REGARDEZ ET VOYEZ COMMENT DES SUISSES, FRANCAIS ET AMERICAINS D’ORIGINE CAMEROUNAISE QUI DIRIGENT LE CAMEROUN ONT LIVRE CE BEAU PAYS EN SPECTACLE DE DESTRUCTION DANS TOUS LES DOMAINES !!!
C’est le 551ème message
En vérité, lorsque j’étais petit je me posais beaucoup de questions restées sans réponse ; car je voulais toujours comprendre pourquoi le chef d’Etat camerounais, lorsqu’il sort de son palais dans son propre pays, on bloque la circulation sur tout axe principal qu’il empruntera pendant au moins 4 heures de temps avant sa sortie. Ceci paralyse souvent la circulation routière dans toute la capitale ; les militaires de la garde présidentielle sont souvent perchés sur tous les immeubles le long de la route, portant des armes et casques.
Je me posais aussi la question de savoir pourquoi le chef d’Etat camerounais passe de manière régulière beaucoup de temps en Suisse ? Je me demande pourquoi au Cameroun le salaire d’aucun ministre n’atteint 800 000 francs CFA, pourtant tous sont des milliardaires ; plusieurs, après leurs fonctions, se retrouvent en prison ou sont en fuite en occident. Je me posais encore une autre question de savoir pourquoi le Cameroun vend ses matières premières qui font d’énormes rentrées d’argent, mais le territoire n’est pas aménagé, manque des infrastructures, et ne connait ni changement ou amélioration des conditions de vie de ses populations, cependant le cout du panier de la ménagère s’élève et l’Etat s’enfonce de plus en plus dans les dettes ? Comment un Etat pareil peut-il privatiser presque toutes ses sociétés, laissant place aux jeux de hasard ou à la loterie comme le PMUC, le pari foot ? La jeunesse camerounaise est livrée sans frein à tous ces jeux comme un emploi qu’elle a trouvé. Ceux qui sont plus âgés considèrent aussi cela comme une manne tombée du ciel. Tous se bousculent à longueur de journée pour cotiser à la loterie ; mais pour quel gain ? Lorsque je suis devenu grand, j’ai commencé à avoir la réponse à ces questions ; et j’ai alors compris que ceux qui dirigent le Cameroun sont des étrangers, c’est-à-dire des suisses, des français, des américains …, mais camerounais d’origine. En vérité, le Cameroun est dirigé par un suisse qui est le président Paul Biya, et par les français, les américains, qui sont le reste des membres du gouvernement actuel. Chaque dirigeant camerounais a une double nationalité bien prouvée par son second passeport : Paul Biya, le chef d’Etat camerounais est suisse par sa seconde nationalité, Philémon Yang, premier ministre, chef du gouvernement, est français, Amadou Ali, vice-Premier ministre, ministre délégué à la Présidence chargé des relations avec les assemblées, français, Marcel Niat Njifenji, premier président du Sénat du Cameroun, français, Bello Bouba Maïgari, Ministre du tourisme et des loisirs, français, Laurent Esso, ministre de la justice, garde des sceaux, français, Joseph Beti Assomo, ministre délégué à la Présidence, chargé de la Défense, français, Mme Rose Mbah Acha, ministre délégué à la Présidence chargé du contrôle supérieur de l’Etat, française, Abba Sadou, Ministre délégué à la Présidence chargé des marchés publics, français, René Sadi, ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation, français, Mme Pauline Irène Nguene, Ministre des affaires sociales, française, Henri Eyebe Ayissi, ministre de l’agriculture et du développement rural, américain, Jean Narcisse Mouelle Kombi, ministre des arts et de la culture, français, Luc Magloire Mbarga Atangana, ministre du commerce, français, Issa Tchiroma Bakary, ministre de la communication, français, Mme Jacqueline Koung A Bissike, ministre des domaines, du cadastre et des affaires foncières, française, Basile Atangana Kouna, ministre de l’eau et de l’énergie, français, Louis Paul Motaze, ministre de l’économie, de la planification et de l’aménagement du territoire, français, Mme Youssouf Hadidja Alim, ministre de l’éducation de base, française, Dr Taiga, ministre de l’élevage, des pêches et des industries animales, français, Zacharie Perevet, ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, français, Jean Ernest Ngalle Bibehe Masséna, ministre des enseignements secondaires, français, Jacques Fame Ndongo, ministre de l’enseignement supérieur, français, Pierre Helé, ministre de l’environnement, de la protection de la nature et du développement durable, français, Alamine Ousmane Mey, ministre des finances, français, Michel Ange Angouin, ministre de la fonction publique et de la réforme administrative, français, Ngole Philip Ngwese, ministre des forêts et de la faune, français, Jean Claude Mbwentchou, ministre de l’habitat et du développement urbain, français, Mounouna Foutsou, ministre de la jeunesse et de l’éducation civique, français, Hernest Ngoua Boubou, ministre des mines, de l’industrie et du développement technologique, américain, Laurent Serge Etoundi Ngoa, ministre des petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’artisanat, français, Mme Minette Libom Li Likeng, ministre des postes et télécommunications, française, Mme Marie-Thérèse Abena Ondoa, ministre de la promotion de la femme et de la famille, française, Mme Madeleine Tchuinte, ministre de la recherche scientifique et de l’innovation, française, Lejeune Mbella Mbella, ministre des relations extérieures, français, André Mama Fouda, ministre de la santé publique, français, Pierre Ismaël Bidoung Kpwatt , ministre des sports et de l’éducation physique, français, Edgard Alain Mebe Ngo’o, ministre des transports, français, Grégoire Owona ,ministre du travail et de la sécurité sociale, français, Emmanuel Nganou Djoumessi, ministre des travaux publics, français, Martin Mbarga Nguele, délégué général à la sureté nationale, français, Ndongo Jules Doret, ministre délégué auprès du ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation chargé des collectivités territoriales décentralisées, français, Mme Clémentine Ananga Messina, ministre délégué auprès du ministre de l’agriculture et du développement rural chargé du développement rural, française, Dr Nana Aboubakar Djalloh, ministre délégué auprès du ministre de l’environnement, de la protection de la nature et du développement durable, français, Abdoulaye Yaouba ministre délégué auprès du Ministre de l’économie, de la planification et de l’aménagement du territoire chargé de la planification, français, Paul Che Eloum, ministre délégué auprès du ministre des finances, français, Jean-Pierre Fogui , ministre délégué auprès du ministre de la justice, garde des sceaux, français, Jospeh Dion Ngute, ministre délégué auprès du ministre des relations extérieures chargé de la coopération avec le Commonwealth, français, Adoum Gargoum , ministre délégué auprès du ministre des relations extérieures chargé de la coopération avec le monde islamique, français, Oumarou Mefiro, ministre délégué auprès du ministre des transports, français.
Moustapha Hamadou, Mengot Victor Arrey Nkongho, Philippe Mbarga Mboa, tous ministres chargés de mission à la Présidence de la République, français, ainsi que Paul Atanga Nji, américain. Jean-Baptiste Bokam, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la défense, chargé de la gendarmerie nationale, français, Issa Koumpa, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants et victimes de guerre, français, Benoît Ndong Soumhet, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’éducation de base, français, Boniface Bayaola, secrétaire d’Etat auprès du ministre des enseignements secondaires, chargé de l’enseignement normal, français, Mme Koulsoumi Alhadj épouse Boukar, secrétaire d’Etat auprès du ministre des forêts et de la faune, française, Mme Marie Rose Dibong, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’habitat et du développement urbain, chargé de l’habitat, française, Dooh Jérôme Penbaga, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la justice, garde des sceaux, chargé de l’administration pénitentiaire, français, Fuh Calistus Gentry, secrétaire d’Etat auprès du ministre des mines, de l’industrie et du développement technologique, français, Alim Hayatou secrétaire d’Etat auprès du ministre de la santé publique chargé de la lutte contre les épidémies et les pandémies, français, Louis-Max Ayina Ohandja, secrétaire d’Etat auprès du ministre des travaux publics chargé des routes, français, Adolphe Moudiki, le tout puissant administrateur directeur général de la Société nationale des hydrocarbures, français….
Ces étrangers d’origine camerounaise continuent à piller l’économie du pays et à le vider de ses richesses, telle une orange juteuse qu’on a terminé de presser, donc qui ne peut plus sortir de jus. Ces étrangers sont allés garder ces richesses, ou le jus de cette orange dans leur pays, afin de les utiliser dans le strict intérêt personnel, laissant ainsi le bas peuple dans la misère, la faim, la soif, le sous développement …. Ces étrangers d’origine camerounaise qui dirigent ce pays, ont apporté au peuple les pratiques magiques telles que la rose-croix, la franc maçonnerie, l’homosexualité …, soumettant même le simple balayeur de leur bureau à intégrer leur cercle, condition nécessaire pour la préservation de son emploi et de son avancement au sein de leur structure. Au pays, dans tous les secteurs, ils ont élevé la corruption ; ce virus a atteint même les bébés, au point où même les élèves de l’école primaire savent que le jour de l’examen du CEP, il faut monnayer le maitre pour qu’il écrive la réponse au tableau.
A cause de la corruption, les livres scolaires sont changés chaque année, et les parents d’élèves en souffrent tellement. Les parents se sacrifient chaque année pour que leurs enfants obtiennent des grands diplômes qui leur assureront un bon emploi et des meilleures conditions de vie ; mais hélas ! Ces jeunes diplômés butent souvent à la dure réalité de leur pays qui est de monnayer, de baiser la culotte, d’entrer dans des cercles vicieux… pour d’obtenir une place au sein d’une société ou dans la fonction publique. Lorsque certains concours sont lancé au Cameroun, les lauréats sont connus d’avance, et l’affluence n’est que pour l’achat des timbres afin de renflouer les caisses de l’Etat ; certains admis n’ayant même pas déposé de dossier, arrivent souvent à le faire à la fin de leur formation.
Un pays qui ne mise pas sur la compétence, la performance et le mérite pour son émergence, mais plutôt sur la corruption et le trafic d’influence fait souffrir le bas peuple qui subit et est la victime des plus forts, de l’injustice, de l’intimidation, des tracasseries des routiers et autres rapaces qui lui extorquent de l’argent. La corruption a conduit les gouvernants camerounais à ouvrir grandement la porte aux expatriés qui sont venus implanter des sociétés de jeu de hasard dans le pays surtout dans les grandes villes. Elles accumulent tous les jours d’énormes sommes d’argent. La jeunesse camerounaise ne s’occupe donc plus à chercher un véritable emploi, mais plutôt à collectionner les journaux de matchs ou de chevaux pour choisir l’équipe ou les équipes, le cheval ou les chevaux sur lesquels miser. Regardez comment pendant la période des récoltes, à cause du manque de routes bitumées ou aménagées, les agriculteurs souffrent pour acheminer leur production dans les marchés ! Certains véhicules portant les récoltes s’embourbent, parfois y passent des jours avant d’être tirés par des engins lourds et le plus souvent par la force humaine des populations riveraines. Au Cameroun, dans certains arrondissements, les pannes électriques mettent parfois plusieurs mois avant d’être réparées, paralysant ainsi les activités des populations. Même les axes routiers comme Yaoundé- Douala et Yaoundé-Bafoussam sont non seulement parsemés de nids de poule, mais aussi connaissent des affaissements par endroit à cause des vieilles buses qui s’émiettent à chaque moment et créent une rupture de la circulation pour aller d’une ville à une autre.
La réussite, la prospérité et le développement d’un pays ne sauraient venir des étrangers ; ceux qui gouvernent le Cameroun confirment cette règle. Ils ont amené les camerounais à consommer des produits importés tels que : le poisson, le poulet, le riz…, pourtant les camerounais produisent toutes ces denrées et peuvent en produire autant, voire même plus, s’ils sont subventionnés ou soutenus. Ces renards, lorsqu’ils sont délégués pour l’achat d’un matériel à l’étranger, font la surfacturation, alors l’écart de prix est versé dans leurs poches pour des fins personnelles. Dans un pays où il y’a centralisation du pouvoir autour d’une seule personne, le risque de propagation de la corruption dans toute la nation est élevé si son dirigeant est un corrompu. Si par contre c’est un faussaire, tout le pays devient faux. S’il est vieux, toute la nation fonctionne au ralenti, et s’il méprise la loi républicaine, toute la nation devient aussi injuste.
Dans un pays où tous les ministres, les gouverneurs, préfets, sous-préfets, magistrats, directeurs des sociétés publiques ou parapubliques, militaires, gendarmes, policiers, corps pénitenciers … combattent pour le parti au pouvoir afin de ne pas perdre le poste ou connaitre une affectation disciplinaire, c’est la dictature qui règne et domine. Au Cameroun, même le problème des anglophones a pour clef de solution le dialogue ; mais à cause de l’orgueil et la suffisance, les dirigeants refusent le dialogue. D’où viendra alors la solution ? Il faut comprendre que lorsque l’étincelle grandit dans la maison, elle devient une flamme qui va engendrer plus tard un incendie qui fera des pertes énormes pour la maison qui est le pays. Que tous les camerounais épousent le cœur de Dieu afin que chacun se mette à la place de l’autre et ressentir ce qu’il ressent ; car il est important de comprendre parfaitement le problème de tout un chacun.
A Dieu seul la gloire par son fils Jésus-Christ envoyé sur terre pour nous faire passer de la conduite animale, humaine, à celle de Dieu.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)