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POURQUOI EN DIEU LE MARIAGE EST-IL UNE BENEDICTION ET NON UN MALHEUR POUR L'HUMANITE, ET LA FEMME MARIEE UNE AIDE ET NON UNE CHARGE POUR SON MARI ?

 
C’est le 636ème message.
 
 
       Que la paix et la miséricorde soient rendues au Dieu de notre seigneur Jésus qui nous a enrichis abondamment par sa révélation afin que nous soyons édifiés sur sa volonté. En vérité, les enfants de Dieu nés de Jésus-Christ sont dans le monde pour une mission, mais ils ne sont pas du monde pour marcher selon lui ; c’est pourquoi Christ rend témoignage à son père en disant :« Ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde.» (Jean 17 / 16). Les enfants de Dieu sont de passage dans ce monde, c’est pour cela qu’ils ne peuvent pas marcher selon les hommes, ils utilisent les choses du monde mais ne sont guère gagnées par elles, car ils les considèrent comme de la boue. Les enfants de Dieu sont plutôt gagnés par les choses du royaume des cieux où se trouvent leur demeure éternelle, et ce n’est pas à eux de suivre les enfants du monde, mais ils ont plutôt pour devoir de changer la conduite des hommes de ce monde.
         En vérité, c’est triste de voir que les enfants de Dieu qui devraient changer le monde, sont eux aussi dominés par les coutumes et traditions des hommes par ignorance ou par négligence de la volonté de Dieu. Mais le seigneur nous a fait porter sa lumière pour éclairer le monde, et que ceux à qui cette grâce sera accordée se réjouissent de recevoir sa parole. Dieu dans son amour veut nous faire comprendre que le mariage n’est pas un malheur mais une bénédiction pour l’humanité et la femme mariée n’est pas une charge, mais plutôt une aide pour son mari.
        Dès le commencement, Dieu créa l’homme tel qu’il est dit : « L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant. » (Genèse2 / 7). Adam fut alors placé dans le jardin d’Eden pour le cultiver et le garder, mais auprès de lui, il n’y avait personne et l’Eternel vit qu’il était seul, alors il dit qu’il lui fera une aide semblable à lui tel qu’il est écrit : « L'Éternel Dieu dit: Il n'est pas bon que l'homme soit seul; je lui ferai une aide semblable à lui. » (Genèse2 / 18). L’homme travaillait dans le jardin, il donnait les noms au bétail, aux oiseaux du ciel et aux animaux des champs, mais il était toujours seul, sans une aide semblable à lui ; voilà pourquoi il est écrit : « Et l'homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel et à tous les animaux des champs; mais, pour l'homme, il ne trouva point d'aide semblable à lui. » (Genèse2 / 20).
       Lorsque le temps était venu pour Dieu de créé la femme, il l’a prise dans l’homme ; c’est-à-dire de ses cotes, et l’amena vers lui tel qu’il est dit : « Alors l'Éternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l'homme, qui s'endormit; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L'Éternel Dieu forma une femme de la côte qu'il avait prise de l'homme, et il l'amena vers l'homme. » (Genèse2 / 21-22). Lorsque Dieu vit la solitude de l’homme au jardin d’Eden, il pensa lui donner une aide et non une charge, mais aujourd’hui dans le monde, lorsqu’un homme ressent le besoin de se marier et qu’il est en âge de le faire, les gens se mettent à lui demander pourquoi il veut prendre une charge, car pour eux, une épouse est une charge, pourtant tel n’est pas le dessein de Dieu.
       La Parole de Dieu dit que mieux vaut deux, qu’un seul. En effet, dans un couple, les deux conjoins se serrent les coudent pour réussir. Lorsqu’une personne est majeure, elle a l’âge de se marier. L’homme doit prendre sa femme et se battre avec elle même s’il habite dans une chambre. Une personne ne doit pas avoir de complexe parce qu’elle vit dans la pauvreté, car en vérité, c’est le manque de la connaissance de Dieu qui est un handicape et une pauvreté et non le manque du matériel.
       Mais attention ! Être marié ou avoir une femme auprès de soi ne veut pas dire qu’il faut faire des enfants sans se contrôler, car c’est là où les enfants de Dieu sont tombés dans le piège du monde. Les gens du monde font des enfants en grand nombre et se sacrifient uniquement pour leurs enfants, pourtant en Dieu, il faut premièrement penser à l’œuvre du seigneur et évaluer le nombre d’enfant que nous pourrons avoir sans que cela ne soit un blocage pour notre mission. Si nous trouvons qu’avoir deux enfants peut être un blocage, il vaut mieux diminuer le nombre à un, car en Christ, les enfants et la famille viennent après l’œuvre de Dieu, et c’est la mission de Dieu qui conditionne notre existence sur terre ; c’est pourquoi le seigneur Jésus dit : « Si quelqu'un vient à moi, et s'il ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, et ses sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple. » (Luc14 / 26). Le seigneur Jésus ajoute plus haut : « Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de la bonne nouvelle la sauvera. » (Marc 8 / 35). Les hommes de ce monde consacrent leur vie pour leurs enfants, par contre celui qui est né de Christ consacre sa vie pour l’œuvre de Dieu.
      En Dieu, on ne se marie pas comme dans le monde ; on n’épouse pas une femme ou un homme pour son argent, sa couleur de peau, sa beauté physique, sa tribu…, mais pour sa crainte de Dieu, et l’union entre deux personnes doit être approuvée par Dieu. Les hommes du monde cherchent à connaitre une femme, à vivre avec elle pendant une période qui peut s’étaler sur plusieurs années, avant de l’épouser ; mais en Dieu, cela n’existe pas, car lorsque Dieu approuve une union, il n’y a plus rien à expérimenter. Nous ne connaissons pas et nous ne voyons pas plus que Dieu. Donc dès que Dieu montre à un homme sa femme, même si c’est le premier jour qu’il voit cette dernière, les portes sont déjà ouvertes pour rencontrer la famille de la fille et les deux personnes se marient.
       En Christ, c’est l’approbation de Dieu qu’on recherche pour se marier, mais dans le monde, on consulte les hommes et on se plie à leurs exigences avant de se marier, surtout en Afrique où la famille veut toujours savoir si la femme est de la tribu de l’homme, si elle pourra préparer les mets traditionnels, si elle pourra accoucher…. Le monde connait que lorsqu’un homme à l’argent, il ne doit pas épouser une femme pauvre, ou encore un intellectuel ne doit pas se marier à une personne illettrée, et vice versa. Mais en Dieu, ces exigences n’existent pas. Il ne faut pas regarder par les yeux charnels pour juger les concordances selon le monde, mais il faut chercher à voir si Dieu approuve l’union entre deux personnes.
       En Dieu il ne faut pas demander des dotes exorbitantes car une femme n’est pas un objet à vendre ; on peut échanger un matériel contre un autre matériel, mais on ne doit pas donner un être humain pour du matériel. En Dieu, les parents de la fiancée demandent au beau fils d’apporter ce qu’il a comme cadeau, et ce n’est qu’un signe d’amour ; mais dans le monde, on taxe la dote de la jeune fille comme si elle était une marchandise à vendre. Dans beaucoup de familles on demande souvent pour dote des porcs, des chèvres, des cartons de poissons, des sacs de sel, de riz, d’oignons, des pagnes, des casiers de bière, des voitures, des maisons, de l’argent en espèce…, et les enfants de Dieu sont nombreux dans cette manière de faire.
       Dans de nombreuses familles il faut en premier demander la main de la jeune fille, et au cours de cette étape le fiancé doit donner à la belle famille le Whisky, les casiers de bière, les cartons de vin rouge…, et une enveloppe d’argent ; ensuite il faut engager la dote. L’homme doit alors payer la dote aux parents, aux frères, aux cousins, aux cousines…, de la femme, ce qui ruine souvent certaines personnes qui vont jusqu’à s’endetter. En effet, ces coutumes et traditions freinent ou empêchent le mariage de beaucoup de personnes, car bon nombre n’ont pas souvent les moyens pour satisfaire leurs belles familles.
        En vérité certaines personnes taxent souvent la dote de leur fille comme si elle était une poule à vendre ; c’est pour cela que Rachel et Léa, femmes de Jacob, disaient à leur père : « Car Ne sommes-nous pas regardées par lui comme des étrangères, puisqu'il nous a vendues, et qu'il a mangé notre argent ? » (Genèse 31 / 15-16).
       Dans ce monde, certains parents aiment souvent dire qu’ils ont souffert pour leur enfant et lui payant les études, en le soignant et en lui prodiguant divers soins, et que pour cela ils méritent qu’on compense leur travail en leur payant une dote équivalente à leur sacrifice. Mais quelle folie ! Hélas, rien ne fait la différence entre les enfants de ce monde et ceux du royaume des cieux, juste parce les chrétiens sont aussi engloutis dans les coutumes et traditions de ce monde.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)
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