’il passe par cette épreuve. Car ce sont les épreuves de vie qui, lorsqu’elles arrivent, annoncent notre grandeur et notre gloire dans le ciel. Ne regardons pas de ce que nous allons souffrir, mais regardons plutôt ce que nous allons recevoir après le triomphe de ces calamités. Car, la crainte de Dieu non pas dans l’hypocrisie (qui a envahi le monde), mais dans la vérité est un chemin des moqueries, du rejet, des troubles, d’emprisonnement et de mort physique. Ceux qui avaient été l’objet de ces choses avaient fini par triompher ; c’est le cas de Joseph, Job, Jérémie, Michée, Daniel, les trois compagnons, Jean-Baptiste et Jésus-Christ lui-même dont nous devons imiter (Ephésiens 5/1-2) (1Jean 2/6). Les persécutions dont ont été victimes les prophètes n’ont pas été un fait du hasard, ou alors ce ne sont pas les choses à prendre à la légère. C’est pourquoi l’apôtre Paul dit : « Or, tout ce qui a été écrit d'avance l'a été pour notre instruction, afin que, par la patience, et par la consolation que donnent les Écritures, nous possédions l'espérance » (Romains 15/4).

En outre, les persécutions dont étaient victimes les prophètes ont continué jusqu’aux apôtres choisis par le Seigneur Jésus-Christ qui, à cause de la vérité qu’ils révélaient, étaient persécutés, emprisonnés, voire tués. Malheureusement, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Tandis que les apôtres d’hier étaient des chasseurs du mensonge dans l’homme, ceux d’aujourd’hui (siècle présent) sont des chercheurs de la gloire de l’homme et de tout autre matériel (l’argent). C’est pourquoi l’un de mes messages (Message 21) est intitulé : « LES APOTRES, LES PROPHETES ET LES PASTEURS SONT-ILS PERSECUTES AUJOURD’HUI ?». Ces derniers ne révèlent pas la vérité (Jésus-Christ) (2 Corinthiens 4/5) qui provoque les persécutions, mais ils révèlent la venue des voyages, des mariages, du travail, de la promotion, de la prospérité, également des choses faites par les esprits des ténèbres, ce qui les rend célèbres.

En fait, si les persécutions qui étaient hier se sont arrêtées, il faut comprendre qu’elles recommenceront, et elles sont déjà là. Car la vérité avait paru et si celle-ci n’avait pas été aimée dans les siècles passés, elle ne le sera pas non plus dans ce siècle présent aussi méchant que jamais. Car il faut comprendre que le Seigneur Jésus-Christ nous a parlé de la gloire que nous avons au Royaume des cieux si nous sommes et demeurons dans sa vie, sa maison et son amour. C’est pourquoi il dit : « Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande » (Jean 15/14). Lorsque nous portons ces commandements en nous et qui sont une gloire de Christ, on doit s’attendre aux persécutions et aux outrages. Mais Jean 16/33 dit : « Je vous ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde; mais prenez courage, j'ai vaincu le monde ».

Bien-aimés dans le Seigneur, ne soyons donc pas surpris de ce qui va nous arriver à cause de la vérité que nous portons et que nous voulons faire porter aux autres. Car c’est cette vérité qui est notre paix, joie et gloire éternelle. Voilà pourquoi l’apôtre Pierre dit : « Bien-aimés, ne soyez pas surpris, comme d'une chose étrange qui vous arrive, de la fournaise qui est au milieu de vous pour vous éprouver. Réjouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans l'allégresse lorsque sa gloire apparaîtra. Si vous êtes outragés pour le nom de Christ, vous êtes heureux, parce que l'Esprit de gloire, l'Esprit de Dieu, repose sur vous » (1Pierre 4/12-14).

Le Seigneur Jésus nous a appelés à une gloire éternelle que nous devons porter pour rendre témoignage de lui devant les hommes, et ceci est une souffrance, c’est pourquoi il est dit « et cela de la part de Dieu, car il vous a été fait la grâce, par rapport à Christ, non seulement de croire en lui, mais encore de souffrir pour lui » (Philippiens 1/29).

Bien-aimé dans le Seigneur, choisir Jésus-Christ dans ce monde dominé par le diable, c’est choisir les moqueries, les outrages, les rejets et la mort physique. Il faut donc comprendre que celui qui choisit Jésus-Christ en vérité sera haï par les hommes, mais comme je l’ai dit, c’est un passage obligatoire pour tous ceux qui veulent entrer au royaume des cieux. Mais le Seigneur Jésus te fortifie en te disant : « Ne crains pas ce que tu vas souffrir. Voici, le diable jettera quelques-uns de vous en prison, afin que vous soyez éprouvés, et vous aurez une tribulation de dix jours. Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de vie » (Apocalypse 2/10).

Lorsque j’écoute ou je lis cette parole du Seigneur, celle-ci m’amène à défier les faux hommes de dieu, les sorciers, les magiciens et les moqueurs. Car ces derniers me permettent de grandir, d’être fort et costaud. Quand je n’ai pas d’adversaire, je me sens faible, je m’endors et je me séduis. Voilà pourquoi j’aime les affrontements, le combat ou la bataille. Car j’ai en moi l’Esprit du Seigneur Jésus-Christ qui est le grand vainqueur (champion). J’ai cette ferme assurance que je ne perdrai pas un seul instant ce qui m’a été donné, parce que je sais que, ce que j’ai en moi, même si on multiplie toutes les richesses du monde par le nombre que l’homme veut, cela ne représentera même pas le dixième ⅟10^ème de ce que je porte en moi.

En outre, je suis souvent triste quand je vois ceux qui disent appartenir à Christ et qui n’aiment pas quand on les injurie ou quand on se moque d’eux, car pour eux, c’est un mépris à leur égard. Mais il faut que ces gens comprennent que plus on triomphe des tribulations, plus on a la gloire et la grandeur dans le ciel. Je sais que mes premiers adversaires ce sont les faux hommes de dieu, ensuite les sorciers et enfin les magiciens qui, à chaque fois qu’ils voudront me combattre physiquement, prendront appui sur les autorités gouvernementales qui feront leur force. Ces gens (faux hommes de Dieu, sorciers et magiciens) non seulement ils usent du mensonge pour convaincre les autorités, mais ils les corrompent également par les présents afin d’empêcher Jésus-Christ de se répandre, d’être connu et d’être accepté par ceux qui veulent le connaître, pour être sauvés.

Le Seigneur Jésus-Christ étant le chemin, la vérité et la vie, a reçu ces outrages et calamités, combien de fois nous qui empruntons ce chemin. C’est pourquoi il a dit : «Si l’on fait ces choses au bois vert, qu’arrivera-t-il au bois sec ? » (Luc 23/31).Et il dit également : « …s’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre, mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom…» (Jean 15/20-21). Mais l’avenir parlera de lui-même.

Que seule la gloire de Jésus-Christ remplisse les cœurs, les esprits et les âmes des hommes pour l’éternité.

CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle.

(Jean 8/32)

LA PUISSANCE DE LA PAROLE DE VERITE (DIEU)

C’est le 48^ème message.

Au commencement était la parole, la parole était avec Dieu et la parole était Dieu (Jean 1/1). C’est cette parole qui a créé ce monde et tout ce qui s’y trouve (Psaumes 36/6). Car c’est cette parole qui dit et la chose arrive ; elle parle et elle existe (Psaumes 33/9).

Car Dieu est la parole et le diable l’est aussi. Mais parmi les deux paroles, il y a une qui fait vivre et l’autre qui fait mourir. Dans les deux paroles, il y a la volonté de l’un et la volonté de l’autre. Parmi ces deux volontés, il y a l’une qui avait dit à Adam et Eve : le jour où vous en mangerez, vous mourrez (Genèse 2/16-17) ; et l’autre qui leur avait dit : si vous mangez, vous ne mourrez point (Genèse 3/4-5). Mais l’obéissance à la volonté de l’autre n’avait point amené l’homme à vivre. L’une des volontés était bonne car elle sauve et elle fait vivre ; tandis que l’autre était mauvaise parce qu’elle condamne et elle fait mourir. L’une de ces deux paroles a paru afin de détruire les œuvres de l’autre (1Jean 3/8) ; et on retrouve à cet effet ces deux paroles dans l’homme.

Hommes écoutez et entendez, regardez et voyez ; le Seigneur Jésus dit : la chair ne sert de rien, les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie. Cette parole a une puissance lorsqu’elle sort de l’amour, du sentiment, de la justice et de la miséricorde du Seigneur Jésus. C’est pourquoi je dis que la parole qui sort de la bouche d’un vrai enfant de Dieu porte le nom de Jésus, le feu, l’épée, le marteau, la lumière et le sang. Car, cette parole (vie) à une force capable de détruire les œuvres et les installations du diable (sorcier, magicien et autres). Elle a également une force de demander à un mauvais esprit de libérer ce qu’il tient captif.

En fait, pour condamner, bloquer, enfermer, enterrer, détruire, attacher et tuer, le diable et ses hommes passent par des paroles qui ne sont rien d’autres que les confessions, les recommandations, les déclarations et des prophéties. De même, pour briser, effacer, déchirer, déterrer, écraser, détacher, annuler, brûler et ordonner la libération d’un corps, le Seigneur Jésus et ses hommes passent aussi par des confessions, des déclarations, des recommandations et des prophéties. Car sans parole, on ne parle pas de Dieu ni du diable ni même de l’homme. Un vrai enfant de Dieu a le pouvoir d’ordonner la libération de : son diplôme, son travail, son mariage, ses finances, ses enfants, son voyage etc… Il a le pouvoir de le faire lorsque ce qui lui appartient est retenu par le diable. Il a le pouvoir de détacher, de briser, de détruire et de commander la libération de tout ce qui est enfermé. La parole qu’un vrai enfant de Dieu a, est premièrement là pour sauver son âme. Cette parole détruit donc les œuvres des sorciers et non les sorciers.

Quiconque souhaite et confesse la mort d’un sorcier, sache qu’il est lui-même le diable (tueur). C’est même la raison pour laquelle on n’envoie pas le feu aux hommes sorciers mais plutôt à leurs œuvres. Un vrai enfant de Dieu a donc la puissance. Aujourd’hui les sorciers, les magiciens et autres par leurs paroles de malédictions, gagnent tous les hommes qui prétendent prier. Ils dominent sur les hommes parce que ces derniers n’ont pas en eux la bénédiction qui est la charité (le Seigneur Jésus) ; et c’est elle (la bénédiction) qui a la puissance de dominer sur tout esprit de malédiction.

Il faut que l’homme comprenne qu’on ne gagne pas le diable en utilisant l’herbe, l’écorce, l’huile, le parfum, le savon, le port de la croix, l’eau et le sel bénits ou encore en récitant les versets, mais on gagne le diable par la vie que nous menons (le sentiment et la pensée) qui sont l’amour, le pardon, le vérité, la joie, la fidélité, la douceur, la paix, la tempérance et l’espérance qui sont le Seigneur Jésus Christ. C’est pourquoi celui qui devient cette vie, c’est-à-dire qui naît de nouveau, triomphera du monde des ténèbres (1Jean 5/4-5). On ne peut jamais gagner le diable dans le diable, la mort dans la mort ou l’enfer dans l’enfer.

J’ai constamment pitié des pasteurs, des prêtres, des prophètes, des apôtres ainsi que leurs fidèles parce que le diable leur fait un jeu dans le jeu. Les hommes disent aujourd’hui que je suis un fou ; mais ce ne sont que les sourds et les aveugles qui le disent. Car s’ils avaient demandé au Seigneur Jésus-Christ de descendre de la croix s’il était fort, combien à plus forte raison moi (Matthieu 27/39-43).

(Jean 8/32)