MAJORITE DES CHRETIENS D’AUJOUD’HUI NE SONT-ILS QUE DES PAÏENS Y COMPRIS LES JUIFS QUI AVAIENT REJETE LA FOI DEPUIS LE TEMPS DES APOTRES ET CELA JUSQU’AUJOURD’HUI  ?

C’est le 329ème message.

 

Par la grâce du Seigneur,  mon enseignement ne repose pas sur la lettre, mais sur une démonstration d’esprit et de puissance de la parole créatrice, afin que la croyance des uns et des autres ne soit plus fondée sur la loi qui les fait demeurer chrétiens de la loi, mais sur la foi, qui leur permet de devenir chrétiens de la foi. J’ai cette soif ardente de donner aux autres tout ce que le Seigneur Jésus m’a donné, sans rien retenir ; de transmettre tout ce qu’il m’a transmis, et d’accomplir ma mission que j’avais prophétisée à l’âge de 06 mois. 

La majorité des chrétiens d’aujourd’hui ne sont que des païens. Je vais commencer premièrement par les juifs qui étaient païens au temps des apôtres, et qui ne le savaient pas. Rejetant la foi, ils prenaient les incirconcis de la chair pour des païens alors qu’ils étaient eux-mêmes des vrais païens, parce qu’ils étaient des incirconcis de cœur et non de la chair qui ne servait plus à rien. En Israël, jusqu’au commencement du témoignage des apôtres, tous ceux qui n’étaient pas circoncis de la chair étaient des païens. Donc, toutes les nations qui étaient étrangères à la circoncision de la chair qui était l’alliance avec Dieu, étaient païennes. Seuls les juifs ne se voyaient pas païens et considéraient tous ceux qui n’avaient pas cette circoncision comme des païens. Bref, toutes les nations étaient des païens dans la circoncision de la chair, sauf les juifs.

Du moment où le Seigneur Jésus commença sa mission avec les douze apôtres, en passant par sa mort, sa résurrection, sa montée au ciel, jusqu’au moment où il envoya le Saint-Esprit aux apôtres afin qu’ils commençassent le témoignage à Jérusalem, la circoncision était passée de la chair au cœur, et également, le païen était passé de l’incirconcis de la chair à l’incirconcis du cœur. Les juifs rejetaient cette parole de la foi des apôtres qui était pourtant l’épée par laquelle ils devaient être circoncis du cœur pour ne pas être des païens dans la circoncision du cœur. Ils se prenaient pour des non-païens juste parce qu’ils avaient la circoncision de la chair ; pourtant, la circoncision véritable est celle  du cœur, par l’épée qui est la parole du Seigneur Jésus. La parole du Seigneur Jésus qu’ils rejetaient les avait plongés dans l’état de païens dont ils  ignoraient. Voilà pourquoi l’apôtre Paul disait aux gens qui n’étaient pas juifs et qui avaient reçu la circoncision du cœur par la parole de la foi : ‘’Vous autrefois païens dans la chair, vous êtes appelés incirconcis par ceux qu’on appelle circoncis et qu’ils le sont de la main d’homme qui ne sert plus à rien pour alliance avec Dieu’’ (Ephésiens 2/11).                                                                             

ces juifs du temps des apôtres, depuis Jérusalem jusqu’aux villes voisines, empêchaient les apôtres de prêcher ou de sortir l’épée par laquelle ils devaient être circoncis du cœur pour ne pas demeurer païens dans l’esprit. Ces juifs, rejetant cette parole d’épée ou de foi, sont restés dans la circoncision de la chair qui ne sert à rien, et devenus païens dans l’esprit ou dans le cœur. Ces juifs de la loi ne savaient pas que rejeter la foi qui est venue vers eux faisait qu’ils n’étaient plus des véritables juifs, mais plutôt des faux juifs dans la foi. Voilà pourquoi l’apôtre Paul, reconnaissant que le juif c’est la foi et non la loi déclare : « Le Juif, ce n'est pas celui qui en a les dehors; et la circoncision, ce n'est pas celle qui est visible dans la chair. Mais le Juif, c'est celui qui l'est intérieurement; et la circoncision, c'est celle du cœur, selon l'esprit et non selon la lettre. La louange de ce Juif ne vient pas des hommes, mais de Dieu. » (Romains 2/28-29).              

le Seigneur Jésus disait à la femme samaritaine que le salut vient des juifs, il ne parlait pas des juifs de la loi, mais plutôt des juifs de la foi, c'est-à-dire par lui (Jean 4/22). L’apôtre Pierre avait été reproché par des juifs à Jérusalem du simple fait qu’il était allé chez Corneille un païen, et avait mangé avec lui ainsi qu’avec d’autres incirconcis. Ces gens qui lui reprochaient son geste ne savaient pas que même ces juifs qui étaient remplis à Jérusalem étaient aussi des païens et des incirconcis de cœur par l’épée ou la parole du Seigneur, parce qu’ils combattaient cette parole, et ils ignoraient aussi qu’en combattant cette parole ils étaient devenus ennemis de Dieu (Actes 11/1-3). Ces juifs eux-mêmes refusaient d’être circoncis de cœur et empêchaient même ceux qui étaient des incirconcis de chair et qu’ils appelaient païens, d’être circoncis de cœur par la parole de l’épée ou de la foi, et c’est pour eux que l’apôtre Paul disait : « Ce sont ces Juifs qui ont fait mourir le Seigneur Jésus et les prophètes, qui nous ont persécutés, qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont ennemis de tous les hommes, nous empêchant de parler aux païens pour qu'ils soient sauvés, en sorte qu'ils ne cessent de mettre le comble à leurs péchés. Mais la colère a fini par les atteindre » (1Thessaloniciens 2/15-16).        

Les juifs ne trouvaient rien de bon dans cette parole qui est l’esprit de Dieu et qui devait les affranchir de l’incirconcision du cœur pour qu’ils deviennent de véritables juifs ou des véritables circoncis. Mais comme ils trouvaient indigne cette parole qui est la vie éternelle, voilà pourquoi il est dit : « Paul et Barnabas leur dirent avec assurance: C'est à vous premièrement que la parole de Dieu devait être annoncée; mais, puisque vous la repoussez, et que vous vous jugez vous-mêmes indignes de la vie éternelle, voici, nous nous tournons vers les païens» (Actes 13/46). Les circoncis ne sont pas ceux de la chair, qui mettent leur confiance dans la chair, mais les circoncis sont ceux qui le sont dans l’esprit, et qui mettent leur confiance dans l’esprit. Voilà pourquoi il est dit : « moi, circoncis le huitième jour, de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu né d'Hébreux; quant à la loi, pharisien» (Philippiens 3/5). Cette parole du Seigneur Jésus a été donnée à tous les hommes du monde entier pour épée, afin que par elle, ils soient circoncis et soient en alliance avec Dieu, non plus de la circoncision de la main d’homme que les juifs avaient héritée depuis Abraham (Genèse 17/9-14), mais celle de l’esprit par la parole de l’esprit et de vie ; voilà même pourquoi il est dit : « Et c'est en lui que vous avez été circoncis d'une circoncision que la main n'a pas faite, mais de la circoncision de Christ, qui consiste dans le dépouillement du corps de la chair » (Colossiens 2/11).

La plupart des chrétiens d’aujourd’hui sont des païens ; parce qu’ils sont chrétiens non dans la foi, mais plutôt dans la loi. S’ils n’étaient pas des païens, le mal n’inonderait pas le monde des chrétiens, et la peur ne devait pas être aussi grande. On n’a pas peur de celui qui est dans la foi, mais de celui qui est dans la loi. Si les chrétiens n’étaient pas païens aujourd’hui, ils allaient être chrétiens de la foi, et dans la foi, l’homme regarde son semblable, désire de tout son cœur qu’il vive tant dans l’esprit que dans le physique  afin que lui aussi vive devant Dieu ; qu’il soit en santé tant dans l’esprit que dans le physique afin que, lui aussi obtienne la santé devant Dieu ; qu’il soit riche tant dans l’esprit que dans le physique, afin que lui aussi soit riche devant Dieu ; qu’il soit glorieux, grand et fort tant dans l’esprit que dans le physique, afin que lui aussi soit glorieux, grand et fort devant Dieu.                               

Les hommes témoigneraient le sentiment du Seigneur en étant chrétiens de la foi et non païens. Car, tel que le Seigneur Jésus au ciel, a le sentiment envers l’homme, tels ceux qui sont dans la foi en lui, ont aussi le même sentiment, c’est en cela que leur amour est parfait comme il dit : « Tel il est, tels nous sommes aussi dans ce monde: c'est en cela que l'amour est parfait en nous, afin que nous ayons de l'assurance au jour du jugement » (1Jean 4/17). Si les païens ou chrétiens de la loi n’avaient pas l’intelligence obscure, ils se poseraient la question de savoir si les chrétiens d’aujourd’hui iront au royaume des cieux avec le mal qui a rempli leur milieu aujourd’hui ; parce que ceux qui entreront au royaume des cieux sont ceux qui commencent à vivre Jésus (sa vie, sa pensée, son sentiment) sur terre ou étant encore dans la chair, pour ne pas être étrangers à celle qu’ils vivront dans le royaume des cieux. Si la majorité des chrétiens aujourd’hui n’étaient pas des païens, ils ne diraient pas que s’ils souffrent, travaillent, font le commerce… c’est pour leurs enfants, leur femme, leurs parents … mais ils diraient plutôt : c’est pour l’œuvre à laquelle ils ont été appelés et qui fait leur présence. Ils devaient se voir et se considérer comme des étrangers sur terre et non comme des autochtones.

Etant étrangers, leur souci serait d’accomplir la volonté ou l’œuvre de celui qui les a appelés et par qui ils font leur présence. Etant chrétiens de la foi pour ne pas être païens ou chrétiens de la loi, ils devaient se voir et se prendre pour des ambassadeurs de Christ sur terre. Par exemple, un ambassadeur de France au Cameroun, lorsqu’il est envoyé par son président, ne sait pas quand il sera rappelé par celui-ci. Quand il rentrera, il n’emportera ni bâtiment ou maison,  ni matériels. Tout ce qu’il aura c’est son rapport dans lequel il aura détaillé tout ce qu’il aura accompli au Cameroun pendant sa présence. Est-ce qu’il va s’inquiéter, souffrir ou se lamenter sur les choses qu’il n’emportera pas ou sur l’œuvre qu’il aura accomplie  et pour laquelle il aura fait un bon rapport ?  Il en est de même du Seigneur Jésus qui nous a appelés en lui et nous a envoyés accomplir une tâche. Il nous voit, nous note, et lui seul connait la seconde, la minute, l’heure, le jour, la semaine, le mois et l’année où nous allons quitter la chair (ou la terre). Sur la terre, les choses de la terre, les hommes physiques et leurs charges ont pris tout notre cœur, notre temps, notre pensée, nos sentiments et matériels, et nous sommes restés méchants et pauvres. Voilà pourquoi les païens ou chrétiens de la loi sont toujours dans les lamentations et inquiétudes du lendemain pour leur physique, leurs enfants et proches et non pour leur esprit. Voilà pourquoi le Seigneur Jésus avertissait les juifs qui n’étaient plus païens dans l’esprit lorsqu’il leur disait : « Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas: Que mangerons-nous? que boirons-nous? de quoi serons-nous vêtus? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus.  » (Matthieu 6/31-33).

les païens ou chrétiens de la loi ont les inquiétudes et les pensées concernant leur avenir dans les choses vaines. Voilà même pourquoi l’apôtre Paul avertissait les gens qui avaient reçu la foi de ne plus avoir de vaines pensées concernant leur avenir comme lorsqu’ils étaient encore païens ou encore chrétiens de la loi. Voilà pourquoi il est dit : « Voici donc ce que je dis et ce que je déclare dans le Seigneur, c'est que vous ne devez plus marcher comme les païens, qui marchent selon la vanité de leurs pensées. Ils ont l'intelligence obscurcie, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l'ignorance qui est en eux, à cause de l'endurcissement de leur cœur » (Ephésiens 4/17-18). Si les chrétiens d’aujourd’hui n’étaient pas des païens, ils ne seraient pas étrangers au sentiment, à l’amour et au bien de Dieu. Mais comme ils y sont étrangers, voilà pourquoi le mal qu’ils portent les font souffrir. La foi leur avait demandé de venir à elle, afin qu’elle les décharge de cette loi qui pèse sur eux, mais ils ont préféré cette loi qui réjouit leur chair. J’entends souvent les gens dire aux autres : ‘’voilà déjà deux dimanches que je ne t’ai pas vu à la messe. Ne me dis pas que tu es devenu païen’’. Ils disent cela sans même savoir ce que c’est qu’un païen.

Même si physiquement je ne suis qu’un va-nu-pieds, avec plein de trous de mémoire, n’ayant pas où abriter ma tête, j’ai une grande mission dans ce monde dont seul le Seigneur Jésus connait la dimension et le degré, et à lui seul la gloire dans sa bonté et son amour de voir tout le monde parvenir à la connaissance de la foi et être sauvé de la loi (1Timothée 2/3-4).

 

CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle (Jean 8/32). 

 

COMME IL Y AVAIT LES JUIFS DE LA LOI ET LES JUIFS DE LA FOI HIER AU TEMPS DES APOTRES, IL Y A AUSSI LES CHRETIENS DE LA LOI ET LESCHRETIENS DE LA FOI AUJOURD’HUI ; ET C’EST L’HEURE DE LIRE, D’ENTENDRE ET DE VOIR LA DIFFERENCE

C’est le 328ème message.

  

La révélation du Seigneur Jésus, source de connaissance, de puissance et de vérité d’en haut m’a été donnée pour que les hommes de ce siècle connaissent et soient  affranchis de l’ignorance et de l’impuissance. En vérité, comme il  y avait hier au temps des apôtres, les juifs de la loi et les juifs de la foi,  de même, aujourd’hui, il y a les chrétiens de la loi et les chrétiens de la foi.

Depuis la donation de l’alliance de la circoncision de la chair à Abraham pour sa descendance par l’Eternel Dieu, et de la loi et du sang des taureaux et des boucs à Moïse au désert comme alliance avec le peuple d’Israël, ce peuple respectait à la lettre l’alliance de la circoncision  et obéissaient à la loi de Moïse, et cela jusqu’au début du règne de Roboam. Mais, du moment où Roboam était encore roi, la parole de l’Eternel devait s’accomplir sous son règne tel que l’Eternel avait dit à Salomon pendant qu’il vivait encore dans sa vieillesse. Comme il n’avait pas gardé son alliance et ses lois comme l’avait fait son père David, l’Eternel va lui arracher la royauté et la donner à son serviteur ; seulement, il ne le fera point de son vivant à cause de David son père, mais il va le faire pendant le règne de son fils. A cause de David et de Jérusalem sa ville, il va laisser une tribu à son fils (1Rois 10/11-13). Dix tribus vont ainsi être arrachées à Roboam fils de Salomon pour l’accomplissement de la parole de l’Eternel et données à Jéroboam, ancien serviteur de Salomon.

A peine que Jéroboam ait pris le règne des dix tribus, il a fait fabriquer deux veaux d’or, et a dit aux dix tribus qui étaient sous son règne qu’ils n’iront plus à Jérusalem pour adorer Dieu, et leur a présenté les veaux d’or comme étant le Dieu qui les a fait sortir de l’Egypte. Dix tribus vont ainsi se prosterner devant leur nouveau dieu. Il plaça l’un de ces veaux à Béthel, et l’autre à Dan, et il établit les prêtres un 15 août, qui font service ou qui sont médiateurs entre les hommes et les monuments, et cela eut effet jusqu’aujourd’hui. Ce jour reste pour les prêtres un grand jour de fête et de joie, parce que c’était à cette date qu’ils ont vu le jour ; mais, comme le caméléon change de couleur et non de forme, ils ont changé la célébration du 15 Août en célébration de la montée de Marie au ciel. Or, le caméléon se reconnait non pas par sa couleur mais plutôt par sa forme (1Rois 12/28-33).

Le Seigneur Jésus est né à Bethlehem dans la ville et la tribu de David selon la chair. Il a grandi à Nazareth où il a commencé à enseigner la foi. Il était moins reçu et moins aimé. Il choisit douze disciples appelés apôtres, parmi lesquels Judas, qui devait le trahir. Le seigneur Jésus sera ainsi livré entre les mains des principaux sacrificateurs, Judas se pendra par la suite après avoir reconnu sa faute. Les apôtres étaient restés onze, de la mort à la résurrection, jusqu’à l’enlèvement du Seigneur Jésus au ciel. Voulant qu’un autre remplace Judas selon qu’il était écrit, ils tireront au sort deux personnes qui les accompagnaient à savoir, Barsabbas et Matthias, mais le sort tomba sur Matthias, qui remplaça Judas pour que le nombre des apôtres redevienne douze. Les apôtres, ayant reçu le Saint Esprit, ont commencé à travailler à Jérusalem. Ne voulant pas quitter Jérusalem pour la Judée, la Samarie pour aller prêcher la bonne nouvelle jusqu’aux extrémités de la terre, tel qu’ils avaient reçu des recommandations du Seigneur Jésus, ils ont été persécutés ; et ces persécutions ont fait en sorte qu’ils se dispersèrent partout pour annoncer la bonne nouvelle. Le chef d’orchestre de la persécution était Saul, devenu par la suite l’apôtre Paul. Tous annonçaient la foi, car ils n’étaient plus Juifs de la loi, mais Juifs de la foi. Les juifs de la loi leur disaient : si quelqu’un n’est pas circoncis selon le rite de Moïse, il ne peut pas être sauvé (Actes 15/1). Sur ce, les juifs de la foi répondaient que le juif, c'est-à-dire le véritable, ce n’est pas celui qui en a le dehors, le tape-à-l’œil, mais c’est celui qui l’est intérieurement, et aussi, la circoncision, ce n’est pas celle qui est visible dans la chair, mais c’est celle du cœur selon l’esprit et non selon les coutumes d’hommes et autres (Romains 2/28-29).

Les juifs de la loi, se voyant sauver par la loi,  trouvaient que ceux qui enseignaient la foi, n’étaient que des sectaires, adeptes de leur fondateur Jésus de Nazareth, le semeur de division. Voilà pourquoi lorsqu’ils avaient arrêté l’apôtre Paul, ils l’ont traité de sectaire nazaréen, et voulait en même temps le juger selon leur loi, voilà pourquoi ils ont dit : «Nous avons trouvé cet homme, qui est une peste, qui excite des divisions parmi tous les Juifs du monde, qui est chef de la secte des Nazaréens, et qui même a tenté de profaner le temple. Et nous l'avons arrêté. Nous avons voulu le juger selon notre loi » (Actes 24/5-6). C’était la même chose, lorsqu’ils avaient arrêté le Seigneur Jésus, ils l’avaient jugé selon leur loi. Voilà pourquoi dans leur loi, il fallait qu’ils le tuent parce que selon eux, il avait blasphémé contre Dieu. Voilà même pourquoi il est dit : «Lorsque les principaux sacrificateurs et les huissiers le virent, ils s'écrièrent: Crucifie! crucifie! Pilate leur dit: Prenez-le vous-mêmes, et crucifiez-le; car moi, je ne trouve point de crime en lui. Les Juifs lui répondirent: Nous avons une loi; et, selon notre loi, il doit mourir, parce qu'il s'est fait Fils de Dieu. » (Jean 19/6-7).

Les juifs de la loi empêchaient que la foi soit annoncée à Jérusalem, et ils menaçaient les apôtres en leur disant : «Ne vous avons-nous pas défendu expressément d'enseigner en ce nom-là? Et voici, vous avez rempli Jérusalem de votre enseignement, et vous voulez faire retomber sur nous le sang de cet homme! » (Actes 5/28) ou encore tel qu’il est dit : «Et les ayant appelés, ils leur défendirent absolument de parler et d'enseigner au nom de Jésus. » (Actes 4/18). Les juifs de la loi ne voulaient pas que la foi soit annoncée, c’est pourquoi ils arrêtaient tous ceux qui annonçaient la foi. Voilà pourquoi le tribun rendit témoignage au gouverneur Félix au sujet de l’apôtre Paul lorsqu’il lui dit : «Cet homme, dont les Juifs s'étaient saisis, allait être tué par eux, lorsque je survins avec des soldats et le leur enlevai, ayant appris qu'il était Romain. Voulant connaître le motif pour lequel ils l'accusaient, je l'amenai devant leur sanhédrin. J'ai trouvé qu'il était accusé au sujet de questions relatives à leur loi, mais qu'il n'avait commis aucun crime qui mérite la mort ou la prison. » (Actes 23/27-29). Et le gouverneur Félix rendit compte au roi AGRIPPA lorsqu’il dit : «Les accusateurs, s'étant présentés, ne lui imputèrent rien de ce que je supposais; ils avaient avec lui des discussions relatives à leur religion particulière, et à un certain Jésus qui est mort, et que Paul affirmait être vivant. » (Actes 25/18-19). L’apôtre Paul rendant témoignage de ces juifs de la loi dit : «Ce sont ces Juifs qui ont fait mourir le Seigneur Jésus et les prophètes, qui nous ont persécutés, qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont ennemis de tous les hommes, nous empêchant de parler aux païens pour qu'ils soient sauvés, en sorte qu'ils ne cessent de mettre le comble à leurs péchés. Mais la colère a fini par les atteindre.» (1Thésaloniciens 2/15-16). Le Seigneur Jésus avait parlé de ces juifs qui avaient tué auparavant les prophètes… et a cherché à les ramener dans la foi en lui, mais ils ont refusé tel qu’il dit : «Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble sa couvée sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu! » (Luc 13/34). Ces juifs refusaient la foi et préféraient rester dans la loi en tant que prêtres ou docteurs de la loi. Après la mort des apôtres, les docteurs de la loi ou prêtres sont devenus l’église universelle, en l’an 607, l’évêque universel de Rome fut nommé pape, quelques années plus tard, l’église universelle fut appelée église catholique, et le pape se déclara être représentant de l’apôtre Pierre.

Au 7e siècle, l’islam vit le jour en Arabie Saoudite, et plusieurs juifs se sont ralliés à cette croyance, au détriment de la foi en Christ qui doit les sauver. L’église catholique s’implantait partout dans le monde. Arrivés en Afrique, principalement au Cameroun, dans la nuit du 24 au 25 octobre 1890, les adeptes de cette doctrine portaient la bible où est écrit l’évangile de l’enseignement de la foi, mais ils enseignaient plutôt leurs coutumes, ne voulant pas que les gens puissent lire la bible et découvrir la vérité. Ils enseignaient aux gens à prier Marie, à prier avec le chapelet… et plusieurs de ces doctrines qu’on appelle église aujourd’hui sont issus d’elle. En Amérique, certains se sont élevés disant qu’ils sont plutôt témoins de Jéhovah et non de Jésus, mais ils ont les écrits où ni les prophètes, ni Jésus lui-même, ni les apôtres qui sont ses premiers témoins n’ont parlé de Jéhovah. D’autres disent qu’ils sont chrétiens pentecôtistes. D’autres encore disent qu’ils sont branhamistes, c'est-à-dire de la croyance en Branham. Mais si Paul, Pierre, Jean,… étaient aussi dans la loi, ils devaient aussi avoir des adeptes comme branam dans la loi. Ce qui fait en sorte qu’aujourd’hui, la connaissance de la foi est rare parce que les gens ne sont pas dans la foi en Christ, mais plutôt dans la loi, et ils sont plutôt chrétiens de la loi et non de la foi. Etant donc chrétiens de la loi, tout ce qui est Dieu, sa valeur, sa grandeur, sa gloire, sa richesse se trouve dans l’apparence…. Ils ne sont pas chrétiens de la foi pour chercher la gloire et la richesse d’une seule personne, c'est-à-dire de Christ, mais sont plutôt chrétiens de la loi, ainsi ils cherchent  la gloire de l’homme, le matériel, et font des divisions, des guerres, la conquête des hommes (fidèles) pour leurs offrandes et dîmes, se lançant des défis de construire de grands bâtiments appelés églises ou maisons de Dieu, des achats de terrains, des chaines de radio et de télévision, ainsi que la publicité, amenant ainsi les gens à souffrir dans la recherche et la donation de l’argent pour ces défis de folie. La foi n’est pas enseignée dans les écoles pastorales ou séminaires pour qu’à leur tour, ceux qui y sortent, viennent l’enseigner. Voilà pourquoi les chrétiens d’aujourd’hui ne sont que des chrétiens de la loi, et ont rempli le monde; ainsi le mal n’est pas inquiété, mais survole ou du moins s’enracine de plus en plus. Les gens étant dominés par la gloire de l’homme et le matériel, la charge humaine qui pèse sur eux : les hommes et leurs matériels, ne peuvent qu’être leurs dieux.

Les chrétiens de la loi sont très loin de courir derrière la démonstration de la puissance de la parole créatrice ou de vérité, qui les amène de par la pratique à devenir des dieux, c'est-à-dire eux-mêmes le miracle; mais ils sont plutôt derrière les prières de miracle et matériels dits bénits ou spirituels, derrière la récitation des psaumes. Les chrétiens de la loi appellent ou se font appeler ‘’papa’’, ‘’mon père’’, ‘’mon seigneur’’. Dans la loi, ils ont l’amour du sang, de la couleur de peau, de la langue parlée et de la tribu. Les chrétiens de la foi sont très rares, parce que la foi n’est pas annoncée pour être connue, car, dans la foi, on est disciple ou fidèle d’une seule personne qui est le Seigneur Jésus ; on n’est pas chrétien d’une dénomination ou d’un homme. Dans la foi, on est fidèle de Jésus, et, mangeant son corps pour le devenir, on est chrétien de la foi. Seul le Seigneur Jésus est appelé ‘’mon père’’, ‘’papa’’ et ‘’mon Seigneur’’. Etant chrétien de la foi, la valeur, la grandeur, la gloire et la richesse ne sont pas dans le cerveau comme bagage intellectuel, couleur de peau, dans la langue parlée, dans la forme ou l’embellissement de la chair, dans les habits, chaussures, argent et autres matériels, mais dans le cœur et l’esprit de Dieu.

Etant chrétien de la foi, même si on n’a pas des enfants ou d’autres personnes en charge, on a une charge qui est le Seigneur et l’avancement de sa bonne nouvelle. Etant chrétien de la foi, ce qu’on cherche et qu’on gagne est premièrement pour le Seigneur et sa bonne nouvelle et non pour ses enfants, sa femme, son père, sa mère… Etant chrétien dans la foi, on ne court pas derrière les prières de miracle, mais plutôt derrière la démonstration de la puissance de vérité ; on ne dépense pas beaucoup d’argent sur les bâtiments pour maison de Dieu, mais sur la dotation en documentation  spirituelle, c’est-a-dire  faire parvenir gratuitement  ces documents aux gens de près ou de loin, afin qu’ils soient édifiés dans la parole et deviennent ainsi une habitation de Dieu en esprit (Ephésien 2/22). Etant chrétien de la foi, on ne demande pas aux gens de l’argent pour une prière de guérison, de grâce et de bénédiction… et encore, on ne prend pas un matériel en disant qu’il est spirituel ou bénit… Etant chrétien de la foi, le don du frère ou de la sœur est égal au don de Dieu, est en même temps le don de soi, et en être jaloux c’est se détruire soi-même. Lorsqu’on est chrétien de la foi, la crainte est spirituelle et non physique, et on ne partage pas pour faire plaisir à l’homme physique, mais à l’homme spirituel qui est le Seigneur Jésus. Etant chrétien de la foi, on n’aime pas son enfant, sa femme, sa sœur, son frère, son père, sa mère plus que l’œuvre de Dieu ; on a plus de sentiment et de pitié par l’esprit et non pas par le physique, et c’est le manque dans l’esprit qui fait pleurer, se lamenter et s’attrister, et non le manque dans la chair. Les chrétiens de la foi pleurent quelqu’un mort dans l’esprit, qui peut encore revenir, et non quelqu’un qui est mort dans la chair. Dans la foi c’est la bonne nouvelle qui fait notre présence et c’est à cause d’elle qu’on peut tout laisser derrière nous sans aucun regret. On peut rester pauvre dans le physique car tout ce qu’on possède, on le donne pour que les gens parviennent à lire l’enseignement de la foi et soient sauvés dans leurs âmes. Donc, on préfère devenir pauvre physiquement pour que les autres soient riches spirituellement. Dans la foi, on peut tout abandonner à cause de la bonne nouvelle du royaume des cieux. Dans la foi, la honte ne vient pas du manque de la connaissance de parler ou d’écrire une langue officielle, du matériel, de quoi manger, de quoi se revêtir, mais plutôt du fait d’être pauvre et nu dans l’esprit. Il y a beaucoup d’illustrations à propos, mais je vais m’arrêter là pour le moment.

 

  CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)

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