ENFANT DE DIEU, SI UN RICHE DE CE MONDE TE DEMANDE POURQUOI TU N’AS PAS D’ARGENT, POURQUOI TU ES PAUVRE PHYSIQUEMENT ALORS QUE TU DIS AVOIR DIEU, REPONDS A CE MALHEUREUX AVEUGLE QUE TON DIEU EST LE DIEU DE LA MISERICORDE, DE LA JUSTICE ET DE LA SAINTETE, ET NON CELUI DES BOUTS DE PAPIERS OU DES BILLETS DE BANQUE
C’est le 690ème message
Que la paix et la délivrance soient accordées à tout homme sur la terre qui recherche la vérité de Christ par le Dieu créateur, et Jésus Christ le sauveur de l’humanité. Bien-aimés dans le seigneur, c’est l’heure de nous lever pour faire barrière à la ruse de satan, qui amène les gens à mépriser la gloire de Dieu, pour les vanités qui sont la source du mal qui domine dans ce monde actuel.
Je veux que tout homme comprenne premièrement que sa chair avait été tirée de la poussière et elle retournera au sein de la terre. C’est pour cela que Dieu dit à cette pauvre chair : « …Car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière » (Genèse 3/19). Job, reconnaissant que sa pauvre chair est sortie nue du ventre de sa mère, et nue elle retournera dans le sein de la terre, dit : « … Je suis sorti nu du sein de ma mère, et nu je retournerai dans le sein de la terre ! » (Job 1/21). Le roi David, reconnaissant aussi que cette pauvre chair en mourant n’emportera pas d’argent, de maison, d’entreprise, d’avion, de voiture…, dit : « Car il n'emporte rien en mourant, ses trésors ne descendent point après lui. » (Psaumes 49/18).
Ecclésiaste de son côté affirme que cette pauvre chair est sortie nue du ventre d’une femme, elle y retournera nue comme elle était venue, et pour son travail, elle n’emportera rien qu’elle puisse prendre dans sa main tel qu’il est écrit : « Comme il est sorti du ventre de sa mère, il s'en retourne nu ainsi qu'il était venu, et pour son travail n'emporte rien qu'il puisse prendre dans sa main. » (Ecclésiaste 5/14). L’apôtre Paul de son côté dit que notre pauvre chair en venant dans ce monde n’a rien apporté, et il est évident qu’elle ne puisse rien emporter tel qu’il est écrit : « car nous n'avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous n'en pouvons rien emporter ;» (1Timothée 6/7).
La chair de l’homme n’a qu’une seule destination finale qui est la terre, mais l’âme de l’homme a deux destinations possible : soit elle reçoit le seigneur Jésus pour son repos éternel au royaume des cieux, soit elle ne le reçoit pas pour se perdre dans le tourment éternel au lac de feu. En d’autres termes, la chair qui quitte ce monde n’a qu’un seul chemin, la terre, et l’âme qui quitte la chair a deux chemins, le chemin de la vie qui est le royaume des cieux ou le chemin de la mort qui est le lac de feu ; et c’est pour notre âme que Dieu a dit : « …Voici, je mets devant vous le chemin de la vie et le chemin de la mort. » (Jérémie 21/8).
Le seigneur Jésus, connaissant que le diable allait aveugler plusieurs personnes pour les conduire à trouver de l’importance dans ce qui enrichit leur chair plutôt que leurs âmes, dit : « Que donnerait un homme en échange de son âme ? » (Marc 8/37). Homme, qui que tu sois, ce ne sont pas tes billets de banque ou ton matériel, ton pouvoir de commander les hommes, ta gloire ou ta célébrité qui vont t’amener à être considéré devant Dieu ou à entrer au royaume des cieux.
Ta chair rentrera au sein de la terre, sans rien emporter de tout ce qu’elle amasse, et si ton âme s’en va sans Jésus, elle sera réservée pour le tourment éternel dans le lac de feu. Lorsque l’homme meurt sans Jésus Christ, il est malheureux à jamais, parce que tout ce qu’il aura amassé sur la terre ne va pas le suivre, mais s’il meurt dans le seigneur, il est heureux éternellement parce que ses œuvres vont le suivre, c’est pour cela qu’il est dit : « Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l'Esprit, afin qu'ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent. » (Apocalypse 14/13).
En vérité, la chair n’est rien, mais pourquoi c’est elle qui préoccupe plus les chrétiens aujourd’hui et non l’âme ? Comprenons que lorsque l’homme meurt physiquement, on ne doit pas pleurer sa chair, mais plutôt le sort de son âme ; parce que sa chair reste immobile devant nous, elle ne respire pas, ne bouge pas, ne voit pas et n’entend pas, elle est destinée à la décomposition pour nourrir les asticots. D’autres personnes dans leur folie embrassent souvent cette chair morte en pleurant, et en demandant à la personne de revenir, ce qui ne sert à rien, car à ce moment, il s’agira plutôt de demander à l’âme de revenir dans la chair tel que l’escargot peut revenir dans sa coquille, ou la tortue dans sa carapace. Donc c’est l’âme qui fait la valeur ou la vie de la chair, c’est l’âme qui doit nous préoccuper premièrement et non la chair, tel le seigneur Jésus fait aussi la valeur et la vie de l’âme, et c’est lui que nous devons chercher premièrement.
Satan le maitre de la ruse et de l’égarement, connaissant la vanité de la chair, de sa richesse et de sa gloire, et la valeur de l’âme, amène plutôt les hommes aveugles à s’inquiéter et à travailler pour leur chair, au détriment de leurs âmes qu’ils vendent au diable contre les vanités, pour venir ensuite se moquer des enfants de Dieu en leur demandant pourquoi sont-ils si pauvres, ou pourquoi n’ont-ils pas d’argent alors qu’ils prient Dieu constamment. Mais il est question de faire savoir à ces malheureux que leur aveuglément les empêche de voir la richesse divine qui est éternelle.
C’est ce trésor que le seigneur Jésus est venu nous donner en se faisant pauvre dans la chair tel qu’il est dit : « Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus Christ, qui pour vous s'est fait pauvre, de riche qu'il était, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis. » (2 Corinthiens 8/9). Ces riches des vanités de poussière doivent comprendre que le Dieu que nous prions n’est pas le Dieu des bouts de papier ni des billets de banque, mais plutôt le Dieu de la justice, de la miséricorde et de la sainteté. C’est même pour cela qu’il dit : « *Allez, et apprenez ce que signifie : Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices…*» (Matthieu 9/13).
Bien-aimés en Christ, en effet, Dieu n’est le Dieu du matériel, mais celui de la miséricorde tel qu’il est dit : « *car l'Éternel, ton Dieu, est un Dieu de miséricorde… *» (Deutéronome 4/31). Mon frère, ma sœur en Christ, notre Dieu n’a pas une richesse de poussière, mais plutôt de miséricorde. C’est pour cela qu’il est dit : « Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés » (Ephésiens 2/4).
En vérité, si les hommes étaient riches en Dieu ou en miséricorde, le mal serait rare aujourd’hui ; mais plusieurs sacrifient leurs prochains ou vendent leurs propres âmes qui ont plus de valeur que tout sur cette terre, signent les pactes avec le diable, deviennent des homosexuels, des rosicruciens, des francs-maçons, possèdent les totems…, tout cela à cause du matériel, de la gloire, de la célébrité, du pouvoir éphémère. Ces malheureux et aveugles, lorsqu’ils sont devant les enfants de Dieu qui sont les plus riches dans la richesse véritable, leur disent souvent : « Vous qui priez Dieu, où est alors l’argent ou la richesse que vous avez ? », ils sont alors comme le mauvais riche qui se moquait de la pauvreté charnelle de Lazare le matin, parce qu’il n’avait rien à mettre sous la dent, et au soir, il avait vu que c’est Lazare qui avait la véritable richesse éternelle, car l’or et l’argent appartiennent à Dieu tel qu’il dit : « L'argent est à moi, et l'or est à moi, Dit l'Éternel des armées » (Aggée 2/8).
Mais ce n’est pas parce que l’or et l’argent appartiennent à Dieu que les enfants de Dieu sur la terre doivent être à tout prix des millionnaires ou des milliardaires. L’appartenance d’un homme à Dieu ne se témoigne pas par l’argent, mais plutôt par sa justice, sa miséricorde et sa sainteté ; c’est pour cela que Jean Baptiste malgré sa pauvreté physique était le plus grand de tous les hommes qui étaient nés d’une femme comme le seigneur dit : « *Je vous le dis en vérité, parmi ceux qui sont nés de femmes, il n'en a point paru de plus grand que Jean Baptiste…*» (Matthieu 11/11). Comprenons que le plus grand de tous hommes nés d’une femme selon Dieu n’était pas riche matériellement, il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage, tel qu’il est dit de lui : « …Il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage. » (Marc 1/6).
Lorsque le seigneur Jésus marchait avec les disciples, parfois ils avaient faim et entraient dans les champs de blé pour manger les épis crus tel qu’il est écrit : « En ce temps-là, Jésus traversa des champs de blé un jour de sabbat. Ses disciples, qui avaient faim, se mirent à arracher des épis et à manger. » (Matthieu 12/1), et le seigneur ne voulant pas que nous nous glorifions pour avoir amassé les choses de la terre, nous dit : « Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent ; mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. » (Matthieu 6/19-20).
Le seigneur Jésus exhorte tout enfant de Dieu de recommander aux riches de ne pas être orgueilleux, de faire du bien, de ne pas mettre leur assurance dans les richesses incertaines, mais plutôt d’amasser leur trésor sur un fondement solide pour gagner la vie éternelle tel qu’il est écrit : « Recommande aux riches du présent siècle de ne pas être orgueilleux, et de ne pas mettre leur espérance dans des richesses incertaines, mais de la mettre en Dieu, qui nous donne avec abondance toutes choses pour que nous en jouissions. Recommande-leur de faire du bien, d'être riches en bonnes œuvres, d'avoir de la libéralité, de la générosité, et de s'amasser ainsi pour l'avenir un trésor placé sur un fondement solide, afin de saisir la vie véritable. » (1Timothée 6/17-19). Beaucoup de ces riches ivres de l’égarement disent qu’ils ont de l’argent, donc ils n’ont plus besoin d’aller à l’église, ou de chercher Dieu. Mais ils ignorent qu’ils sont misérables, pauvres, aveugles et nues ; et c’est pour eux qu’il est écrit : « … Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, » (Apocalypse 3/17).
Enfant de Dieu, Dieu t’a enrichi en te donnant la parole de la création, celle qui a créée le ciel, la terre, la mer, le pétrole, le mercure, le diamant, l’or, l’uranium, la bauxite, le fer, le bois…, et c’est cette parole qui est Dieu, voilà pourquoi il est écrit : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. » (Jean 1/1-3). Le ciel et la terre vont passer, mais cette parole demeure pour toujours, c’est pour cela que le seigneur Jésus dit : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point » (Matthieu 24/35).
Si un enfant de Dieu trouve qu’un homme sans Jésus est plus valeureux que lui parce qu’il est chef d’Etat, ministre, diplomate, gouverneur, préfet, sous-préfet, président du tribunal, procureur, avocat, huissier, général, commissaire, industriel, superstar…, alors il ne croit pas en Dieu ou à la valeur de ce qui est en lui. En vérité, ceux qui n’ont pas le seigneur Jésus sont des morts spirituels. Comment les morts sans valeur peuvent-ils être admirés par les vivants ? Comment le mal peut-il diminuer dans un monde où les enfants de Dieu envient les enfants du diable, les hommes libres envient ceux qui sont condamnés, et les vivants envient les morts ? Si un enfant de Dieu trouve qu’il n’est pas béni parce qu’il n’a pas d’emploi, de mari, de femme, d’enfant, de maison, d’argent…, alors il ne croit pas en Dieu.
La chair se nourrit du pain de la terre et l’âme du pain du ciel qui est la parole de Dieu, hélas, les enfants de Dieu de nos jours préfèrent plutôt le pain de la terre à la parole de Dieu, et se marient par intérêt. Mais l’apôtre Pierre trouvant ce qui fait la valeur de son âme, dit au seigneur Jésus : « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. » (Jean 6/68). Il y a des parents chrétiens qui, lorsque leur fille leur présente un prétendant, ils lui posent directement la question de savoir s’il a de l’argent. D’autres se mettent souvent à dire à leur fille que cette personne ne peut pas rembourser l’argent de la scolarité ou de l’entretien qu’ils ont dépensé pour elle. Chrétiens, l’argent est-il votre Dieu ? Que c’est malheureux ! Même les hommes de Dieu deviennent souvent tous petits devant les hommes d’argent, incapables de leur dire la vérité sur leurs crimes, leur fermant ainsi la porte d’entrée au royaume des cieux.
En vérité, ce message n’est pas destiné à encourager la paresse, car les enfants de Dieu qui mendient ne témoignent pas le seigneur. Il faut travailler et non se rabaisser indignement devant les gens pour de la nourriture. En Dieu, celui qui ne travaille pas ne doit pas aussi manger. Il y a des chrétiens qui croisent les bras et regardent les autres travailler pour venir mendier auprès d’eux, et dans leur ruse, ils aiment dire que Dieu a dit de demander et l’on vous donnera. Mais c’est pour eux qu’il est dit : « *…Si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non plus.*» (2 Thessaloniciens 3/10). N’ayez plus honte et ne vous voyez plus comme des malheureux ou des maudits parce que vous n’avez pas les finances, vous n’êtes pas marié, vous n’avez pas d’enfant, mais parce que vous manquez la justice et la miséricorde de Dieu. Quelle déception pour le seigneur Jésus-Christ, de voir ceux qui devaient témoigner la gloire et la richesse du ciel ramper derrière les vanités de la terre.
A Dieu seul la gloire, par Jésus-Christ notre seigneur et sauveur pour l’éternité.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)